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Choisir son voilier pour grand voyage : tour du monde, transatlantique, etc.

Quels critères pour choisir son voilier de grande croisière .

Le grand voyage à bord d’un voilier – tour du monde, transatlantique, expédition ou autre grande traversée des océans – nécessite de prendre en considération un certain nombre de paramètres pour bien choisir son voilier de croisière hauturière :

  • Combien d’équipiers dormiront à bord ?

Êtes-vous à la recherche du meilleur voilier pour voyager en couple, en famille, ou naviguer seul ? L’espace intérieur de votre voilier et le nombre de cabines seront alors déterminants, pour offrir à chacun un niveau de confort adéquat.

  • Quelle est la taille minimale de voilier à considérer ?

On sait que, pour un voilier habitable, sa longueur a un impact sur la quantité d’équipements embarqués (pour une plus grande autonomie), mais également sur ses capacités nautiques et sa performance : passage à la mer, vitesse moyenne sur de longues traversées, etc.

  • Quelles sont les options à ajouter au voilier standard ?

Surtout si vous êtes à la recherche d’un voilier pour un tour du monde, la configuration de votre bateau est un élément essentiel à prendre en compte : plan de voilure, portique avec bossoirs pour des panneaux solaires et une annexe, etc.

  • Quelles formations pour un grand voyage plus serein ?

Puis-je me former à certains domaines pour augmenter mon sentiment de sécurité et celui de mon équipage : mécanique, électronique, navigation, etc. Notre filiale GLS propose de nombreux stages dans son catalogue de formations.

  • Quel volume à bord de mon voilier de grande croisière ?

Quel est le devis de poids raisonnable de ce que j’ai l’intention d’embarquer : l’avitaillement, l’électronique, les options, etc. Plus la longueur du voilier est importante, plus sa capacité d’emport l’est aussi.

  • Quel est mon budget pour l’achat de mon bateau ?

Voici un autre élément de considération qui jouera un rôle dans le choix de votre bateau à voile pour votre grande traversée. Le prix de votre voilier dépendra notamment de sa taille et de vos options de configuration.

Le voilier RM Yachts idéal pour votre grand voyage

Dans la gamme de voiliers monocoques RM, certains modèles ont été nativement conçus pour la grande croisière (transatlantique, traversée océanique, tour du monde, expédition, etc.) :

Cela ne veut pas dire que nos autres voiliers, de taille plus réduite (entre 9 et 11 mètres environ), n’en soient pas capables, mais leurs dimensions et volumes limiteront de facto le nombre d’équipiers et la capacité d’emport pour votre croisière hauturière.

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Quel type de voilier choisir pour faire le tour du monde ?

Vous avez envie de larguer les amarres et concrétiser votre projet de faire un petit break avec votre vie professionnelle ? Trouvez et choisissez un voilier adapté pour une croisière en mer . En effet, il existe une large offre de bateaux dédiés pour faire le tour du monde. Ils sont disponibles à l’achat aussi bien qu’en location. Selon vos besoins et votre budget, ainsi que vos préférences, découvrez le type de voilier parfait pour réaliser un tour du monde.

Quel type de bateau faut-il pour faire un tour du monde ?

Quel type de bateau faut-il pour faire un tour du monde ?

  • Les voiliers de croisière sont populaires parmi les navigateurs du monde entier en raison de leur efficacité énergétique, de leur faible impact environnemental et de leur capacité à parcourir de longues distances à la voile.
  • Ils offrent un espace de vie confortable avec des cabines, une cuisine, une salle de bains et des espaces de détente.
  • Les voiliers de croisière sont conçus pour l'autosuffisance, avec des systèmes de production d'énergie (panneaux solaires, éoliennes) et de désalinisation de l'eau de mer.
  • Le voilier est l'un des moyens les plus utilisés dans les compétitions pour le tour du monde. Il existe de nombreuses offres qui impliquent son utilisation et sont essentiellement divisées selon que l'itinéraire se fait seul ou avec un équipage à bord et selon la présence ou l'absence d'amarrage et d'assistance extérieure.Si traverser le globe par la mer en équipage est une entreprise vraiment difficile, le faire tout seul peut sembler carrément impossible, mais en réalité il y a aussi eu des succès sur ce front et les manières d'y parvenir ont été différentes, de la voile à la chaloupe. La traversée en solo peut être très difficile et de nombreuses courses ne nécessitent aucun type de soutien ou d'assistance.
  • Les voiliers de voyage sont spécialement conçus pour les longs périples en mer, avec une construction robuste, une coque résistante à la houle et une quille longue pour la stabilité.
  • Ils sont équipés de systèmes de navigation modernes, de dispositifs de sécurité avancés et de systèmes de communication satellite.
  • Les bateaux à moteur de croisière sont une option pour ceux qui préfèrent la puissance du moteur à la voile.
  • Ils offrent un espace de vie spacieux, une cuisine bien équipée et des installations de divertissement.
  • Avec les bateaux à moteur, nous passons à un tout autre type d'entreprise. Il y a divers avantages à faire une traversée sur un tel navire comme avoir une assistance médicale disponible et ne pas être dans la position de devoir penser à tout par soi-même. En fait, de nombreux navires de croisière et autres types de navires plus petits impliqués dans la pêche font le tour du monde et faire partie d'un tel équipage peut permettre de faire le tour du monde , peut-être simplement en restant dans les cuisines si vous n'avez pas une grande expérience de la mer .
  • Les catamarans sont des bateaux à deux coques offrant une stabilité exceptionnelle et une grande surface de pont.
  • Ils sont appréciés pour leur faible tirant d'eau, ce qui les rend adaptés aux zones peu profondes et aux lagunes.
  • Les catamarans peuvent être utilisés pour la croisière à voile ou à moteur.
  • De nombreux records , pas en solitaire, ont été conquis à bord de ce type de bateau qui est à la base un voilier à deux coques , et bien d'autres personnes ont décidé de l'utiliser pour leur tour du monde après avoir tout abandonné sur terre s'arrête pour se lancer dans l'aventure .
  • Si vous recherchez le confort suprême et que vous avez un budget élevé, un yacht de luxe peut être une option. Ils sont équipés de toutes les commodités imaginables, y compris des piscines, des spas, des salles de sport et des cabines somptueuses.
  • Les yachts de luxe sont souvent exploités par un équipage professionnel pour offrir un service de première classe.
  • Certains navigateurs choisissent des bateaux en acier ou en aluminium pour leur durabilité et leur capacité à résister aux conditions difficiles, y compris les chocs avec des objets flottants.
  • Les monocoques sont des voiliers à une seule coque et sont parmi les bateaux les plus courants pour les voyages autour du monde.
  • Ils offrent une grande polyvalence et sont adaptés à une variété de conditions de navigation.

Le voilier : idéal pour faire un tour du monde ?

Le voilier : idéal pour faire un tour du monde ?

  • Les voiliers utilisent principalement la force du vent pour se déplacer, ce qui les rend très économes en carburant et respectueux de l'environnement. Cela permet de réduire les coûts de carburant et l'impact environnemental.
  • Les voiliers de croisière sont souvent équipés de systèmes de production d'énergie renouvelable, tels que des panneaux solaires et des éoliennes, ainsi que de systèmes de désalinisation pour produire de l'eau potable à partir de l'eau de mer. Cela permet aux navigateurs de rester autonomes en mer pendant de longues périodes.
  • Les voiliers sont conçus pour être stables en mer, avec des quilles longues qui offrent une grande stabilité. Cela les rend adaptés à la navigation en haute mer et à la traversée d'océans.
  • Les voiliers sont polyvalents et peuvent être utilisés pour la navigation à voile ou à moteur, ce qui offre une flexibilité en cas de conditions météorologiques variables.
  • De nombreux voiliers ont un faible tirant d'eau, ce qui signifie qu'ils peuvent accéder à des zones peu profondes et à des lagunes, ce qui peut être utile pour explorer des endroits isolés et magnifiques.
  • La navigation à la voile offre une expérience unique et gratifiante, où les navigateurs doivent apprendre à tirer parti des vents et à naviguer en harmonie avec la nature.
  • Comparativement à certains autres types de bateaux, les voiliers de croisière peuvent être plus abordables à l'achat et à l'entretien.
  • Il existe une communauté internationale de navigateurs à voile qui partagent leurs expériences, leurs connaissances et leur soutien mutuel, ce qui peut être précieux lors d'un tour du monde.

Quel type de voilier choisir pour faire le tour du monde ?

  • Les voiliers monocoques sont les plus courants pour les voyages autour du monde. Ils sont appréciés pour leur polyvalence, leur stabilité et leur capacité à résister aux conditions océaniques difficiles.
  • Les monocoques offrent généralement un espace de vie confortable avec des cabines, une cuisine, une salle de bains et des espaces de détente.
  • Ils sont équipés de quilles longues pour la stabilité et de systèmes de navigation modernes.
  • Certains navigateurs optent pour des voiliers en aluminium ou en acier en raison de leur durabilité et de leur capacité à résister aux chocs avec des objets flottants en mer.
  • Ces voiliers sont conçus pour les conditions de navigation les plus exigeantes et sont souvent utilisés pour des expéditions en Antarctique ou dans l'Arctique.
  • Les voiliers de course-croisière offrent une combinaison de performances en course et de commodités de croisière. Ils sont rapides et peuvent parcourir de longues distances rapidement.
  • Ils peuvent nécessiter des ajustements pour les rendre adaptés aux voyages à long terme.
  • Les catamarans sont des voiliers à deux coques qui offrent une grande stabilité et une grande surface de pont.
  • Ils sont adaptés à la croisière en famille en raison de leur espace spacieux.
  • Les amateurs de voiliers classiques apprécient le charme et l'authenticité de ces bateaux. Ils sont souvent en bois et peuvent nécessiter un entretien plus intensif.
  • Si vous avez un budget élevé, vous pouvez opter pour un voilier de luxe équipé de toutes les commodités imaginables, y compris des cabines somptueuses, des équipements de divertissement et un équipage professionnel.
  • Votre expérience en navigation : Si vous êtes un marin expérimenté, vous pourrez envisager un plus large éventail d'options. Les débutants devraient opter pour un voilier plus facile à manœuvrer.
  • Budget : Le coût d'achat, d'entretien et d'équipement du voilier est un facteur clé.
  • Taille : La taille du voilier déterminera la capacité d'emport, le confort à bord et la facilité de manœuvre.
  • Durabilité et sécurité : Recherchez un voilier bien construit avec des systèmes de sécurité et de navigation modernes.
  • Objectifs de voyage : Votre itinéraire et vos destinations prévues peuvent influencer votre choix de voilier.

Acheter ou louer un voilier pour une croisière rapide en mer ?

Pour faire le tour du monde, le choix d’un voilier adapté est essentiel. Mais, faut-il acheter ou louer son voilier pour profiter d’un voyage sans égal ? Il s’agit, en fait, d’un choix qui dépend de l’envie, du budget et de la préférence de chacun. Ce qui est certain, c’est que l’achat tout comme la location présentent des avantages et peut également cacher des incommodités. Ainsi, vous pouvez choisir de louer un voilier tour du monde qui s’avère moins cher que l’acquisition. Le seul bémol, c’est que le bateau ne vous appartiendra pas à la fin de la croisière. Ensuite, en louant un voilier, vous profitez d’un navire en excellent état, bien révisé, proposé par un professionnel. Puis, le forfait d’une location inclut les équipements, l’assurance, l’entretien et bien d’autres encore. Quant à l’achat, les atouts ne sont pas moindres non plus. En achetant un voilier pour faire le tour du monde, vous profitez de votre propre bateau. Vous avez le droit de l’aménager comme bon vous semble. Il n’y a pas de durée limite, vous pouvez revenir quand vous le souhaitez.

Et pourquoi ne pas opter pour un petit voilier ?

Contrairement à ce que beaucoup pensent, le petit voilier peut être aussi idéal pour faire le tour de monde. Abordable, simple et navigable, le petit voilier présente de nombreux avantages par rapport aux grands voiliers spacieux . Vous profitez d’un voilier croisière rapide au meilleur prix et d’un confort inédit. Le petit bateau, certes, convient tout particulièrement aux petits groupes. Puis, il dispose d’un système plus simple à comprendre. Donc, par sa taille, il est physiquement plus aisé à naviguer, quelle que soit la durée de votre croisière en mer. Enfin, choisir un petit bateau offshore capable permet de naviguer sur de longues distances. Il suffit d’opter pour un bon modèle.

Comment choisir votre futur voilier?

Le budget pour acheter un bateau, qui je suis et ce que je veux faire de mon bateau.

Comment choisir votre futur voilier?

La taille du futur bateau

Pour profiter de votre voyage de noces, vous pouvez choisir comme destination la Polynésie. Ces îles enchanteresses et ses plages de rêve ne laissent pas indifférents les couples de voyageurs.

Le voyage présente plusieurs bienfaits : avoir confiance en soi, apprendre à se connaître et à s’écouter, dégustez des recettes exotiques, découvrir de nouvelles cultures, prendre de nouvelles initiatives.

Pour partir en voyage, vous devez vous renseigner sur vos futurs séjours. Si vous décidez de voyager en emportant votre animal de compagnie, vous devez obligatoirement lui mettre une identification par puce électronique.

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Tour du monde en voilier : quel bateau choisir ?

voilier acier tour du monde

22 novembre 2023 Par Simon Pas encore de commentaire.

Que ce soit en famille ou entre amis, un tour du monde en voilier est toujours une expérience inoubliable. Sachant qu’il structurera votre quotidien pendant plusieurs semaines, quels sont les critères qui doivent déterminer le choix de votre bateau ? Performance de la navigation, confort, équipage, on revient avec vous sur tout ce qu’il faut savoir pour faire le bon choix.

Si vous avez l’intention de faire le tour du monde en voilier, choisissez celui qui convient le mieux à votre style de navigation et aux conditions météorologiques que vous risquez de rencontrer.

Il y a beaucoup de navires différents sur le marché, donc comment choisir celui qui convient le mieux ? Il y a des différences entre les bateaux destinés à la course et ceux qui sont plus adaptés aux longues croisi è res . Les marins expérimentés ont généralement une préférence pour un type de bateau ou l’autre, mais si vous êtes nouveau dans le monde de la voile , il peut paraître difficile de savoir par où commencer.

Par exemple, les catamarans sont plus confortables et plus rapides à une allure portante, mais les monocoques sont plus rapides pour remonter le vent.

Quels sont les types de bateaux à retenir ?

Dans cet article, nous allons nous pencher sur les différents types de bateaux pour vous aider à faire votre choix. Pour partir faire le tour du monde, la plupart des vacanciers optent pour l’une de ces trois catégories de navires :

  • Les monocoques sont généralement plus lents que les autres types de bateaux, mais ils sont également moins chers à construire et peuvent donc constituer une bonne option pour celles et ceux qui cherchent à acheter leur premier voilier.
  • Les multicoques sont généralement plus rapides que les monocoques, car ils ont plusieurs coques qui leur permettent d’avancer plus rapidement dans l’eau. Ils sont également considérés comme étant plus stables que les autres bateaux, ce qui est idéal si vous craignez d’avoir le mal de mer sur des eaux agitées.
  • Parmi les multicoques, les catamarans sont probablement les bateaux les plus rapides tout en restant les plus stables. Ils peuvent atteindre des vitesses impressionnantes ! En revanche, ils ne conviennent pas forcément aux débutants car ils sont assez difficiles à manœuvrer au début.

Le catamaran est-il le meilleur choix possible ?

Naviguer autour du globe en voilier est un rêve pour beaucoup de gens. Mais quel type de bateau choisir ? On sait que les catamarans sont recommandés pour la navigation de plaisance. Mais sont-ils vraiment les meilleurs navires pour ce genre d’aventure ?

En réalité cela dépend. Les catamarans offrent une meilleure stabilité, une meilleure visibilité et un confort supérieur et ils peuvent accueillir plus de personnes et de matériel. Ils sont également moins sujets aux mouvements de houle, ce qui signifie que vous pouvez naviguer en toute sécurité en vous fatiguant moins.

En outre, les catamarans ont généralement une plus grande superficie habitable que les monocoques du même tonnage. Ils peuvent donc accueillir plus de personnes à bord et transporter plus de matériel. Les catamarans ont généralement un cockpit plus spacieux que les bateaux à moteur, ce qui est idéal pour profiter du beau temps et de la vue. Petit plus, certains modèles ont une plate-forme arrière qui permet de profiter d’un espace de détente privilégié.

Les catamarans sont donc très prisés pour les longues traversées ou pour faire le tour du monde en famille ou entre amis.

Une question de prix, de sécurité et/ou de mode de vie

Location de voiliers à Nice

Location de voiliers à Nice

Évidemment, de votre rythme de vie sur le bateau dépendront plusieurs choses. Êtes-vous sportif ou plutôt adepte de la farniente. Certains préfèrent mouiller au port tous les soirs, quand d’autres apprécient la liberté de jeter l’ancre au large.

Côté porte-monnaie, les plaisanciers ont souvent un budget limité, ce qui influence leur choix. N’oubliez pas que les monocoques sont moins chers à l’achat (ou à la location) et à l’entretien qu’un catamaran. De même, l’acquisition d’un voilier de plaisance est moins coûteuse que celle d’un bateau à moteur.

Pour ce qui est de la sécurité, l’accastillage est important : assurez-vous que le bateau est équipé d’un bon mât, de voiles et de cordages. De même, choisissez un bateau qui présente une coque solide.

Enfin, le nombre de membres d’ é quipage est important : un voilier peut abriter plusieurs personnes, mais il faut aussi tenir compte du nombre de passagers à bord et de la capacité totale du navire.

Quels que soient vos critères de sélection, n’hésitez pas à demander de l’aide aux membres de votre entourage susceptibles de vous aider. Par ailleurs, comparez un maximum de modèles entre eux avant d’acheter un bateau.

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Le tour du monde en solitaire en Ultim !

Ultime, la course va bientôt faire son arrivé !

A Brest, le 22 avril 2022 – Arkéa , déjà présent depuis plusieurs années dans la course au large, devient partenaire titre des deux prochaines éditions du premier tour du monde Ultim en solitaire en course organisé par OC Sport Pen Duick.

Il rassemblera les skippers de la Classe Ultim 32/23, qui réunit en son sein, les meilleurs marins de la planète, et les multicoques océaniques les plus innovants et exigeants. Un défi humain et technologique hors norme qui fera entrer à coup sûr la course et ses marins au Panthéon de la voile !

Le tour du monde en solitaire en Ultim a un nom : l’ Arkea Ultim Challenge – Brest 

Ils sont déjà cinq inscrits à cette course exceptionnelle et ils seront potentiellement sept « Géants des mers » à s’élancer de Brest, avec à leur bord un skipper solitaire, qui tentera de boucler un tour du monde d’Ouest en Est, par les 3 caps (Bonne -Espérance, Leewin et Horn). Un défi humain et technologique porté par les marins de la Classe Ultim 32/23 accompagnés de leurs armateurs et partenaires.

Certains marins ont déjà effectué le parcours en multicoque et en solitaire : Francis Joyon, Dame Ellen MacArthur, Thomas Coville, François Gabart ; notamment dans le cadre de campagnes de record du tour du monde à la voile en solitaire, mais jamais aucun ne l’a fait en course.

Seuls, sur leurs multicoques géants, pendant 40 à 50 jours, les skippers seront soumis à des variations extrêmes de conditions météorologiques et devront composer avec le vent, les vagues, la houle et les glaces. Les systèmes anticycloniques, peu ventées ainsi que les dépressions, le plus souvent à l’origine de vents forts, rythmeront la vie des marins à bord et influenceront les stratégies de trajectoire adoptées.

Le tour du monde à la voile, est avant tout un périple climatique : la descente de l’atlantique, la traversée de l’océan indien puis pacifique jusqu’à faire à nouveau cap au nord en remontant l’atlantique…

D’abord entre Brest et le cap de Bonne-Espérance, le parcours est rythmé par le passage d’un hémisphère à l’autre par le « Pot au Noir » aussi appelé « zone de convergence intertropicale (ZCIT) ». L’ambiance dans cette zone mêle masses d’air chaudes et humides portées par les alizés des anticyclone des Açores dans l’Atlantique Nord, et celui de Sainte-Hélène dans son équivalent austral.

Elles génèrent un air instable où calmes blancs et grains orageux alternent sans véritable logique, nécessitant déjà sur cette première partie de course une vigilance accrue pour sortir de ce piège le plus rapidement possible.

Un nouveau défi pour OC Sport Pen Duick, organisateur des plus grandes courses au large

OC Sport Pen Duick, filiale et branche événementielle sportive du Groupe Télégramme, est la société organisatrice de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe, la Solitaire du Figaro, The Transat CIC ou encore La Transat en Double Concarneau – Saint Barthélemy : autant de courses dont la renommée n’est plus à faire.

Un nouveau défi de taille qui s’inscrit dans la lignée des grandes courses organisées par le groupe et qui sera porté et amplifié par l’engagement d’Arkéa et de la ville de Brest, port des records et hôte du départ et de l’arrivée de cette nouvelle épreuve océanique.

Ultime, la course va bientôt faire son arrivé !

Ce tour du monde en solitaire baptisé « ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest » sera sans nul doute une course de grande ampleur, unique en son genre et qui mettra en avant des valeurs communes aux marins, à l’organisateur, et aux partenaires : émotion, détermination et humilité.

Une course et des marins hors normes !

Ils sont peu à pouvoir relever le défi de cette course, et c’est ce qui en fait des êtres-humains atypiques, aux aptitudes physiques exceptionnelles. Ces marins mettront à l’épreuve leurs immenses capacités physiques et mentales, contraints par le format de la course, à faire face à des conditions extrêmement difficiles et à leurs propres limites.

C’est l’effet « solitaire » face à l’un des éléments les plus hostiles de la planète, qui renforcera chez chacun des skippers engagés leur aura de héros et qui permettra au grand public de mesurer la hauteur de l’exploit qu’ils réaliseront.

Arkéa, la poursuite d’un engagement historique dans la course au large

Arkéa s’engage auprès des acteurs locaux et de l’économie réelle afin de soutenir les événements au cœur de ses territoires. Il était donc important d’accompagner via ce partenariat le lancement d’un nouveau rendez-vous sportif majeur qui promet de mettre Brest et l’ensemble de la région au premier plan.

Arkéa souhaite être un créateur de liens et il était évident pour le Groupe à fort ancrage régional d’être au côté de la métropole de Brest, de la Région Bretagne et du Département du Finistère qui sont des partenaires majeurs et des soutiens du Groupe.

Brest, le « Port des records » qui porte bien son nom

« Brest Métropole Océane », « Brest Port des Records » et aujourd’hui « Brest port de départ et d’arrivée de l’ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest 2023.

Une liste de noms qui affirme l’engagement fort de ce territoire du Finistère et de la Région Bretagne envers les marins, le grand large et les défis technologiques les plus avancés.

La Région Bretagne, met en lumière à travers son engagement dans ce nouveau défi, les ressources humaines et technologiques bretonnes qui participent à la construction de ces « géants de mers ».

Cette course permet aussi de valoriser l’ensemble du tissu économique local Finistérien qui, grâce à ses chantiers navals, et leurs moyens humains, participent eux aussi à la réalisation et la réussite du futur ARKEA ULTIM CHALLENGE – Brest.

Enfin, Brest et sa célèbre rade, disposent d’un plan d’eau exceptionnel et ambitionnent de devenir bien plus que le port des records en accueillant cette course unique et extrême.

C’est un événement de plus qui leur permettra de figurer parmi les ports les plus impliqués dans les grands événements de la course au large française.

source : communiqué de presse

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Vous avez l’intention de réaliser un voyage en voilier tout autour du monde ? Que ce soit votre rêve depuis votre enfance ou une décision prise sur un coup de tête, c’est une excellente idée !

L’aventure qui vous attend ne manquera pas de vous surprendre ! D’ailleurs, même si vous n’avez aucune expérience de la voile, vous pouvez tout à fait mettre en œuvre un tel projet.

Mais avant de commencer, il est nécessaire de s’organiser au maximum afin d’effectuer une sortie en mer dans de bonnes conditions. Au-delà de l’équipement et des accessoires nécessaires, il est aussi indispensable de planifier son itinéraire pour un tour du monde à la voile. Comment y parvenir ? Nous vous donnons des conseils à ce propos dans cet article !

Préparer son itinéraire pour un tour du monde en voilier réussi : Les points à examiner

Faire le tour du monde à la voile est loin d’être une activité facile, mais cela promet de vivre une expérience exceptionnelle et de belles occasions d’aventures. C’est la raison pour laquelle elle demande un maximum de préparation en avance pour éviter les mauvaises surprises.

Parmi les préparatifs obligatoires figure la planification de son itinéraire. Afin de réussir à organiser celui-ci, il est nécessaire de prendre en compte plusieurs paramètres comme la durée du voyage, les envies du voyageur, les formalités administratives et le budget.

La durée du voyage en voilier

La durée du voyage dépend de nombreux critères, notamment de votre budget, de votre envie de découvrir de nouvelles expériences et de vos possibilités professionnelles. Mais sachez qu’en règle générale, un tour du monde à la voile dure entre six mois et un an.

Bien sûr, vous pouvez décider de faire un voyage prolongé, mais dans ce cas, votre budget sera beaucoup plus important. En effet, lors de longs voyages, vous allez séjourner plus longtemps au même endroit, ce qui vous amènera à dépenser plus d’argent pour le transport, ou la location d’un logement.

voilier acier tour du monde

Nous vous recommandons de prévoir un minimum de 6 mois. Cela semble être une bonne durée pour vous donner une excellente occasion de vous éloigner de votre vie quotidienne et de visiter un continent ou une région en particulier. En revanche, si vous souhaitez visiter plusieurs continents, vous pouvez envisager une durée supérieure à 6 mois !

Vos besoins et celui qui sera à bord

Pour réussir à établir un itinéraire pour un tour du monde en voilier, il est nécessaire de prendre en compte ses propres besoins ainsi que ceux de la personne qui souhaite embarquer. Pour y parvenir, il importe de se mettre d’accord sur les lieux à visiter et les activités à entreprendre, car chacun a des attentes bien singulières.

Pour que tout le monde ait la possibilité de tirer le meilleur parti du voyage, la solution la plus appropriée consiste, dans ce cas, à leur demander d’établir un itinéraire individuel. Dès lors que chacun a son propre itinéraire, passez à la mise en commun et commencez les négociations.

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Les formalités administratives

Quels documents devez-vous emporter avec vous lors de votre voyage autour du monde ? C’est une question à laquelle vous devez penser. En général, les documents les plus indispensables à posséder sont le passeport et les visas. Le carnet de santé, le permis, une carte d’identité nationale sont quelquefois nécessaires.

Il faut savoir que vous devez vous présenter à la douane pour accéder et quitter les pays que vous visitez. Ainsi, vous devez vous renseigner à l’avance sur les formalités administratives relatives à chaque pays que vous comptez parcourir. N’oubliez pas non plus que les procédures douanières changent d’un pays à l’autre. Tenez-vous prêt donc, car votre embarcation peut être fouillée par les agents des douanes pour vérifier que vous ne transportez pas d’objets dangereux ou illégaux.

Votre budget

Comme mentionné précédemment, le budget est l’un des critères qui vont conditionner la durée de votre voyage. À cela s’ajoutent les activités à faire sur terre ou sur mer, les chambres pour passer la nuit, les repas, etc. Retenez bien que plus votre budget est serré, plus votre aventure en tour du monde risque d’être gâchée.

À cet effet, nous vous conseillons de prendre en compte à peu près la somme dont vous aurez besoin par mois pour subvenir à vos besoins : Assurance du bateau, assurance maladie, dépenses diverses à terre, notamment frais de taxi, restaurants, appels téléphoniques, cadeaux souvenirs, etc.

Conseils pour planifier un itinéraire pour un tour du monde en voilier avec le planificateur.a-contresens.net

Maintenant que vous avez compris les points auxquels il faut veiller, voici une petite méthode à laquelle vous pouvez vous référer afin que vous puissiez organiser un itinéraire pour un tour du monde en voilier :

Choisir les destinations

Dans cette optique, il s’agit tout simplement de sélectionner une liste des activités que vous rêvez de faire et des lieux que vous voulez absolument découvrir. Pour ce faire, nous vous proposons ces deux conseils essentiels :

  • Recherchez sur le net les lieux qui pourraient vous intéresser.
  • Prenez ensuite une carte et dès que vous trouvez un lieu, marquez-le sur celle-ci.

Cette carte vous permettra ainsi de réaliser le trajet et de mieux représenter les distances et les frontières. Elle vous permet également de faire des compromis, notamment de mettre en commun vos besoins, ceux des personnes qui souhaitent vous accompagner.

Lire aussi: Top 10 des plus beaux ports maritimes du monde

Tenir compte des contraintes

Dès lors que vous avez en main toutes les activités que vous souhaitez réaliser, passez au tri en intégrant les contraintes. Ces dernières sont entre autres constituées par votre budget, les formalités administratives et parfois le climat.

À cet égard, le planificateur a-contresens fait preuve de son envergure. Il s’agit d’un outil qui vous permet de planifier votre itinéraire pour un tour du monde en voilier. Son rôle est de vous aider à intégrer toutes les contraintes à votre itinéraire :

On trouve derrière l’outil une base de données regroupant des milliers de budgets de voyageurs sur laquelle l’outil se base pour estimer le budget moyen par jour pour voyager. Lorsque vous aurez saisi votre itinéraire provisoire dans l’outil, celui-ci vous fournira une estimation du budget pour votre voyage.

Formalités administratives

Le planificateur a-contresens vous donne également des renseignements précieux sur les papiers nécessaires à chaque pays.

L’outil de planification inclut des informations détaillées relatives au climat et aux meilleures saisons pour se rendre dans un pays donné. Ainsi, vous disposerez directement d’un grand tableau qui vous indiquera si vous vous trouvez aux bons endroits aux bonnes périodes.

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Quoi de mieux pour satisfaire une soif d’aventures, de liberté et de découverte que de partir à la découverte du monde en voilier ? Faire un tour du monde en monocoque est une expérience unique et inoubliable qui permet de découvrir le monde. Que vous soyez un marin chevronné ou un plaisancier en apprentissage, le moteur essentiel pour parcourir les océans à la voile est d’abord la motivation. Vous en avez toujours rêvé, vous vous sentez l’âme d’un skipper et vous êtes incollable sur les voyages de François Gabart et Loïck Peyron ? Mais un tour du globe en bateau ne s’improvise pas et Band of Boats vous propose un article pour vous préparer dans votre projet.  Dans cet article, nous allons explorer les joies et les défis de faire un tour du monde en voilier, ainsi que les compétences, les équipements et la planification nécessaires pour vivre cette nouvelle expérience de manière sûre et enrichissante.

Trouvez votre voilier pour faire le tour du monde

Consultez nos annonces de voiliers équipés pour un tour du monde

1. Mettre en place votre projet de tour du monde en bateau

Larguer les amarres pour parcourir des milles nautiques est une entreprise passionnante et ambitieuse qui nécessite une planification minutieuse et une préparation rigoureuse. La première étape incontournable est celle de bien préparer votre projet. Il s’agit en effet de rendre le rêve concrètement possible : avoir des connaissances en navigation suffisantes, prendre une année sabbatique, disposer d’un bagage financier et enfin acheter son bateau.

  • Avant de prendre le départ, vous devez avoir une vision claire de ce que vous voulez réaliser. Posez-vous des questions sur les raisons qui vous poussent à entreprendre un tour du monde en bateau et les objectifs que vous souhaitez atteindre. Cela vous aidera à orienter votre projet et à vous fixer des objectifs clairs.
  • Planifier l’itinéraire est une étape importante du projet. Vous devez choisir les ports où vous ferez escale, déterminer la durée de chaque étape et le nombre de milles qui les séparent.
  • Prévoir le budget : La mise en place d’un projet de tour du monde en bateau peut être coûteuse. Il est important de prévoir un budget réaliste pour financer les coûts de l’achat du bateau, de l’équipement, des assurances, de la nourriture et de l’hébergement.
  • Acquérir les compétences nécessaires : Pour naviguer en toute sécurité en haute mer, il est important de disposer des compétences nécessaires en matière de navigation et de sécurité en mer. Il est recommandé de suivre une formation de navigation hauturière et de sécurité en mer pour acquérir les compétences nécessaires. Opter pour une location de bateau avec un skipper est également une bonne idée se préparer.

2. Choisir le bateau adapté

Le choix du bateau est crucial pour réussir votre tour du monde en bateau. Il est important de choisir un bateau qui est adapté à la navigation hauturière, capable de résister aux conditions météorologiques extrêmes et doté d’un équipement de sécurité adéquat. Pour effectuer un tour du monde, les voiliers et yachts sont les plus fréquemment utilisés. Comptez minimum 39 pieds (12 mètres) de long pour une vie confortable à bord.

Un voilier multicoque a l’avantage de ne pas gîter et de permettre la navigation par mer formée. Les multicoques ont une meilleure vitesse que les monocoques en raison de leur faible poids et de leur capacité à naviguer efficacement avec une grande surface de voile. Cela signifie qu’un multicoque peut couvrir plus de distance en moins de temps, ce qui peut être important pour un tour du monde à la voile. Un multicoque offre un niveau de confort supérieur à celui d’un monocoque en raison de sa stabilité et d’un espace habitable plus important.

Côté voilier monocoque, une coque de bateau aluminium est réputée ou être plus légère et robuste… En effet l’aluminium est un matériau populaire pour les coques de bateau en raison de sa résistance à la corrosion et de sa légèreté. Les bateaux en aluminium peuvent également être plus faciles à réparer en cas de dommages.

Vous vous demandez donc sûrement quel voilier choisir pour y vivre durant plusieurs mois ? Avant d’acquérir votre futur bateau , renseignez-vous sur les niveaux d’autonomies de manœuvre et de vie à bord  : l’important est de trouver un bateau alliant  confort, performance et sécurité . Pensez à consulter nos différentes annonces de  voilier à vendre  d’occasion au meilleur prix. Et afin de se familiariser avec la vie en mer et d’éviter les désillusions, une croisière-test, de courte durée, constituera une première étape avant de se lancer.

3. Quel itinéraire ?

La route choisie devra prendre en compte un certain nombre de facteurs afin de se dérouler dans les meilleures conditions possibles, notamment la saison, la météo, les escales souhaitées et la durée du voyage. Cela nécessite donc de se renseigner un minimum en amont. Outre les informations disponibles sur internet, il pourra être intéressant de consulter les livres Routes de Grande croisière de J. Cornell  ou  Ocean passage for the world , si vous êtes à l’aise avec l’anglais.

La première étape de votre préparation doit être de déterminer la meilleure période de l’année pour naviguer dans chaque région que vous prévoyez de visiter. La météo peut varier considérablement d’une région à l’autre, et certaines destinations peuvent être dangereuses pour les bateaux et leurs capitaines.

Un bon  logiciel de routage vous permettra quant à lui de calculer des données comme les vents, les courants et les orages (fréquents en zones tropicales humides) et d’adapter votre trajet ou rester au port quelques jours si les conditions sont vraiment mauvaises. De nombreux tourdumondistes choisissent de traverser l’Océan Pacifique, du Panama jusqu’au détroit de Torrès. D’autres partent des Caraïbes, traversent l’Océan Atlantique jusqu’aux Açores guidés par les vents portants et remontent vers l’Europe. Bien que de nombreux itinéraires soient possibles, il vous faudra tenir compte des tempêtes hivernales , de la  saison cyclonique  et éviter les lieux où sévissent de plus en plus de pirates maritimes tels que la mer Rouge. N’hésitez-pas à demander l’avis de navigateurs expérimentés. Sarah et Aurélien tiennent par exemple le blog  Poussé par le vent , très inspirant pour toute personne souhaitant voyager en voilier autour du monde, quel que soit son budget.

Une fois que vous avez déterminé votre itinéraire général, vous devrez planifier les ports d’escale où vous pourrez vous ravitailler, faire des réparations et vous reposer. Vous devrez également vous renseigner sur les formalités d’entrée dans chaque pays que vous prévoyez de visiter, telles que les visas et les permis de navigation.

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Voici quelques itinéraires populaires suivis par les navigateurs pour faire le tour du monde :

La Route du Rhum : Cette route suit généralement le trajet des vents dominants et de la circulation des courants. Avec un départ de France vers l’ouest, les bateaux font cap vers les Caraïbes, le canal de Panama, l’océan Pacifique, l’océan Indien, le cap de Bonne-Espérance, l’océan Atlantique Sud et retour en France.

La Route du Cap Horn : Cette route suit un parcours plus difficile, en passant par le cap Horn dans le sud de l’Argentine, avant de traverser l’océan Pacifique, l’océan Indien et l’océan Atlantique pour finir en Europe.

La Route du Tour du Monde en 80 jours : Cette route suit les vents dominants de l’océan Indien, en passant par l’Afrique du Sud, l’océan Atlantique Sud, le Brésil, les Antilles et les Açores, avant de revenir en Europe.

La Route de l’Alizé : Cette route suit les alizés dans l’océan Atlantique, en passant par les îles du Cap-Vert, le Brésil, les Antilles, le canal de Panama, l’océan Pacifique, l’océan Indien, l’Afrique du Sud et retour en Europe.

Le conseil de Band of Boats : Les plans peuvent changer rapidement en mer, il est donc important de rester flexible dans votre itinéraire. Les conditions météorologiques, les problèmes techniques et les imprévus peuvent tous influencer votre planification. Assurez-vous d’avoir des plans de secours pour chaque étape de votre voyage.

4. Aménagements et sécurité

Quel que soit votre parcours, ayez à bord tous les équipements de sécurité nécessaires  : téléphone satellite, GPS, feux de détresse, canot et gilets de sauvetage, extincteur, VHF. Prévoyez par ailleurs des  pièces et de l’outillage de secours  ainsi que du matériel pour bricoler.

Des  connaissances en mécanique pourront vous être véritablement utiles durant une longue croisière. Avant votre départ, constituez des réserves en eau potable, emportez avec vous des pastilles de purification d’eau , de la nourriture non périssable et de l’essence. Vous vous ravitaillerez ensuite au fur et à mesure de vos escales. Pensez également à vérifier l’état des voiles et du moteur, en passant par l’ancre et le GPS, qui devront être irréprochables.

Enfin, informez toujours un proche ou des amis de votre itinéraire : au cas où les choses tournent mal, ils sauraient où vous trouver.

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5. Tour du monde à plusieurs : l’organisation à bord

Si vous souhaitez faire le tour du monde en bateau avec un équipage, assurez-vous que les personnes embarquées partagent votre passion et votre engagement pour le projet. Il est important de définir les rôles et les responsabilités de chacun au sein de l’équipage. En couple, en famille, avec des amis le temps d’une étape, tout est possible pour un tour du monde. L’important est de ne pas transiger sur la sécurité et de prévoir un espace pour chacun afin de préserver le confort de tous.

Faire un tour du monde à la voile avec des enfants est une aventure incroyable, mais qui nécessite une bonne préparation et une planification minutieuse.

  • Optez pour un bateau confortable et stable, avec une cabine équipée pour les enfants.
  • Assurez-vous d’avoir suffisamment de temps pour profiter des escales et pour permettre aux enfants de se reposer.
  • Prévoyez des activités pour les enfants à bord, pour les divertir et les occuper pendant les longues traversées.

Un  bébé à bord   ? Quelques aménagements seront nécessaires, comme un lit avec toile antiroulis ou des couches lavables pour économiser un maximum de place, par exemple.

Pour les enfants, ou si vous embarquez des personnes souffrant du mal de mer, prévoyez un espace couchage à l’arrière du bateau pour les nuits passées en mer. Si, par ailleurs, vous souhaitez emmener avec vous votre animal de compagnie, sachez qu’il est possible d’amariner progressivement votre compagnon afin qu’il puisse prendre la mer avec vous. D’ailleurs, vous pouvez complétez votre lecture en consultant notre article  Naviguer avec son chien .

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6. Infos pratiques

Avant de partir en mer, il est important de s’assurer que vous avez toutes les autorisations nécessaires pour naviguer dans les eaux internationales et faire escale dans les différents ports. Avant la date du grand départ, pensez à vous renseigner sur les  visas nécessaires et les lois sanitaires  des pays que vous souhaitez visiter, à avoir toujours avec vous un passeport en cours de validité ainsi qu’un permis international. Prévoyez une  assurance pour le bateau  et une pour votre santé : les risques sont trop importants pour s’en dispenser. De même, ayez toujours vos  vaccinations à jour  et constituez une trousse de secours à mettre à bord. Par ailleurs, selon votre budget et la durée de votre projet, il pourra être intéressant de louer votre maison en votre absence (n’oubliez-pas de faire suivre votre courrier à une autre adresse). Les locataires auront tout intérêt à résilier leur bail. A l’issue de votre tour du monde, si vous le souhaitez il sera toujours possible de revendre votre bateau à un bon prix.

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Captain Darwin

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Explorer la biodiversité, 200 ans après Darwin.

Une expédition à la voile.

Pour la toute première fois au monde, nous retraçons le voyage de Charles Darwin dans son intégralité, à la voile, pour filmer et photographier 200 ans d’évolution de la biodiversité et des paysages.

Pour établir cette comparaison historique, nous interrogeons les scientifiques et les citoyens de tous les pays, pour confronter leur constat naturaliste à ce que décrivait l’auteur de la théorie de l’Evolution, au début du XIXe siècle.

Notre navire d’expédition est un voilier de 12 mètres en acier, conçu pour naviguer partout autour du monde en toute autonomie. Nous avons quitté Plymouth en septembre 2021, et bouclerons le tour du monde en 5 ans, la durée exacte du voyage originel de Darwin !

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Pour la première fois au monde, nous retraçons à la voile la totalité du voyage de Darwin.

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Une aventure pédagogique

Captain Darwin est une association loi 1901, dont l’objectif est d’enseigner la biodiversité à e grand public et la jeunesse française. Elle est conventionnée avec la Région Académique Bretagne.

Notre sommes convaincus que la reconnection des citoyens à leur biodiversité est une étape indispensable à l’avènement d’une société durable et heureuse. Pour y parvenir, nous produisons des films et des reportages documentaires sur la biodiversité du monde, que nous diffusons sur dans la presse française et internationale, en conférence et sur internet.

Dans le cadre de notre programme pédagogique, en convention avec la Région Académique Bretagne, nous organisons des sorties naturalistes pour les écoliers, les collégiens et les lycéens. Nous leur permettons de connecter leur Nature locale aux grands enjeux internationaux en organisant des visioconférences entre la France et le bateau d’expédition.

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Captain Darwin ouvre une voie novatrice et audacieuse dans le domaine de la pédagogie à l’environnement. Cette voie, c’est de faire d’un voyage autour du monde un outil en prise directe avec les intérêts de tous les citoyens : connaître son territoire, s’ouvrir au monde, cultiver son esprit d’aventure et agir concrètement pour la santé de la planète.

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Qui est Charles Darwin ?

Auteur de la Théorie de l’Évolution, il a été le premier à expliquer l’origine de la biodiversité planétaire.

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C’est quoi, la biodiversité ?

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Nous mêlons connaissance de la biodiversité locale et ouverture sur le monde., l’équipe.

Nous sommes de plus de 30 passionnés de Nature, tous engagés à faire émerger une société plus juste et durable à travers la pédagogie à l’environnement. L’équipe dirigeante est menée par Victor Rault, fondateur du projet et capitaine du navire, et Julien Raynaud, responsable de nos actions pédagogiques avec la jeunesse et le grand public.

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Victor RAULT Fondateur Capitaine du navire

Victor est à l’origine du projet Captain Darwin. Aventurier passionné de biodiversité, il a la responsabilité de la gestion du programme en mer. Son temps est passé entre prises de vue naturalistes, interview de scientifiques, navigation et visioconférence avec les jeunes.

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Julien RAYNAUD Coordinateur pédagogique Directeur des opérations

Julien est le responsable des opérations de l’association Captain Darwin à terre. Depuis nos locaux de Concarneau, il met sa passion de l’éducation à l’environnement au service de la jeunesse, en coordonnant l’ensemble de nos activités pédagogiques en France.

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Anne LECOQ Présidente de l’association

Anne est la garante du fonctionnement démocratique de l’association et de l’organisation de ses Assemblées Générales.

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Nathalie DELLIOU Responsable sorties naturalistes

Passionnée de Nature, Nathalie a la charge de la cohérence des sorties naturalistes que nous proposons à la jeunesse.

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Sacha MESGUICH Service Civique Pédagogie

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META Yachts - ALUMINUM BLUEWATER & EXPEDITION BOATS

Spécialiste de l'Aluminium Strongall – Voiliers et Moteurs

Situé à Tarare depuis 1963, META est le constructeur du célèbre JOSHUA de Bernard Moitessier. Grâce au procédé d’assemblage Strongall ® , breveté par le chantier en 1977, et son savoir faire unique le chantier conçoit et construit des voiliers, trawlers, vedettes et autres bâtiments flottants en aluminium précontraint : nos constructions sont performantes, innovantes, confortables et très résistantes.

META Yachts

"Plus de 300 voiliers, bateaux à moteur et trawlers ont été construits à Tarare depuis 1977. Leur extrême robustesse permet de naviguer dans des zones particulièrement difficiles." Joseph Fricaud, Fondateur de META Chantier Naval et inventeur du Strongall ®

L’aventure commence en 1961 quand Jean Fricaud, alors installé à Chauffailles, en Saône-et-Loire, propose à Bernard Moitessier , célèbre navigateur et écrivain français, de construire son ketch en acier : le Joshua

En 1974, Michel Joubert dessine le Damien II, dont la goélette en acier Om du célèbre chanteur, voyageur, photographe et réalisateur Antoine . Ses deux bateaux suivants, le sloop Voyage et le catamaran Banana Split seront construits en aluminium Strongall ® .

Après plus de 70 Joshuas, 30 Damiens II et bien d’autres coques en acier, META adopte le Strongall ® pour la majorité de ses constructions : plus de 300 voiliers, bateaux à moteur et trawlers dont l'extrême robustesse suscite l’engouement des aficionados du voyage d'expédition et de la navigation de grand large.

Le concept du Strongall ® , d’une coque pontée auto-porteuse en aluminium basée sur l’utilisation de tôles épaisses, favorise robustesse et longévité, garantes de l’investissement important que représentent l’achat et l’entretien d’un bateau. Il permet aussi une grande liberté dans les aménagements et la possibilité d'agencer des intérieurs sur mesure.

META a désormais l'avantage de proposer des one-off à des prix toujours très compétitifs grâce à la double casquette de son nouveau gérant, Philippe Brabetz, architecte naval de formation et détenteur du brevet Turbokeels ® .

Malgré la déferlante COVID, et les difficultés du contexte de ces dernières années, la nouvelle direction est très impliquée à préserver le mythique chantier naval. Grâce à l'impulsion modernisatrice qui a toujours su faire surface chez META , l'équipe à taille humaine, créative, innovante et hautement technique travaille main dans la main à confirmer et consolider la place légitime du chantier dans le cœur des passionnés de la navigation, aussi bien de grand large que fluviale.

Constructeur, designer et concepteur, le chantier propose désormais une nouvelle gamme de bateaux toujours aussi performants et résistants, aux lignes plus épurées et aménageables sur mesure, livrables de la coque nue au bateau barre-en-main.

L'Histoire du Chantier

Chauffailles, Saône et Loire : Jean Fricaud, métallurgiste autodidacte éclairé, profite de ses ateliers pour construire SAINTE MARTHE, son premier motor-sailer acier de 11m ; du haut de ses 13 ans, Joseph, le fils aîné, rêve d’automobiles, de dessin, de mécanique et de quitter au plus vite l’école pour entrer en apprentissage—ce qu'il fera, avec la bénédiction paternelle.

Les ateliers, en pleine effervescence, mettent en place une ligne de construction de pelles hydrauliques ; Joseph termine son apprentissage de mécanicien à Lyon et part enrichir son bagage technique au sein de divers ateliers régionaux de chaudronnerie espérant, au plus vite, pratiquer la métallurgie à son propre compte.

Toujours à Chauffailles, Jean Fricaud est approché par Bernard Moitessier, pour lequel il accepte, en bon mécène, de construire la coque acier de JOSHUA, un plan de Jean Knocker agrandi de 15% ; Parallèlement, Joseph s’installe sous l’enseigne META et devient sous-traitant de l’entreprise paternelle de pelles Hydrauliques.

Jean Fricaud a épuisé, à Chauffailles, toutes les possibilités d’extension de son entreprise de construction de pelles hydrauliques et implante un atelier supplémentaire à Tarare, sur la RN7, à proximité de Lyon. META, toujours à Chauffailles, amorce une diversification et élargit sa gamme de matériels de construction.

Jean Fricaud saisit l’opportunité de sa vie et vend son affaire prospère à un groupe industriel : il vient d'y construire la vedette NADINE et va enfin pouvoir se consacrer à la pêche au gros. Mais l’acquéreur ne souhaite s'étendre à Tarare, où l'atelier vient juste d’être achevé. Sentant "l'émergence d'un marché", Jean propose à son fils d'y construire des bateaux en acier. Joseph obéit et le destin précipite les évènements : grâce à la publicité engendrée par les exploits de Bernard Moitessier, META devient, à Tarare, un chantier naval à part entière.

Après avoir construit plus de 70 JOSHUAS, plus de 30 DAMIENS II, et bien d’autres coques en acier, Joseph lance un gros pavé dans la mare et délaisse l’acier au bénéfice de l'aluminium STRONGALL®, qu’il vient de breveter. Sa technique de construction en aluminium précontraint permet de réaliser des coques pontées extrêmement résistantes. La jeune filiale PROMETA, dirigée par François Fevre, délaisse à son tour l'acier pour le STRONGALL®.

Patrice Passinge a 17 ans lorsqu'il rejoint META en qualité de métallier, sous le contrôle d’André Ravatier, chef d’atelier de la société. Joseph suit avec attention les efforts de Patrice, qui très vite, s’avère malgré son jeune âge, un compagnon hors pair.

Patrice Passinge devient à son tour chef d'atelier lorsque, après son excellente carrière chez META, André Ravatier prend sa légitime retraite. Dès la fin des années 90, conscients que Joseph prend de l’âge, divers acquéreurs se manifestent avec l'objectif de grossir l’entreprise. Mais Joseph est souhaite préserver l'esprit familial de l'entreprise et décide de transmettre META à Patrice, qui dispose d’un solide bagage et d’une excellente culture du milieu.

Joseph Fricaud cède définitivement l’enseigne META Chantier Naval Spécialiste du STRONGALL®, et toutes ses activités à Patrice Passinge.

Chantier et mise à l'eau de FLEUR AUSTRALE, le magnifique voilier dessiné sur mesure pour et par Philippe Poupon. Ce grand ketch d'expédition voyage dans toutes les eaux du monde en toute sécurité, de l'arctique à l'antarctique en passant par l'océan pacifique.

Conception et réalisation de l'Ecotroll 39 en partenariat avec Jean-Pierre Brouns et le chantier Olbia. Plus petit troller homologué en navigation hauturière, celui-ci a navigué de Lyon au Groenland à travers les canaux et les océans avant de revenir à Lyon par le canal du midi au printemps 2011.

50 ans de META Chantier Naval sur l'île du Frioul en face de Marseille. Grande réunion et rencontres avec de nombreux clients et personnalités possédant des yachts META.

META se diversifie en proposant des coques pour différents projets flottants comme par exemple l'élaboration d'un restaurant flottant (entre deux ô) visible sur Roanne.

Fort de nos projets flottants, Dominique Renouf fait appel à META pour la construction de Coches Solaires. Véritables habitats flottants à propulsion électrique, les Coches Solaires sont alimentés grâce à des panneaux photovoltaïques et peuvent naviguer sur des canaux et rivières de manière écologique, une valeur importante de notre société. En parallèle, META travaille sur son premier bateau de série, le META 36.

Jeudi 12 mars, à quelques heures du premier discours présidentiel concernant l'endiguement dû à la COVID-19, Philippe Brabetz signe le rachat de META Chantier Naval Specialist du STRONGALL®. Patrice Passinge réfléchit au lancement d'un atelier de menuiserie dédié à l'aménagement intérieur du META 36, sur le site de Tarare.

Le rachat est définitif et le chantier naval, rebaptisé META Yachts—Chantier Architecte—Spécialiste du Strongall®, résiste à la vague COVID et suit son cours. Philippe cède son brevet TurboKeels® à la société et initie une gamme de designs innovants pour des voiliers et nouvelles vedettes moteur modernes, attractifs et très performants. META Yachts confirme aussi la volonté de soutenir des projets respectueux de l'environnement tels que les Coches électro-solaire de Dominique Renouf, et le magnifique Noé boat, porté par Nicolas Lallemand.

Inauguration de META Yachts Services, à Port Saint Louis du Rhône, sur la côte méditerranéenne, cofondée par Philippe Brabetz et Fréderic Switala, pour l'entretien, le gardiennage et la vente de bateaux META Yachts d'occasion.

Héritage Technique

Bernard moitessier.

Écrivain de grand talent, marin d’exception et philosophe reconnu bien au delà de nos frontières, Bernard MOITESSIER (1925 – 1994) est entré dans la légende.

Il a suscité de fortes vocations en communiquant sa précieuse philosophie à tous ceux qui, épris de liberté, ont « franchi le pas » et s’épanouissent loin de nos contrées agitées. Tout ou presque… a été dit et écrit sur Bernard, personnage tout à fait hors du commun. « Ou presque »… je pèse ces mots car je crains justement, que son formidable génie de la simplicité ait échappé à certains et s’évanouisse dans les oubliettes de l’histoire, ce qui serait injuste et regrettable. Plus que tout autre marin, Bernard était hanté non seulement par l’obligation de robustesse du bateau, mais l’entretien, d’où simplicité maxi. Dans cette parfaite logique de marin, le pont de JOSHUA – par son dépouillement très étudié – a toujours constitué, à mes yeux, une incontournable référence de travail. Aujourd’hui, tout constructeur (amateur ou professionnel) devrait s’inspirer du meilleur de ce chef-d’oeuvre de bon sens pratique, sur alu comme sur acier.

Simplicité drastique certes, mais solutions minimum longuement mûries et réfléchies !… Sur le pont de JOSHUA, rien ne devait accrocher, rien ne devait blesser, rien ne devait coincer : ni rails ni pièces vissées, mais soudage de robustes anneaux en lieu et place (pour faciliter le surf du pinceau, tout garder propre et en finir avec les adhésifs de protection ! En outre, les solutions les plus économiques étaient à l’ordre du jour, car Bernard n’était vraiment pas riche lorsque Jean, mon père, lui construisit en 1961, la coque numéro 1 de JOSHUA à CHAUFFAILLES. Parmi les originalités de ce plan de pont – d’une rigueur monarcale – le fameux « capot Chinois » par exemple, mérite le détour : 100 % étanche grâce à ses judicieux volumes de dépression malgré l’absence de joint souple, inviolable, réduisant les ponts thermiques, il divise par 3 les temps de peinture sur son périmètre en maintenant l’aspect du neuf : qui fait mieux?

J’étais bien jeune dans le métier lorsque ma petite équipe de compagnons démarrait à TARARE la construction en série des JOSHUAS, et le parrainage de Bernard me fut d’un sacré secours !

Plus de quarante années nous séparent aujourd’hui de la mise à l’eau de la coque de Bernard à LYON, et l’esprit du maître reste profondément enraciné dans nos réflexes – tout ce qui a pu être essayé de différent s’est finalement avéré souvent moins convaincant, alors, merci Bernard pour ton intelligente contribution à la conception des ponts métalliques de nos voiliers.

Joseph FRICAUD

Strongall ®

La construction des bateaux en strongall® chez meta.

Le matériau universel et parfait n’existe pas mais nous avons choisi l’aluminium pour succéder à l’acier car :

  • Les bateaux en aluminium sont solides : ce sont des  constructions homogènes sans joints entre les éléments soudés et sans faiblesses causées par des associations composites de matériaux divers
  • Les bateaux en aluminium ont une grande longévité, sont un bon investissement lorsque les budgets sont maîtrisés et conservent une bonne côte lors de leur revente s’ils ont été bien conçus et bien construits
  • Les aluminiums de nuances 5083 et 5086 demandent peu d’entretien

Qu’apporte en plus le Strongall® ?

Il s’agit d’une méthode de construction en aluminium développée et brevetée par META Chantier Naval en 1977.

Le concept est celui d’une coque pontée auto-porteuse en aluminium, basée sur l’utilisation de tôles épaisses pour l’élaboration de bateaux en aluminium.

La structure transversale est  alors réduite au minimum : réservoirs intégrés, ber moteur, ceinture de mât, crash-box ou cloison étanche selon  la taille du bateau.

Ce type de construction est synonyme de robustesse et de longévité garantissant l’investissement important que représente un bateau sur de nombreuses années.

Les Avantages du Strongall® :

  • Plus solide qu’une construction en acier à poids égal
  • 30% environ plus légère que la même coque en acier, à résistance comparable
  • L’utilisation de tôles épaisses permet une plus grande intensité au soudage éliminant ainsi le risqué de “collage” lors des soudures, avec la garantie d’une meilleure fusion du métal
  • Peu ou pas de déformation des tôles de bordés
  • L’épaisseur des tôles augmente la résistance à la corrosion et diminue significativement le risque de fatigue du métal (cycles répétés de torsion-flexion des bordés : une coque est une poutre creuse qui se déplace sur un phénomène complexe que sont les vagues et la houle)
  • La carène est traitée au Zinc inorganique Silicaté
  • La peinture des œuvres mortes et du pont n’est nécessaire que pour des raisons cosmétiques, ils peuvent rester à l’état brut sans conséquence pour le matériau.
  • Avantage non négligeable pour l’armateur, l’absence de structures contraignantes intérieures rend plus souple la conception des aménagements.

La contrainte architecturale :

Les coques sont nécessairement  à surfaces de bordés développables et à bouchain(s) vif(s), ce qui ne les empêche pas d’être élégantes et performantes !

Plus de 300 voiliers, bateaux à moteurs et trollers ont été construits à Tarare depuis 1977

Leur extrême robustesse leur permet de naviguer dans des zones particulièrement difficiles :

Arctique, Passage du Nord-Ouest, Antarctique…  et ailleurs.

N’HÉSITEZ PAS AVENIR NOUS RENCONTRER A TARARE ET VOIR NOS CONSTRUCTIONS “EN VRAI” !

TurboKeels ®

Une solution pour ballaster du plomb d’un bord sur l’autre.

Pour déplacer le centre de gravité sans passer par la complexité d’une quille pendulaire, Philippe Brabetz, repreneur du chantier Meta, a trouvé la solution: le TurboKeels ® , ou comment ballaster du plomb d’une quille à l’autre!

Déjà utilisé sur les voiliers à quille basculante, comme les IMOCA, le système consiste littéralement à déplacer le centre de gravité du bateau—mais une quille basculante demande un tirant d’eau important, un mécanisme complexe, couteux et surtout fragile totalement inadapté à l’utilisation en croisière.

Avec le TurboKeels ® , Philippe Brabetz reprend le postulat de base et l’applique à un biquille. Les 2 quilles sont alors utilisées comme des réservoirs destinés à accueillir le lest qui transite d’une quille à l’autre au gré des besoins, et suivant un circuit fermé actionné par une simple pompe.

Les avantages du Turbokeels sont :

  • Plus de puissance
  • Moins de gîte
  • Faible tirant d’eau
  • Simple, fiable et économique

Stronglite ®

—Le procédé Stronglite est actuellement en étude—

n’hésitez pas à nous suivre sur les réseaux sociaux pour être au courant de nos dernières aventures

Notre équipe

Philippe brabetz.

PDG & Naval Designer

Nathalie Simon

Administration & Commerce

Marin Ducoux

Responsable Bureau d'Etudes

Serge Calka

Export & Communication

Johan Tardif

Architecte naval, Ingénieur

Resp. Tech. Chaudronnerie

Resp. Equipe Chaudronnerie

Chaudronnier

Les Anciens

Garder le lien

Philippe Brabetz grandit en région parisienne mais adore les sports de plein air. Particulièrement intéressé par tout ce qui touche à la glisse, il conçoit et perfectionne pendant ses études des hydrospeed en mousse faits maison et devient champion de descente en eau-vive. Puis, au cours de son cursus à Paris-La-Vilette, il assiste aux cours d’architecture navale de Dominique Presle et se passionne pour la matière.

Au sortir de l’école, la discipline n’a pas le vent en poupe: il intègre l’équipe des Guignols de Canal+ et travaille, dès 1995, à direction artistique et la réalisation de décors et d’effets spéciaux, sans pour autant oublier sa passion pour la construction navale. En 2005, il intègre le DPEA de Nantes qu’il termine par un stage dans la construction du monocoque du Défi Areva pour la coupe de l’America.

Il travaille ensuite dans des chantiers et des cabinets d’architecture navale en France, en Espagne et au Maroc, et c’est au cours de cette période qu’il a l’idée des TurboKeels, un système de biquille dont le lest est ballasté d’un bord à l’autre. Après l’avoir breveté, la reprise du chantier naval META lui apparaît comme une évidence.

Il se donne pour mission de consolider les acquis de ce chantier légendaire, mais aussi d’y apporter la touche créatrice du designer qui lui manquait et qui permettra à META de s’adapter aux défis du monde moderne pour y continuer son aventure fantastique.

Originaire de la vallée qui a vu naître META et avec une homonyme aussi connue dans le nautisme, sa voie devait être tracée : depuis 2008, Nathalie assiste la direction du point de vue administratif, commercial et comptable.

De formation Assistante de Direction, elle a toujours privilégié les postes avec la plus large diversité de tâches au sein de structures à taille humaine. C’est un format interactif et stimulant qu’elle apprécie, et une belle complémentarité entre son activité professionnelle très “maritime” et des centres d’intérêt personnels très terrestres : course à pied, vélo, marche rapide sont autant de domaines dans lesquels elle puise son énergie et son enthousiasme.

Nathalie est une collaboratrice de grande valeur, aussi bien professionnelle qu’humaine.

Ingénieur en architecture navale diplomé de l’ENSTA Bretagne, Marin allie en travaillant chez META sa passion pour la voile et ses expériences de croisières hauturières avec les acquis techniques de sa formation.

Admirateur de Gérard Janichon (Damien) et de Bernard Moitessier (Joshua), il se dit fier de pouvoir contribuer au développement de META et de sa nouvelle série de voiliers hauturiers aux lignes modernes et à l’esprit d’aventure toujours intact.

Profil Linkedin

Mastère spécialisé en Architecture / Ingénierie navale et offshore, ENSTA Bretagne, Boucle Navire

M2 Dynamique des fluides et énergétique/Magistère 3 de Physique, Université Paris-Saclay

L3/Magistère 1 et M1/Magistère 2 de Physique Fondamentale, Université Paris-Saclay

Lionel a appris et perfectionné ses compétences en construction navale chez META, dont il a rejoint l’équipe en 2004. Il est l’interlocuteur privilégié des chaudronniers pour les questions liées à la technique de construction en aluminium Strongall®.

En plus de son travail de chaudronnerie, Lionel possède des terres sur lesquelles il cultive les vignes dont les raisins participent à l’élaboration de l’un des vins de Bourgogne.

Nous sommes impatients de goûter à la cuvée META… 😉

Carolina Pagliuca fut le “partenaire multi-tâches” de la reprise, et a contribué à la modernisation administrative du chantier afin qu’il puisse reprendre sereinement la navigation de long cours. Elle n’est jamais bien loin, et garde un oeil bienveillant sur le navire.

Guillaume Pic-Rivière est architecte naval indépendant. Après un stage de fin d’études chez META, et en attendant de reprendre le large, il n’hésite pas à prêter main forte sur des projets divers et variés. 

Louis Parlanti est ingénieur ferroviaire de formation, et désormais détenteur du double diplôme ENSTA Bretagne + DPEA d’architecture navale ENSA Paris-La Villette. Il a terminé avec succès sa reconversion dans l’architecture navale par un stage au sein de notre Bureau d’études où il a apporté sa bonne humeur contagieuse et son bel esprit d’équipe.

Océane Cambier est ingénieure IMT Mines et son passage chez META a apporté non seulement une touche féminine qui manquait au bureau d’études, mais surtout une collaboratrice volontaire, serviable et pleine de ressources. Nous lui souhaitons Bon vent!

Simon Poniard est ingénieur Sea-Tech Toulon. Il a souhaité se former à la chaudronnerie et a rejoint META pour peaufiner sa formation. Passionné de vélo il n’hésite à pas à dévaler les innombrables pistes que lui offre le monde.

Pascal Ravatier a travaillé pour META pour presque 25 ans. Difficile de conter tous les bateaux qu’il a participé à construire et qui aujourd’hui naviguent les mers du monde. Il nous a quittés prématurément, mais nous gardons à jamais le souvenir de sa collaboration exemplaire de talent et de gentillesse.

Léo Jouberton est ingénieur SeaTech Toulon. Passionné de voile et de bateau depuis tout jeune, il a fait son stage de fin d’études chez META et poursuivi sa formation d’architecte naval en obtenant le DPEA de Nantes. Il a été une belle rencontre et un grand soutient pour toutes les équipes de META.

Mohamed Ibenseddik a choisi de se lancer dans l’ingénierie mécanique. Il a rejoint notre bureau d’études en tant que stagiaire pour travailler au développement du projet TurboKeels, dont il a suivi la construction du prototype. Nous serons toujours heureux d’avoir de ses nouvelles.

Romain Acquaviva, voileux passionné, informaticien, et désormais aussi architecte naval, a fait un bref passage chez META pour assister Philippe au bureau d’études. Co-fondateur du cabinet Valentin design, en Suisse, il reste un collaborateur privilégié.

Killian Cabanes a perfectionné la voile aux Glénans mais il est aussi un soudeur certifié. Il a rejoint META pour participer à la construction des Territoire d’Alpen Yacht Concept, une entreprise dont il est aussi partie prenante.

Michaël Leleux a construit son propre voilier pour faire un tour du monde. Arrêté aux Canaries suite à la Covid 19, il a pu rejoindre META pendant quelques mois en tant que chaudronnier. Le vent ayant regonflé ses voiles, il poursuit sa route et qui sait, repassera peut-être par là.

Kevin Denis est Compagnon du devoir et originaire de la région. Il a rejoint META en 2019 et a vite progressé. Il participe aujourd’hui à la gestion du centre équestre familial mais, fidèle à META, il reste un collaborateur de choix.

Anticorrosion

Votre solution anti-corrosion depuis 50 ans.

Afin de protéger les coques contre la corrosion, nous utilisons un produit à base de zinc dont nous sommes les revendeurs historiques. Pouvant également servir d’antifouling ou être recouvert par un antifouling classique, le METAGRIP ® se soude parfaitement à la coque (acier ou aluminium) par le phénomène d’ adsorption .

Il ne se dégrade pas et respecte donc parfaitement l’environnement sous-marin.

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voyage en voilier

Itinéraire de notre tour du monde à la voile et en couple

Faire un TDM en voilier. TDM pour dire Tour Du Monde. C’est le rêve de certains. Mais ce n’était pas du tout le nôtre. Quand on mène une vie bien routinière, personne ne pense à tout quitter et à se lancer dans un long voyage. Quelle idée folle que d’interrompre une carrière professionnelle !

Jusqu’à ce que le destin s’en mêle. Burn-out, perte d’emploi, vie personnelle chaotique… Dans ces moments, on cherche des solutions alternatives. On cherche du sens à sa vie. Ces moments compliqués dans nos vies nous ont mené à la meilleure décision : tout quitter pour faire le tour du monde en couple. Si vous voulez en connaître les raisons, nous avons écrit un article à ce sujet : 5 raisons pour faire le tour du monde avant la retraite .

Pourquoi voyager en voilier ? Quand on est marin, la question ne se pose pas. Et si nous vous disions que nous n’avons jamais mis les pieds sur un voilier auparavant ? L’idée de voyager autour du monde en voilier nous est venue suite à la lecture d’un récit de voyage. Nous vous en parlons dans l’article Tout quitter pour partir en tour du monde : notre histoire .

quel itinéraire pour un tour du monde en voilier

Voyage en voilier au long cours

Souvent, le voyage est associé à une année sabbatique, voire deux années. Dans notre cas, cette solution n’était pas envisageable, nous n’avions plus de travail fixe. De plus, la Suisse, où nous vivions, n’offre pas la possibilité d’une année sabbatique. Alors, nous avons décidé d’investir toutes nos économies dans un voyage à durée indéterminée .

Il durera le temps qu’il durera. Mais il y a une condition. Nous voyagerons lentement pour profiter des destinations. D’autant plus, qu’un voilier ne va pas très vite. Entre 10 et 13 km/h (5-7 nœuds). Et peut-être qu’au cours de notre voyage, nous trouverons une autre idée d’activité ou nous tomberons sur un paradis et y jetterons l’ancre pour de bon. Qui sait ?

L’objectif, c’est de partir autour du globe pour 5 à 10 ans . Tant que le budget, la santé et l’envie nous le permettent. Ivo touchera ensuite une petite retraite et pour Dajana, qui sera encore loin de la retraite, on verra bien. De toute manière, plus rien n’est sûr de nos jours. La crise sanitaire du covid-19 en est bien la preuve.

Nos contraintes lors de la grande croisière à la voile

Un voyage en voilier, ça se prépare à l’avance. Quand on a zéro connaissance en voile et quand on n’a pas encore de voilier comme nous (c’était en 2014), alors les informations se dénichent sur les blogs tdm en voilier, les récits de voyage et dans les vidéos YouTube. Et là, c’est la surprise ! En voilier, on ne peut pas aller où on veut, quand on veut et dans la direction qu’on veut. Nous serons soumis à plusieurs contraintes lors de notre voyage

1. Voilier en polyester

Le type de la coque du bateau dicte déjà le type du voyage. Notre choix s’est porté sur un voilier en polyester (plastique). Un Bénéteau Océanis 440 , longueur de 44 pieds (13 mètres). D’une part parce que notre budget est limité. Un bateau en polyester est moins onéreux qu’un bateau en acier ou en aluminium. D’autre part parce que nous souhaitons naviguer dans les eaux tempérées et tropicales . Dans ce cas, une coque en plastique suffit amplement.

un couple en tour du monde en voilier

2. Direction des vents et des courants

Les océans sont tellement vastes et pourtant, on ne peut naviguer que dans un sens bien précis. C’est une histoire de vents et de courants. Sur les grandes distances et les navigations de plusieurs jours voire plusieurs semaines, on cherche à avoir du vent arrière. La navigation est ainsi plus confortable. Se battre contre le vent, le courant et les vagues est par contre très éprouvant, pour l’équipage et pour le bateau.

Sur le globe, la direction des vents sur les océans est bien connue. Les vents vont toujours dans un certain sens. Et lors des grandes traversées, il faut aller dans cette même direction. Voilà pourquoi on peut par exemple traverser directement des îles Canaries aux Caraïbes mais pas faire le chemin inverse des Caraïbes aux Canaries. Pour ce faire, il faudra faire un gros détour par les Açores.

carte des vents du globe

Si vous ne connaissez rien à la voile, voici une carte des vents. Les voiliers suivent ce même chemin. Et nous n’échapperons pas à cette règle.

3. Saisons cycloniques

Sur le continent européen, nous avons des saisons. Autour des tropiques, il existe des saisons également. Mais au lieu d’avoir de la neige, il y a des cyclones. Pas besoin de vous faire un dessin des ravages qu’un cyclone peut provoquer. Les périodes cycloniques sous les tropiques sont bien connues. Les navigateurs quittent à ces périodes les zones qui y sont sujette pour mettre leurs voiliers à l’abri.

carte des cyclones aux Caraïbes

Malgré qu’il existe des trous à cyclones dans ces zones, c’est-à-dire des endroits mieux abrités contre les cyclones, nous ferons comme la plupart des tourdumondistes. Nous quitterons les zones cycloniques pendant la saison des cyclones.

Il y a une très bonne raison à cela. Nous n’avons aucune envie de perdre notre maison et tous nos biens. Notre voilier est tout ce que nous possédons. Ce n’est même pas une question d’assurance. Car après avoir quitté les Canaries, nous n’avons plus d’assurance, seulement la responsabilité civile. Aucune assurance ne voulait assurer notre voilier de 29 ans dont la valeur est de moins de 100 000 €. Et nous ne sommes pas les seuls dans ce cas.

4. Sécurité

En avion, en camping-car ou en bateau, certains pays sont à éviter. L’insécurité, du racket, l’instabilité politique ou le piratage, il faut faire le tri dans les pays à visiter. Ca ne vaut pas la peine de se faire des frayeurs, de se faire attaquer sur son voilier et se faire voler des choses. Nous éviterons toute destination à risque, aussi minime qu’il soit. Comme nous voyageons lentement et passons beaucoup de temps à un endroit, nous aurons déjà du mal à bien visiter les pays considérés comme sûrs. Il est préférable de voir moins mais mieux.

Comment peut-on connaître les pays à risque pour les voiliers de plaisance ? Car la situation d’un pays peut très vite changer. Le site www.noonsite.com rassemble toutes ces informations utiles aux navigateurs.

5. Facilité des démarches

Voyager cool sans se prendre la tête et sans trop de paperasse, c’est notre but. Chaque pays a ses propres règles pour les voiliers. Entre les douanes , l’immigration , les autorités portuaires, des tonnes de papiers à remplir, des heures à attendre pour obtenir des autorisations et des centaines d’euros à débourser, nous ferons des choix entre les pays à voir.

En dehors de ces démarches (clearance) compliqués, nous avons rayé de notre choix d’autres pays comme les Etats-Unis et le Canada. Car pour y aller, il nous faudra avoir une assurance voilier et maladie-accident supplémentaires et plus onéreuses.

Itinéraire de notre tour du monde en voilier en couple

Eliminer certaines routes et destinations de notre parcours autour du monde réduit déjà les possibilités. Finalement, nous resterons dans les grands classiques de la grande croisière, ces itinéraires que la plupart des navigateurs empruntent. Par conséquent, pas besoin de se casser la tête ou d’inventer.

Alors, à quoi ressemblera notre tour du monde en couple à bord de notre maison flottante ? Voici notre trajet théorique imaginé avant d’avoir largué les amarres en septembre 2018 au sud de la France.

Planning théorique de notre tdm en voilier

  • sept. 2018 – déc. 2019 : sud de la France, îles Baléares, sud de l’Espagne, Gibraltar, Portugal, îles Canaries, Cap Vert
  • déc. 2019 : traversée de l’Atlantique (2-3 semaines)
  • 2020 : Petites Antilles des Iles Vierges Britanniques jusqu’au Tobago (les Caraïbes), îles ABC (Aruba, Bonaire, Curaçao), Panama
  • 2021 : traversée du Pacifique (1 mois)
  • 2021 – 2024 : Polynésie française
  • et ensuite : îles du Pacifique : Tonga, Fidji, Wallis et Futuna, Vanuatu, Nouvelle-Calédonie
  • Nouvelle Zélande

Comme vous le voyez, il faut du temps pour faire le tour du globe. De plus, nous avions une prérogative au début de notre voyage. En tant que débutants en voile, il nous fallait apprendre à naviguer, prendre en main notre voilier et déceler d’éventuels problèmes afin de les réparer avant la traversée de l’Atlantique. C’était l’ objectif de notre première année de navigation et la raison pour laquelle nous sommes restés 10 mois aux Canaries.

Entre envies et réalité

Justement, qu’en est-il de ce que nous avons prévu ? Une phrase que nous avons découverte lors de notre voyage résume parfaitement la situation sur un voilier. Les plans des marins sont écrits dans du sable à marée basse. Ils changent en permanence.

A l’heure où nous écrivons cet article, covid-19 a changé les plans de beaucoup de gens. Certes, les nôtres aussi. Bloqués pendant 2 mois et demi en Guadeloupe, les îles des Petites Antilles qui restent fermées, nous n’avons pas pu visiter la moitié de ces îles. Pas grave en soi, en tant que voyageur au long cours, nous resterons une année de plus aux Antilles ce qui repoussera notre traversée du Pacifique en 2022.

Toutefois, d’autres facteurs modifient l’itinéraire et le rythme du voyage. Ils sont imprévisibles mais il faut les prendre en compte.

Un voilier dépend directement des conditions météorologiques. Parfois, on reste bloqué à un endroit, parfois on ne peut pas débarquer à terre, parfois on doit carrément renoncer à une destination. Vous ne pouvez même pas imaginer combien de fois nous étions frustrés de voir nos plans chamboulés et itinéraire modifié à cause de la météo.

Les réparations

Qui aurait imaginé que nous allions passer autant de temps à réparer les choses sur le bateau qui tombent en panne ou se cassent. Et cela impacte à nouveau tout ce qu’on prévoit.

Pour vous donner un exemple, juste avant le départ pour la traversée des Canaries vers le Cap Vert, nous sommes restés bloqués au chantier pendant 9 semaines.

réparation safran Bénéteau Oceanis 440

Ce que devait être une simple pose d’antifouling de quelques jours (mettre une peinture qui empêche la pousse des algues sur la coque) s’est transformé en une refonte complète du safran (aileron qui dirige le bateau) et d’autres lourds travaux imprévus. Cela a raccourci ensuite notre séjour au Cap Vert de deux mois et c’était bien frustrant car nous n’avons pas pu voir toutes les îles.

Voyager, c’est fatiguant. On a envie de visiter, d’explorer, de randonner. La navigation et le mouvement incessant du voilier fatiguent également. Le corps nécessite ensuite plusieurs jours de repos.

Les rencontres et le charme des lieux

Le plus difficile dans le voyage, c’est de choisir ses destinations. Même si l’itinéraire est fixé, il y a tellement d’îles et de pays à voir. Bien évidemment, on peut lire les blogs de voyage pour se faire une idée. Mais finalement, nous avons trouvé une bien meilleure méthode. Demander aux autres navigateurs et voisins de mouillage. Ils n’ont pas de blog, cependant ils sont toujours de bon conseil pour les endroits à voir. Et ça fait gagner beaucoup de temps.

Voyager lentement procure une grande liberté et flexibilité. Nous avons moins de stress et moins de contraintes. Même si nos proches nous le demandent souvent, il est impossible de prédire où nous serons et à quel moment exactement. Nous ne savons pas combien de temps nous voyagerons. Peut-être que nous n’arriverons pas à aller jusqu’en Australie.

De toute manière, notre objectif n’est pas de voir le plus d’endroits possibles mais de profiter de la vie . C’est un luxe que nous avons appris à apprécier au cours du voyage et que nous n’avions pas dans notre ancienne vie d’employés stressés.

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5 raisons pour faire le tour du monde avant la retraite, tour du monde en voilier – la réalité un an après le départ, vivre sur un voilier – 10 choses à savoir, quels critères pour choisir notre voilier tour du monde, assurance santé pour un tour du monde à la voile, 14 réflexions sur “itinéraire de notre tour du monde à la voile et en couple”.

Bonjour, je découvre votre blog avec beaucoup de joie et rêves qui se bouscules dans ma tète. merci de nous faire partager votre voyage et aventure. Pour le moment nos navigations se cantonnes à la cote atlantique française; peut être franchirons nous le pas à abord de notre Chassiron RF Jonathan. malgré tes dires sur les pont en teck, ce type de voilier et la véritable histoire d’un enfant qui les regarder se construire et partir une fois grées; J’avais 6 ans à cette époque et je rêver de voyage à bord de ces merveilleux bateaux. Alors, à 50 ans passé, il était temps de réaliser se rêve. le prochain rêve et de partir avec mon épouse et peut être vous retrouver quelques part!!! Encore merci pour votre récit et à bientôt de vous lires. Freddy et Isabelle

Salut les voyageurs, je suis tombé par hasard sur votre blog que je trouve très chouette, merci pour le partage ! En ce qui me concerne, je suis à la retraite et prépare mon bateau pour partir voir le monde tranquillement mais comme vous le dites si bien, les plans ou projets des marins sont écrits dans le sable à marée basse ! Donc ma préparation prend plus de temps que prévu mais c’est comme ça et il faut l’accepter.

Bonjour Philippe,

enchantés de faire ta connaissance. Passer sa retraite à voir le monde est une excellente idée. La préparation d’un voyage au long cours prend du temps et chacun va à son rythme. Bon, il faut dire qu’en ce moment, c’est d’autant plus compliqué que la pandémie, même avec les vaccins, n’est toujours par réglée. Les pays sont toujours compliqués d’accès, peu importe si l’on est vacciné.

Nous avons vu ton site et les aventures de ton papa sont extraordinaires. C’était tout une époque sans toutes ces nouvelles technologies avec lesquelles nous naviguons aujourd’hui. Mais sans lesquelles nous ne serions pas partis. Nous ne sommes pas des navigateurs, mais plutôt des voyageurs.

Qu’est-ce qu’il te manque aujourd’hui pour pouvoir partir (en dehors du fait que la circulation n’est pas encore si libre) ?

Nous avons hâte d’en savoir plus. Ivo & Dajana

Merci pour votre partage. Nous vivons également à l’année sur notre voilier et la mer est devenue un mode de vie. Et de voyage. Au plaisir de vous rencontrer en mer et d’échanger avec vous. Ne pas hésitez a venir boire un petit verre à notre bord. Juste une question, ce n’est pas trop compliqué en ce moment par temps de corona-virus ?

Bonjour à vous

Ce sont des récits toujours très pratiques et plein de bon sens. Merci encore et en se qui nous concerne, il ne reste plus qu’à vous imiter.

Bon vent et de belles fêtes de fin d’année

Jean ( presque Genevois puisque du pays de Gex )

Bonjour Jean,

Merci pour le message! Et enchanté de faire connaissance d’un voisin proche!

Absolument, il ne reste plus qu’à…. D’avoir déjà pris la décision de partir voyager est un gros pas. Pour tout le reste, ças’organise.

Très bellles fêtes et bonnes preparations pour la nouvelle vie!

Daja & Ivo

Bonjour à vous Je vous lis depuis qq temps déjà, ou en êtes vous de votre périple ? Je compte repartir en voilier au printemps. Merci et bonne chance

Merci pour la question. Nous sommes depuis un an aux Petites Antilles et avons passé quatre mois à la Grenade pour la saison cyclonique. Comme tout est incertain, nous resterons aux Antilles en attendant de voir comment la situation évolue. Du coup, on ne se presse pas pour aller dans le Pacifique. Pour l’instant, pas de projets pour la suite, on attendera mars pour décider de la suite de l’itinéraire.

Et vous, quel itinéraire est au programme ?

Je trouve vos commentaires tres bons. Par contre, apres 40 ans de ballades, 7 bateaux, j’ai beaucoup passe de temps sur la cote Est des USA et Canada, que je trouve tres inrerssante: facilite,cout tres faible , histoire, faune, flore. Et,comme souvent concernant ce continent, il se dit et se repete des sottises. On ne m’a jamais demande assurance sante ou bateau( d’autres pays autour du monde, surtout anciens commonwealth ou BIOT, oui on peut demander, mais une bonne carte bancaire suffit). Pas une fois en des dizaines d’entree aux USA, on ne m’a ennuye, surtout la ou ils sont habitues, Key West, Lake Worth inlet, Floride, par ex. Par contre, un visa B1/B2, demqnde prealablement en consulat US, est INDISPENSABLE. Entree 6 mois, renouvelable. Bateau sous pavillon etranger: cruising permit Un An. Le tout gratuit. Canada hypercool, mais prevenir ou et quand vous arrivez. Super Important ayx USA, ou nous avons une reputation de gens difficiles, ne JAMAIS ergoter , mais demander de l’aide. Le reste , ballades dans l’ICW, et tout ce que cette merveilleuse cote a a offrir, est un grand plaisir.

Bonjour, Merci pour votre excellent commentaire concernant la côte Est des US et du Canada.

C’est vrai que cette côte est magnifique et cela donne envie d’y aller. Malheureusement, comme dans la vie de tous les jours, nous devons faire des choix ! En ce qui nous concerne, nous avons prévu un itinéraire de circumnavigation autour des tropiques, car on aime la chaleur et en tant que plongeurs on aime les eaux chaudes.

D’autre part, les assurances santé et accidents que nous avons contractées pour partir autour du monde ne couvrent pas les USA ni le Canada et le Covid n’arrange pas les choses au niveau assurances ! Mais nous ne perdons pas l’espoir d’un jour aller visiter toute cette partie de l’Amérique. Cordialement Ivo & Dajana

Comme d’habitude (disait Cloclo) plein de bon sens, d’informations intéressantes et sûrement utiles à ceux qui voudraient vous imiter (même si vous êtes inimitables), plein de sagesse et un ressenti du bonheur que vous vivez. Surtout ne changez rien continuez à apprécier les bons moments et à surmonter les moins bons avec votre ténacité et votre courage. Bonne continuation et BON VENT Gros bisous de Genève

Coucou Giani, de par nos articles et photos on essaye d’inspirer d’autres personnes comme nous qui avons été inspirés par d’autres. Carpe Diem, on ne change rien et on profite de la vie tous les jours. Sans les mauvais moments on ne pourrait pas apprécier les bon moments ;-). Heureusement que les bons moments compensent largement les mauvais ! On t’embrasse très fort

Great article!!! Really good overview. I can 100% relate to it.

Danke Annemarie. Für euch ist es wahrscheinlich dasselbe. Und vor allem keinen Stress haben. Schöne Reise!

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Sailing Kerguelen est un blog qui parle d’un  voyage à la voile sans date retour . Tout quitter pour partir à la découverte de destinations inconnues, de nouvelles cultures, et de personnes avec lesquelles échanger au quotidien, on en parle depuis 2012. On réalise enfin notre rêve, mais cela nécessite une certaine préparation.  Retrouvez dans cette section tous nos conseils pratiques, guides, et informations vous permettant de préparer un tour du monde, que ce soit à la voile ou non.

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Quand les choses ne se passent pas comme prévu…

Lorsqu’on a le projet de partir en tour du monde à la voile, on a le sentiment que l’emménagement à bord du voilier marque le début de l’aventure et que le départ est imminent. Nous avons quitté nos jobs le 26 avril 2019. Depuis, l’aventure a bel et bien commencé. Mais pas spécialement selon les plans que nous avions établis. Nous détaillons tout ça dans cet article.

Bienvenue au Salon Nautic de Paris !

Pourquoi vous aimerez aller au Salon Nautic de Paris

Le Nautic de Paris, avec ses 825 exposants et 204.000 visiteurs en 2018, est l’un des plus grands salons nautiques d’Europe, ce qui en fait un rendez-vous annuel incontournable. On vous détaille dans cet article pourquoi nous sommes allés aux éditions 2017 et 2018, pourquoi nous participerons à l’édition 2019, et pourquoi vous aussi vous devriez y aller !

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Les étapes marquantes avant l’achat et l’emménagement sur le voilier

Cela fait maintenant deux ans que nous travaillons à ce projet et, même si nous en rêvions, nous étions loin de parvenir à nous projeter à bord de notre voilier lorsque tout a commencé. Que de chemin parcouru ! Retour sur les étapes marquantes avant l’achat et l’emménagement sur le voilier.

Kerguelen sur l'océan

Derniers préparatifs avant le grand départ en voilier

Dans à peine plus d’un mois, nous serons à temps plein à bord, et il nous reste une fameuse liste de choses à faire avant ça… Plutôt que de nous laisser envahir par le stress, on partage avec vous notre to-do list dans cet article un peu particulier.

Baromètre sur Voilier Kerguelen

Quel itinéraire pour notre tour du monde en voilier ?

Quand on prépare un tour du monde à la voile, tout semble possible et on se prend à rêver à tous les endroits qu’on souhaite découvrir. Et il y en a des centaines ! Mais par où commencer et quel itinéraire suivre pour ce tour du monde à la voile ? On vous détaille les itinéraires possibles que l’on a en tête pour le moment.

voilier acier tour du monde

Nautitech

Tour du Monde en Catamaran

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Plongez dans les récits de tours du monde

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Et si nous faisions le tour du monde ?

Ils se sont regardés, ils ont décelé dans l’œil de l’autre cette petite flamme qu’ils connaissent si bien. Et ils ont su qu’ils le feraient.

Un coup de baguette magique et les voilà au mouillage aux Tobago Cays à bord de El Gaucho, leur Nautitech 40 flambant neuf. Ils nagent au milieu des raies et des tortues sous le regard des frégates. Le lagon est quasi désert, pandémie oblige. En temps normal, le mouillage enchanteur des Grenadines frôle la thrombose.

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Naviguer nuit et jour et traverser le monde au son de la voile poussée par le vent.

On dit que pour naviguer autour du monde , un navire doit partir et revenir au même point, doit traverser tous les méridiens de longitude et doit traverser l'équateur. Tous les passionnés d’aventure, et plus précisément de bateau et de voile ont un jour rêvé de se lancer dans un tour du monde . Première traversée ou aboutissement d’années de voyages à travers tous les océans et mers du monde , pour traverser le monde en voilier , il est nécessaire de bien se préparer, tant au niveau technique pour une très longue navigation en bateau, qu’au niveau mental et fonctionnel, pour que la vie de tous les jours y soit agréable. Que vous partiez en couple, en famille, entre amis, avec vos enfants ou en solitaire, et que vous rêviez du Canal de Suez ou du détroit de Gibraltar, faire, dans sa vie, un tour du monde en bateau est le véritable rêve d’une vie pour tous les passionnés d’aventure et de navigation à la voile. Explorer les eaux, les terres et les cultures de pays à travers le monde . Rencontrer de nouvelles personnes et se faire de nouveaux amis pour la vie. Naviguer nuit et jour et traverser le monde au son de la voile poussée par le vent. Faire de la mer son nouvel élément. Parfaire chaque jour son talent en navigation. S’essayer au kite surf, à la plongée sous-marine, au snorkeling, se créer de nouvelles passions. Observer et découvrir la faune et la flore sous-marine. Vivre au jour le jour au gré du vent et de la météo. S’essayer à la vie de marin et de globe-trotter. Apprendre à parler en noeuds. Etre tour à tour skipper puis chef cuisinier en fonction des besoins et des envies de chacun. Découvrir les paysages incroyables en mettant le cap sur des destinations toutes si différentes sur les 5 continents . Choisir un parcours de navigation qui vous fait rêver… Partir par exemple du sud de la France, passer par les îles Baléares, par le sud de l’Espagne, le détroit de Gibraltar, le Portugal, les îles Canaries, le Cap Vert, puis traverser l’Océan Atlantique jusqu’aux Caraïbes et au Panama, puis l’Océan Pacifique jusqu’à la Polynésie Française et ses îles pour arriver en Nouvelle Zélande puis en Australie… Et n’en garder que des images indescriptibles. Faire de l’air marin son air quotidien, et de son rêve d’aventure une réalité ! Plus qu’une croisière ou des vacances, partir pour un long voyage en bateau à travers les îles et pays du monde entier est un véritable défi de vie. Une telle traversée nécessite un matériel alliant toutes les qualités pour une traversée optimale et pour faire de ce voyage l’expérience dont vous aviez toujours rêvé. Un long voyage en bateau à voile est souvent très éprouvant tant pour le voilier que pour son équipage, et qu’entre journée de plaisir en mer et périodes complexes de navigation, il n’y a qu’un pas. Au-delà des dates de départ et de retour, de l’itinéraire de votre tour du monde et des escales et destinations à visiter, le choix du bateau avec lequel vous partirez pour ce tour du monde est alors essentiel : type de bateau, budget alloué à son achat et son entretien, monocoque ou multicoque, nombre de pieds et de places à bord, équipement pour le quotidien, nombre de cabines, nombre de chevaux du moteur, vitesse idéale de navigation, ou encore taille de la voile et port de départ…  Au delà d’un voyage, c’est un véritable défi de vie où le bateau qui vous accompagnera deviendra réellement votre maison durant cette traversée. Alors vers quel type de voilier se tourner pour traverser les océans et mers du monde entier ? Parmi tous les bateaux à voile, le catamaran à voile semble être un choix de qualité alliant confort de vie, sensations, performance technique pour la navigation et sécurité à toute épreuve sur les mers du globe. Conçu tant pour la vie en collectivité avec de grands espaces de vie assurant une intimité à chacun grâce à ses grandes cabines que pour une expérience de navigation optimale en garantissant sécurité et technique rigoureuses, le catamaran à voiles deviendra vite le voilier et la maison de vos rêves pour une traversée de longue durée. Comme une nouvelle escale paradisiaque en pleine mer. Alors, peu importe la route, mettez le cap sur l’Italie, l’Afrique, Singapour, New-York, l’Inde, le Chili, l’Argentine ou la Malaisie et jetez vous à l’eau dans le rêve de votre vie en prévoyant votre tour du monde en catamaran ! Qui sait, peut-être que vous établirez le nouveau record ? Découvrez à travers ces récits de voyage tous les bons conseils pour faire de votre aventure en catamaran autour du monde un souvenir inoubliable et le projet de votre vie.

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Méditerranée

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Ocean Indien

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Le partenaire idéal pour vivre à bord et naviguer partout sur notre planète.

Expert en construction de catamarans depuis 1994, installé à Rochefort, l'un des berceaux du nautisme

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Notre préoccupation dominante est d'offrir des catamarans robustes et durables aux qualités marines reconnues

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Quel bateau choisir pour un tour du monde ?

Bonjour à tous,

J’ai le projet de faire un tour du monde à horizon 4 ou 5 ans. Mais sur quel bateau partir ? Quillard polyester ? Dériveur intégral alu ? Vieux ketch acier ? Tout est une question de programme et de budget vous allez me dire. Alors le programme ce serait de partir avec un ou deux équipiers max, pour des destinations classiques (Caraïbes, Polynésie, Indo, Méditerranée...), rien d’engagé de type polaire ou mers du Sud... Concernant le budget j’aurais 50k€ à mettre tout de suite et je pourrais rajouter du matos (électronique, moteur...) au cours des prochaines années pour 20-30k€. Donc dans ce budget, que privilégier ? La taille ? Quelle taille minimum d’ailleurs ? 35 ? 40 ? La robustesse ? Vaut-il mieux acheter une bonne base un peu vieille à retaper ou un bateau plus récent de milieu de gamme qui navigue tout de suite ? J'aurais d'ailleurs besoin de me faire les dents sur des croisières un peu conséquentes d'ici là car je ne navigue pour l'instant que sur mon First 211 en Manche-Atlantique...

Beaucoup de questions ! Merci pour vos conseils !

Captaincavern

Le bateau qui vous conviendra c'est celui que vous pourrez financer VRAIMENT en ne rêvant pas d'un budget théorique mais d'un budget réel détaillé correspondant à votre projet qui doit être chiffré correctement. Sur HeO et sur Internet vous pouvez trouver des chiffrages vécus. Et vu que vous avez une bonne expérience de la navigation, vous n'avez besoin de personne pour déterminer ce qu'il vous faut selon VOTRE programme et je l'espère pour vous, vous êtes capable de faire la différence entre ce qui est essentiel pour pouvoir naviguer en sécurité et ce qui est du superflu. A distinguer de la redondance pour la sécurité. A noter que quand vous retapez un bateau vous ne naviguez pas. Il faut choisir.

Merci. Petite clarification peut-être : les 50+30 c'est 100% pour le bateau. Pour le reste (dépenses du quotidien en voyage, maintien du train de vie "de la base" en métropole...) c'est sous contrôle.

ED850

www.hisse-et-oh.com[...]-bateau

ourob

Bateau en fibre: peu d'entretien, attention à la jonction de quille et au gréement (cadenes compris).

Bateau alu: bon rapport poids/résistance, mais très cher. Peu d'entretien mais vigilance constante dur l'électricité et les fonds.

Bateau acier: peu cher mais chantier complet pour inspection/réfection de l'intérieur de la coque obligatoire (plusieurs centaines d'heures de taf) avant de partir loin et longtemps. Par contre si toute la rouille est traitée alors ensemble très solide.

Vôtre budget permet d'envisager un peu tout, et comme il n'y a pas de "meilleur" modèle, le mieux est sans doute de prendre le temps de visiter un max de bateau pour se faire l'oeil, et de prendre celui du coup de coeur.

Dans tous les cas pour une prépa grand voyage sur un bateau fraîchement acheté il faudra prévoir une mise à sec de plusieurs semaines (mais ça peut constituer les premiers temps du voyage. Habiter sur le bateau au chantier permet de vite se mettre dans le bain. On a toutes nos journées pour avancer vite car on veut bouger, et à la mise à l'eau la recompense n'est que plus grande!)

pour finir sur votre budget mieux vaut prévoir large pour les travaux comme ça si ça coûte moins c'est une bonne surprise, et on se lance pas dans de l'impossible. Je pense que grosso-modo 40k à l'achat, puis 10-20k pour la prépa et le reste en réserve vous donnera assez de gras pour pouvoir partir serein.

Le plus important à mon avis est de se ménager du temps (beaucoup) pour bricoler et découvrir le bateau de fond en comble. En voyage il n'est pas bon d'être un plaisancier dépendant d'un pro pour tout et rien ;)

Dans le choix il y a l'éternel problème du petit tirant d'eau (DI, DL cata) indispensable ou non selon que l'on veut faire du rase cailloux, remonter haut en rivière ou échouer carénage loin de tout. On peut certes naviguer sur un bateau à l'échantillonnage type location mais sans verser dans l'excès une coque plus solide c'est peut être mieux. A noter le gros problème du moteur équipant le bateau, source inépuisable de soucis et l'annexe mise à rude épreuve. Ne pas sous estimer l'investissement total de tout ce qui est sécurité au sens large et dont une bonne partie est obligatoire. Et la recherche du confort maison fait aussi monter la note (cf déssalinisateur par exemple). L'entretien obligatoire régulier d'une coque est une grosse servitude et varie selon le matériau choisi. Pour la longueur il faut tenir compte des finances, du volume et du poids nécessaires au niveau d'autonomie que vous jugez nécessaire, les formes de coques supportant plus ou moins une éventuelle surcharge selon le creux.

The Sailing Chemist

Il y a une quinzaine d'années, dans les revues nautiques le voilier TDM sérieux et abordable était "le bulle de soleil" surtout les quelques modèles en alu. Maintenant, il s'appelle Chatam 33. Et maintenant il n'y a plus une sorte d'unanimité des coques métalliques sauf si on prévoit d'aller aux régions polaires. Quand on regarde les constructions blue water sailboat des anglo-saxons, il y a beaucoup de voilier GRP, lourds et costaud, mais lents aussi. www.amazon.com[...]9837722 Dommage que nous n'ayons pas une version Europe de ce bouquin.

stervraz

Hello , Dans ce budget tu as du choix , c est un bon point . Dans les valeurs sûres, tu as les surprise, sans-gêne, sunlegend par exemple . Ou plus récent, un sun odyssey 35. Plus petit mais plus ergonomique . Les oceanis 350/390 ont fait leurs preuves aussi . Pour du voyage entre les 2 tropiques , 95 % des voyageurs font le choix du plastique . C est costaud , simple à réparer. Ensuite, tu as les vieux coffres-forts en acier , moins ludiques à la voile , mais moins chers à l achat. Ils ont en en revanche été souvent bricoles à n en plus finir . Les points essentiels qu importe la monture : Un bon moulin , un bon pilote , un étai largable , et 3 ris dans la gv . Dériveur ou quillard , après les 2 se tiennent . Et comme pour tout bon marin , l impression d avoir le meilleur bateau du monde sera présente si tu aimes ton bateau et ton aventure ! Enjoyyyy

je pense que les bateau que tu cites, sunrise, sun legend, sun odyssey et océanis sont de très agréables bateaux de vacances ou année sabbatique. Ils sont profonds, remontent bien, ont de nombreuses cabines, sont agréables à barrer... mais ne sont pas destinés au voyage et à la vie longue à bord. Les quilles rapportées avec boulons de quille fragiles, le safran suspendu à la merci du premier orque venu, le lest profond sur lequel tu ne peux pas te poser, la coque de plastique fin qui ne résistera pas au moindre OFNI... Une faible stabilité de route, permettant des manœuvres de port aisées, mais des traversées fatigantes pour les pilotes... Dehors, un cockpit en plein soleil et en plein vent... A l'intérieur, des couchettes arrières sous le cockpit ou il faut se contorsionner pour remettre les draps et s'y glisser, tout l'espace pris pour la vie à bord laissant des rangements riquiquis, des réservoirs d'eau qui n'autorisent pas la douche, l'impossibilité de stocker autre chose que des camping gaz, un moteur coincé sous la descente ou tu ne peux intervenir qu'en démontant les cloisons... Des fonds plats ou non seulement tu ne peux rien stocker, mais qui doivent être épongés au moindre litre d'eau pour que ça ne remonte pas au premier roulis... Et ne parlons pas de l'isolation minimaliste et des vaigrages posés à même le plastique du roof, prêts à se décoller à la première saison des pluies. Je pense qu'un bateau de voyage et de vie à bord doit répondre à d'autres critères au niveau stockage, stabilité, protection, solidité...

Flora :)

Bonjour, En 4 ou 5 ans, tu as le temps de te faire ta propre opinion en allant naviguer sur des bateaux différents qui pourraient entrer dans tes critères de budget et de taille. Il est généralement admis qu'une coque polyester "ancienne" est plus solide et fiable que les derniers modèles très légers... mais hors de ton budget de toute façon ! Pour naviguer entre les deux tropiques, une coque acier ou alu n'est pas nécessaire. Pour la taille, environ 12m c'est suffisant pour 2 ou 3 personnes en grand voyage. Quillard avec un TE raisonnable (1,80 m) c'est le moins contraignant.

AMHA bien sûr !

Merci pour tous ces conseils ! Le polyester a l'air de remporter pas mal de suffrages pour un voyage intertropique, ce qui est intéressant car l'alu est très cher. Ca confirme ce que j'avais vu dans le bouquin de Jimmy Cornell "Voyages de Grande Croisière". Il y a une enquête dedans auprès de tourdemondistes et j'ai recensé 43 polyester pour 9 alus et 5 aciers. Mais lui il voyage sur un Garcia en alu (mais bon il va au pôle Nord lui...)

JeanLW

Oceanis 411 modèle 4 cabines GTE et grand mât , on en a vu en Patagonie

Sur celui qu on m avait prêté un mois en corse 700 litres d eau 400 de gazole autonomie électrique frigo freezer, prévoir par contre un safran de secours, les américains font ça très bien, un investissement à ne pas ecarter

Pas franchement rapide mais stable

Hakuna Matata

Salut , je suis dans la même recherche pour un achat dans 4-5 ans et un départ définitif dans 7 en solitaire . Pour l'instant ma recherche m'amène effectivement plus sur un dériveur intégral alu type atlantis 370 mais bien sur cela peut encore évoluer d'ici là . J'ai pour l'instant possédé un first 35 ancienne génération , un mini 6.5 et un first class 10 donc que des quillards en plastoque mais pour une vie au long court je pense plutôt chercher un DI capable d'avoir une bonne capacité de charge avec une cabine centrale comme dit ed850 ou il ne faut pas se glisser dans la cabine , un salon de pont pour éviter de vivre dans la cave en permanence et voir ce qu'il se passe en extérieur et une stabilité de route au portant telle que peut amener un DI . Je m'en fous de la vitesse car j'aurais le temps et je privilégie surtout une facilité de manœuvre en solitaire avec un gréement en cotre pour pouvoir réduire facilement et adapter la voile du temps . Et l'alu m'intéresse bien sur pour la solidité si bien sur l'isolation est bien faite . Reste le problème du budget car c'est vrai que les prix s'envolent dans ce genre de canote et j'espère pouvoir trouver un budget bateau fini de 100000 Euros . Nico

Un petit point que je ressasse un peu. On a eu un évasion 37 avec un poste de barre intérieur. On ne s'en servait jamais, car pas de visi et besoin de sortir pour la moindre manœuvre. Sur notre CN actuel, le cockpit avec toutes ses manœuvres est protégé et chaud même par grand froid. On peut non seulement barrer et veiller, y prendre nos repas, mais aussi rouler du génois, border ou choquer les voiles en t shirt quel que soit le temps. Le genre malo 50/Trintella/Amel, CN38 ou 48 et d'autres, c'est un cockpit qui est le lieu de vie principal, protégé de tous les temps. Nos cirés ne servent qu'aux arrivées et départs.

ldc23

Bonjour Je pense que n'importe quel bateau de série en polyester fera l'affaire en limitant la taille à moins de 40 pieds pour des raisons de cout d'entretien ! Je partirai avec gréement courant dormant et voiles neuves, une sérieuse révision moteur et de tous les éléments sensibles (presse étoupe, bague autolube etc...) La dessus il faut investir dans un excellent pilote, voir un de secours, bien sur panneaux solaires et un dessalinisateur. Je préfèrerai un bateau faiblement équipé mais bien négocié plutôt qu'un suréquipé d'équipements datant ! Et par les temps qui courent, en fonction des conditions géopolitiques et sanitaires, se limiter dans la taille permet de naviguer dans son bassin de navigation habituel voir de revendre plus facilement en cas de changement de projet! Je suis quand même surpris de voir l'inflation des tailles de voilier aujourd’hui! Bonne recherche!

Salut Idc23, En effet je me demande si je ne vais pas partir sur un polyester de série de taille suffisante (37+) en bon état mais sans trop d'équipement qui me permettrait 1/ de trouver le bateau rapidement 2/ de naviguer tout de suite au long cours (parce qu'avec le First 21, que j'adore, je suis quand même limité même si je l'ai armé en semi-hauturier) 3/ d'être prêt à partir si les choses s'accélèrent. Je rêve d'un DI alu mais ce sera peut-être une prochaine étape. D'ailleurs c'est plus le côté DI que le côté alu qui m'attire. La sécurité c'est bien mais on peut peut-être se couvrir avec un safran de secours ? (bon il faut qu'il soit facile à changer). D'ailleurs une nouvelle question : existe-t'il des DI polyester fiables ? Merci !

faby9

Je rejoins Cromagnon et ED : pour moi, l'autonomie prime sur bien des choses. Capacité de charge en nourriture, très nombreuses pièces de rechange et outils (je n'irai cependant pas jusqu'au safran ni le vit de mulet de rechange), 12 pare-battages + 2 énormes bouées, 10 amarres + une remorque + 2 sangles 5 Tonnes, 3 ancres, drisses et écoutes en rab. etc... Eau pour un mois, voire le double en se privant de douche, GO pour plus de 150 heures moteur, gaz pour 6 mois (que je regrette de ne pouvoir stocker une 13 litres !!! seulement des 5,5 litres peu répandues), si on veut éviter de courir les marinas. Le reste ? naviguer, c'est moins de 5% du temps passé sur le voilier, quand je navigue beaucoup....

Faby pas Fanny 🙈😎

Larent le Hareng

à coup sûr, un baluchon !

gwenadu67

Partis de France il y a un bon moment nous sommes aux Tuamotus Depuis notre départ de France nous voyageons de Conserve avec tous les genres de Bateaux Ici aux Tuamotus nous sommes avec Un armagnac de 1968 il a fait transat et transpac Le bon bateau est celui que l’on achète et que l’on entretiendra ensuite sans effort pour le budget Le secret c’est l’entretien Le programme il s’aménage Lors de notre séjour aux Bahamas des qillards étaient là il leur suffisait de faire des détours... Pour notre part nous avons un dériveur lesté alu de 44 pieds c était mon choix au départ, j’avais peur des OFNIS Mon jugement aujourd’hui les mauvais bateaux sont ceux qui restent au port Les bons sont ceux qui naviguent Que ce soit en côtier ou en hauturier Aujourd’hui je constate que nombre de gens de monocoque sont passé au catamaran hauturier et presque aucun n’ont fait le contraire .... EN France le prix des ports incitent au monocoque... En voyage nous sommes au mouillage forain ... Les religions pro et anti existent dans tout les domaines Faites vous plaisir le temps passe trop vite

kea

Tout a fait d'accord...le bon bateau est celui que vous pouvez entrenir avec vos moyens financiers mais également celui que vous pouvez manœuvrer sans problème physique...je reste interrogatif lorsque je vois des couples ages sur des catas de plus de 50" ? Vaudrait mieux pas que les winches électriques tombent panne...on est à la limite de dangerosité...amicalement Pierre

tikipat

la GV sur un cata de plus de 45 p devient pas facile a gérer , il faut du très bon matériel , beaucoup qui le peuvent passent du mono au cata pour leurs plus grand bonheur ....

Phyavela

Pour avoir eu un Wauquiez Prétorien dans le passé, très bon voilier, mais quelques inconvénients comme l'absence de jupe, et une cabine arrière petite je peux confirmer que la construction était remarquable intérieur teck, lest plomb,boulon inox, coque creuse (très bien pour le confort à la mer), puisard profond, safran classique (pas de compensation du coup), gréement dormant sécurisant (Pas juste 2 étages de barres de flèches poussantes avec des "inter" repris au 1er étage de barres de flèches, le gréement ne tenant latéralement que par un galhauban...). Dans les 50K du même constructeur et époque, voir peut être côté du Wauquiez Amphora si les perfs ne sont pas une priorité et l'esthétique pas rédhibitoire.

Quelques photos sur le lien suivant. tyl.io[...]-000eur

A propos du Pretorien je me souviens de cet article : www.cruisingworld.com[...]lboats/ Ce voilier est depuis longtemps reconnu comme un "capable blue water sailing boat" et les connaisseurs de la marque ajouterons que c'est tout aussi valable pour les Centurions. Une precision interessante, le chantier Wauquiez peut réaliser un refit de leur propres anciens modèles, pour ceux qui n'ont pas le temps et/ou les connaissances métiers necessaires aux opérations lourdes de refection. Est-ce que financièrement cela vaut le coup en comparaison d'un voilier plus récent et aussi bien construit, c'est tout un débat. Amha, c'est bon à garder à l'esprit si par hasard on tombe sur une opportunité vraiment intressante de rachat à un proprio honnête qui ne cache pas les points à reprendre sur son unité.

Voir aussi le centurion 36 successeur du prétorien, plus grande cabine arrière. Par contre des bancs "coupés" dans le cockpit... pour le reste ils sont assez proches celui ci à une jupe www.annoncesbateau.com[...]797792/

www.lms-yachts.com[...]CASION/

lolapo

J'ai lu quelque part ??? Les Centurions un peu plus grand : redoutable au prés . Aucune stabilité de route au portant. Barre dure et donc conso pilote importante .

Ai regardé les photos de celui en vente . Epontille au milieu de carré = rédhibitoire. Teck sous les tropiques = chaud et gros frais si mal entretenu et ancien. Superbes éviers !!

En fait, toutes les réponses que vous avez ici sont des réponses de vieux radoteurs comme moi et d'autres. On a tourné autour du monde avec tous les bateaux, plastique, ferraille, ciment, sans aucune électronique, sans météo, sans GPS, frigo ou autre dessalinisateur. Nos feux de route étaient une lampe tempête à pétrole et notre moteur démarrait quelquefois. On reprisait nos voiles régulièrement, avions quelques photocopies de cartes et on vivait bien. N'ayez pas peur, TOUS les bateaux que vous trouverez sont bien. Ils sont motorisés, ont des voiles en état, des équipements qui vous disent non seulement ou vous êtes, mais aussi ou sont les autres... Alors, pour choisir un bateau de tour du monde, celui ou vous vous sentez bien, qui vous parle, avec lequel vous allez passer une partie heureuse de votre vie, même s'il n'a pas l'équipement dernier cri dont V&V dit qu'on ne peut s'en passer, eh bien, choisissez le au feeling : ce sera votre bateau, et il sera parfait.

Parfait comme conclusion ! J'ai lu l'histoire d'un marin russe qui avait le tour du monde sur un 6m de sa confection. Il disait la chose suivante : "no GPS, no autopilot, no motor, no woman... no problem !"

En tous cas merci à tous pour vos précieux conseils. J'ai beaucoup plus de questions dans la tête maintenant qu'avant, mais je crois que c'est une bonne chose ! En tous cas ce qui est sûr c'est que je ne vais pas trop traîner pour acheter un plus gros bateau et partir naviguer avec. Et advienne que pourra !

Super communauté !

Ah , la bagarre des anciens et des modernes... Je n'allume plus mon gps. J'ai réalisé que ma vhf en a un. Au moins , elle sert à quelque chose...

searing

Non , pas de querelles entre les anciens et les modernes.Juste des avis différents et je reconnais que je suis en phase avec ED850 .Le GPS c'est simple et magique mais j'aimais bien le sextant.Pareil pour les cartes papier ou numériques. Je pense juste qu'on peut partir avec des bateaux simples sans aucun problème.Les " revues nautiques " nous vantent et nous vendent le dériveur alu pour un tour du monde par les tropiques dans des endroits ou il y a peu de marées.Un OVNI c'est bien à Chausey mais en Corse.... Depuis nôtre voyage , le prix des bateaux d'occase a beaucoup baissé .C'est donc plus facile d'en trouver un.Après chacun choisit l'équipement qui lui parait indispensable.GPS , traceur de cartes ,radar , VHF , pilote , régulateur, guindeau électrique , propulseur d'étrave , station météo ,téléphone satellite ,désalinisateur ,groupe électrogène , frigo , congélo ,télé ... Le plus important c'est l'envie et à mon humble avis ne pas trop faire durer la période de préparation qui peut être fatigante nerveusement.Même si on croit tout prévoir ,il y a toujours des imprévus.

J'ai hâte du jour où je pourrait nous guider au sextan. Le GPS c'est facile, sans doute trop. C'est tellement moins "noble" que la nav astro... Et puis faire les droites de hauteur et les points au sextan ça occupe bien nos journée, ça force à regarder les etoiles et à s'y plonger au lieu de passer ses quarts à l'intérieur en yeutant l'écran de l'ais d'un oeil mou.

En ce moment on est en train de faire une grande simplification (que j'appelle fiabilisation)du bateau, on vire tout ce qui nous est pas utile (chargeur de quai, guindeau elec etc..). À chaque ablation mon bateau devien plus simple, plus sein, et plus rassurant.

La course aux gadget c'est des promesses trompeuses ou un moyen de garder sur l'eau des consommateurs vieillissant et aisés qui n'auraient autrement plus les capacités physiques de naviguer comme ils le font. Au lieux de prendre des equipiers et de partager leurs longues et riches expériences, ils peuvent se contenter d'un winch électrique.

Pareil pour les équipements de communication/visualisation. Si pour X raison je ne suis pas en mesure de faire une veille permanente (navigation en solo, simple flemme..) alors il me suffit d'avoir un ais, avec radar et reflecteur pour pouvoir m'en passer, au lieux de m'adapter autrement (quarts actifs, equipage, nuit à la cape etc...)

et pour finir l'iridium, inreach et autres. C'est super pour éviter l'inconfort du sale temps et raccourcir la traversée de quelques jours. Donc dans le fond ça reste un gadget (très) cher et pas vital. Si un jour avant une traversée je ressent le besoin d'avoir un iridium cela voudra dire que je n'ai pas toute confiance dans mon bateau, ou dans mes capacités à mener ma barque. Si je prends un iridium pour me rassurer et partir TouDeSuiteMaintenant alors je met equipage et bateau en danger. Car quand je serais dans la merde c'est pas l'iridium qui me dira quoi faire ou retiendra la cadène de pataras.

En résumé tous les plaisanciers prétendrons que tous leurs gadgets sont là juste pour la facilité et le confort. C'est surement vrai ou ça l'a été, mais à trop se reposer sur les autres (le gps, le routeur, l'ais, le winch elec,etc...) on finit par oublier de faire. Et le jour où le gadget nous lâche on se retrouve bien embêté et on se rends compte qu'on sais plus trop faire sans...

Plus c'est simple, plus c'est fiable et plus tu fais, donc plus tu progresse, dans tous les domaines.

Et celui qui winch à la main, va chercher son eau douce au jerycan, reste au mouillage et se déplace à la rame, frotte sa coque de temps en temps, le jour où il a un gros pépin, genre une voie d'eau. Eh bien il aura quelque chose en plus que celui qui a son dessal et ses winch electriques: des bras.

C'est important ces trucs là quant on navigue ;)

un bateau solide, un compas, une vhf, un gps, un bon régulateur d'allures, quelques cartes... il n'y a pas besoin de grand chose pour être bien et aller loin sur un bateau.

CapRac

Ourob : « À chaque ablation mon bateau devient plus simple, plus sein, et plus rassurant ».

Beaucoup de choses vraies et de bon sens dans tes propos, Ourob, à mon humble avis, et au moment où les humains sont en train de se faire bouffer vitesse grand V par les automatismes et la robotique, tu es certainement dans le vrai. Bravo pour ton discernement et merci pour la leçon. Un vrai plaisir de lire du bon sens! Vraiment, ça réconforte même. Les hommes ne sont peut être pas tous complètement idiots à la fin!

Captain Cromagnon

Attention au moment de refermer, ne pas oublier les « outils » a l’intérieur ( moteur, quille etc…) 😜

une VHF avec ta position , un AIS transpondeur , une balise de détresse , une vhf portable a pile , un GPS , voila qq matoss utiles en cas de naufrage ....

C'est évident que le matériel moderne facilite grandement la vie. Les nuits d'angoisse parce que depuis 3 jours, aucun astre visible, point sextant impossible, et trouver l'ile Coco, le passage entre deux atolls des Tuamotous ou l'entrée du détroit de Torres (feux éclats rouges portée 11'). Le sextant c'est bien, mais avec le GPS, une petite tablette et TZ, Navionics ou Open Cpn, t'es mieux. Le guindeau électrique avec lequel tu n'hésites pas à mettre tes 70m de chaine dans 6m d'eau pour dormir tranquille, l'enrouleur de foc qui ne t'obliges pas à mettre ton ciré à 3h du mat parce que le vent est passé de 15 à 30 kn pour passer du genois au foc 2, l'AIS avec l'alarme, qui te permets de sommeiller tranquille même en allant aux Scillys, le sondeur fiable qui te permets de rentrer dans la baie inconnue et mouiller tranquille par 6m d'eau, la balise + irridium grâce auxquels tu sais que tu ne passeras que 24h dans ton bib même si tu te chopes un container en Pacifique nord... Je pense que ces équipements sont drôlement bien, même si sans tout ça, on navigue aussi bienheureux.

Je dirais , un voilier que tu peux perdre sans te retrouver dans la mouise..

Polmar

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Un Guide Détaillé pour Budgétiser un Tour du Monde en Voilier

Naviguer autour du monde est un rêve que beaucoup partagent, mais peu réalisent. L’un des obstacles majeurs à un tel voyage est souvent financier. Cet article propose quelques astuces pour aider à budgétiser un voyage en voilier autour du monde.

Déterminer le Type de Voyage

La première étape pour budgétiser votre voyage est de déterminer le type de voyage que vous voulez faire. Prévoyez-vous de faire escale dans de nombreux ports et de profiter des attractions locales, ou préférez-vous passer le plus clair de votre temps en mer? Votre réponse influencera grandement votre budget.

Estimation des Coûts Fixes

Les coûts fixes d’un voyage en voilier autour du monde comprennent des éléments tels que l’achat ou la location d’un voilier, l’assurance, l’équipement de sécurité, les frais de visa, l’entretien du bateau, etc. Il est important d’établir une estimation précise de ces coûts pour pouvoir budgétiser correctement.

Estimation des Coûts Variables

Les coûts variables incluent des éléments tels que la nourriture, le carburant, les frais de port, les loisirs et les urgences imprévues. Essayez de surévaluer ces coûts pour vous donner une marge de sécurité.

Utilisation d’Applications de Gestion Financière

Des applications de gestion financière peuvent être d’une grande aide pour suivre vos dépenses et vous assurer que vous respectez votre budget. Vous pouvez également « créer un graphique en ligne  » pour visualiser vos dépenses et mieux comprendre où va votre argent.

Prévoir une Marge pour les Urgences

En mer, les imprévus peuvent être coûteux. Que ce soit une réparation de bateau nécessaire ou une visite médicale inattendue, il est crucial de prévoir une marge financière pour ces éventualités.

vue sur le pont d'un voilier

Recherche et Planification

Recherchez les prix dans les différents ports que vous prévoyez de visiter. Les coûts peuvent varier considérablement d’un endroit à l’autre. Planifiez votre itinéraire en fonction de votre budget.

Générer des Revenus pendant le Voyage

Si vous prévoyez un voyage à long terme, il peut être utile de penser à des moyens de générer des revenus pendant votre voyage. Cela pourrait être par le biais d’un blog de voyage, de la vente de photos ou de vidéos, ou même de travaux occasionnels dans les ports.

Faire des Économies avant le Départ

Plus vous pouvez économiser avant votre départ, plus vous aurez de flexibilité pendant votre voyage. Cela peut signifier faire des sacrifices à court terme pour un gain à long terme.

La Préparation est la Clé

Il est essentiel de préparer votre voyage longtemps à l’avance. Cela vous permet de profiter des meilleures offres, de planifier votre itinéraire en fonction de votre budget, et de vous assurer que vous n’oubliez rien d’important. Pensez à tout, des coûts de la vie dans les différents pays que vous visiterez, aux coûts potentiels de l’entretien du bateau, en passant par les dépenses imprévues.

Explorer les Options de Financement

Il existe plusieurs façons de financer un voyage autour du monde en voilier. Outre l’épargne personnelle, vous pourriez envisager d’autres options telles que le financement participatif, la recherche de sponsors, ou la location de votre maison pendant que vous êtes en voyage.

Mise à Niveau des Compétences

Avant de partir, investissez du temps et de l’argent pour améliorer vos compétences en navigation et en entretien de bateau. Non seulement cela vous aidera à prévenir et à résoudre rapidement les problèmes qui pourraient survenir, mais cela vous permettra aussi d’économiser beaucoup d’argent à long terme.

Considérations sur l’Assurance

Une bonne assurance est essentielle pour un voyage en voilier autour du monde. Cela peut représenter une part importante de votre budget, mais c’est une dépense qui en vaut la peine. Assurez-vous que votre police couvre tous les domaines nécessaires, y compris la couverture médicale à l’étranger, le remorquage du bateau, la perte ou le vol d’effets personnels, etc.

La Flexibilité est Cruciale

La flexibilité est la clé d’un voyage réussi et économique. Être prêt à modifier votre itinéraire, à attendre les meilleures conditions météorologiques, et à faire des choix économiques peuvent tous contribuer à vous aider à respecter votre budget.

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5 petits voiliers pour faire le tour du monde

naviguer autour du monde

Thom D’Arcy navigue autour du monde dans son Vancouver 28. Crédit photo: YachtFathom.co.uk

De nombreux marins vous diront que les petits voiliers sont le ticket pour partir en croisière MAINTENANT. Ils sont abordables, simples et navigables… cependant, il est peu probable que vous voyiez de nombreux petits voiliers dans les lieux de croisière d’aujourd’hui. En trois ans et 13 000 miles nautiques de croisière en eaux bleues, j’ai pu compter le nombre de voiliers de moins de 30 pieds que j’ai rencontrés d’une seule main (qui étaient tous dirigés par des gens dans la vingtaine et la trentaine). Les mouillages d’aujourd’hui sont pleins de 40, 50 et 60 pieds plus des voiliers océaniques, mais cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas naviguer dans le monde avec un petit voilier. Il suffit de regarder Alessandro di Benedetto qui, en 2010, a battu le record du plus petit bateau à faire le tour du monde sans escale dans son 21 pieds Mini 6.5 . Tant que cela ne vous dérange pas de renoncer à quelques conforts, vous pouvez avoir de grands rêves avec un petit budget.

Qu’est-ce qui rend un petit bateau offshore capable

Bien que vous ne pensiez peut-être pas qu’un petit voilier est à la hauteur de longues distances, certains des meilleurs voiliers bluewater mesurent moins de 40 pieds. Cependant, si vous songez à acheter un bateau pour la croisière hauturière, il y a quelques choses à savoir sur ce qui rend un petit bateau capable de naviguer au large.

Les monocoques à déplacement plus petit seront toujours plus lents que les monocoques à déplacement plus grand (voir la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi les petits bateaux sont plus lents). Par conséquent, un petit croiseur va prendre plus de temps sur un passage donné, ce qui les rend plus vulnérables aux changements météorologiques. S’ils rencontrent du mauvais temps, ils seront moins en mesure de dépasser ou de l’éviter. Pour cette raison, la plupart des bateaux de cette liste sont lourdement construits et conçus pour résister.

La conception des yachts a radicalement changé au cours des 50 dernières années. Ces bateaux plus petits sont des modèles vieux de plus de 30 ans et d’une époque où les prévisions météorologiques étaient moins précises et plus difficiles à trouver. De plus, à l’époque, les bateaux étaient construits avec des coques en fibre de verre plus épaisses que celles que vous voyez dans les constructions modernes. Gréements, quilles, gouvernails, coques et ponts – tout sur ces petits voiliers de croisière a été conçu pour résister aux vents violents et aux grosses vagues. Certains des bateaux de ce billet ont des gouvernails suspendus et la plupart sont des quilles pleines.

Les avantages et les inconvénients des petits voiliers

Les petits bateaux présentent certains avantages et inconvénients.

  • Leur petite taille signifie que vous pouvez généralement obtenez des voiliers d’eaux bleues à un meilleur prix et le le coût des pièces a tendance à être inférieur. Par exemple, vous pouvez vous en sortir avec des voiles plus petites, du matériel de pêche au sol, des treuils et une ligne plus légère que sur un bateau plus gros.
  • Amarrage, échoueries et marine les services sont souvent facturés au pied du bateau . Un petit voilier rend le voyage dans le monde beaucoup plus abordable!
  • Quand quelque chose casse (comme un moteur), ce sera moins coûteux à réparer ou à remplacer que ce ne serait sur un plus grand bateau.
  • Les petits bateaux ont tendance à avoir systèmes plus simples ce qui signifie que vous passerez moins de temps à réparer et à payer pour entretenir ces systèmes. Par exemple, la plupart des petits bateaux n’ont ni douches, ni dessalinisateurs, ni eau chaude, ni guindeaux électriques à ancre. Sur un petit voilier, vous êtes plus susceptible de prendre des bains de seau, de recueillir de l’eau fraîche de vos voiles et de bombarder votre ancre à la main. Bien que moins pratique, cette simplicité peut vous faire économiser des années de préparation et d’économiser pour naviguer.
  • Enfin, des bateaux plus petits peuvent être physiquement plus facile à naviguer , pensez à la différence entre lever une voile sur un bateau de 25 pieds et un bateau de 50 pieds! Vous pouvez plus facilement à une seule main ou à main courte un petit voilier.

Les inconvénients

  • La chose la plus évidente à propos d’un petit bateau de croisière est peut-être n’offrent pas beaucoup d’espace de vie, de confort aux créatures et de rangement.
  • Cela fait aussi plus difficile à accueillir l’équipage pendant de longues périodes, ce qui signifie qu’il y a moins de personnes pour partager le travail et les quarts de nuit.
  • Comme mentionné ci-dessus les petits bateaux sont des bateaux lents et arriveront au port, parfois des jours (et même des semaines) derrière leurs homologues plus rapides sur les longues traversées offshore. Considérez ce scénario: deux bateaux ont traversé l’Atlantique sur une route de 4 000 milles marins. Le petit bateau faisait en moyenne quatre milles à l’heure, tandis que le grand bateau faisait en moyenne sept milles à l’heure. Si les deux ont commencé en même temps, le petit bateau aura terminé la traversée deux semaines après le plus grand voilier!
  • Il convient également de mentionner que ils sont beaucoup moins confortables que les plus gros bateaux car ils sont plus facilement lancés dans la houle des grands océans.

Voici nos 5 petits voiliers d’eau bleue préférés pour naviguer à travers le monde

Remarque: les gammes de prix sont basées sur les listes SailboatListings.com et YachtWorld.com pour août 2018

Albin Vega 27 (7-22 K $ USD)

petits voiliers

Albin Vega 27 de Matt Rutherford . Crédit photo: www.solotheamericas.org

L’Albin Vega s’est taillé une réputation de croiseur en eaux vives grâce à des marins aventureux comme Matt Rutherford, qui en 2012 a effectué un tour du monde en solo sans escale de 309 jours via le Cap Horn et le passage du Nord-Ouest (voir son histoire dans un documentaire Point rouge sur l’océan ).

  • Type de coque: Quille à longue nageoire
  • Matériel de coque: GRP (fibre de verre)
  • Longueur hors tout: 27 ′ 1 ″ / 8,25 m
  • Longueur de flottaison: 23 ′ 0 ″ / 7,01 m
  • Largeur: 8 ′ 1 ″ / 2,46 m
  • Tirant d’eau: 3 ′ 8 ″ / 1,12 m
  • Type de plate-forme: plate-forme de sloop de tête de mât
  • Déplacement: 5070 lb / 2300 kg
  • Concepteur: Per Brohall
  • Constructeur: Albin Marine AB (Suédois.)
  • Année de première construction: 1965
  • Dernière construction: 1979
  • Numéro de construction: 3,450

Les 5 meilleurs endroits pour trouver de petits voiliers à vendre .

Cape dory 28 (10 à 32 000 usd).

petit voilier

Cape Dory 28

Ce petit voilier est mignon et classique car il est robuste et spacieux. Avec au moins une circumnavigation connue et de nombreux voyages en eaux bleues plus courts, le Cape Dory 28 a prouvé sa capacité au large.

  • Type de coque: Full Keel
  • Longueur hors tout: 28 ′ 09 ″ / 8,56 m
  • Longueur de flottaison: 22 ′ 50 ″ / 6,86 m
  • Largeur: 8 ’11” / 2,72 m
  • Tirant d’eau: 4 ’3” / 1,32 m
  • Type d’installation: Sloop de tête de mât
  • Déplacement: 9,300lb / 4,218kg
  • Rapport surface de déplacement / déplacement: 52
  • Rapport déplacement / longueur: 49
  • Concepteur: Carl Alberg
  • Constructeur: Cape Dory Yachts (USA)
  • Année de première construction: 1974
  • Dernière construction: 1988
  • Numéro de construction: 388

Dufour 29 (7-23 K $)

petit voilier

Au fur et à mesure des petits voiliers aux eaux bleues, le Dufour 29 est beaucoup de bateau pour son argent. Nous en connaissons au moins un qui a traversé le Pacifique l’année dernière. Conçu comme un coureur de croisière, il est à la fois amusant à naviguer et prêt pour l’aventure. Comme de nombreux voiliers Dufour de cette époque, elle est équipée de porte-bouteilles de vin moulés en fibre de verre. Laissez les Français penser à tout!

  • Type de coque: Aileron avec gouvernail suspendu
  • Longueur hors tout: 29 ′ 4 ″ / 8,94 m
  • Longueur de flottaison: 25 ′ 1 ″ / 7,64 m
  • Largeur: 9 ′ 8 ″ / 2,95 m
  • Tirant d’eau: 5 ′ 3 ″ / 1,60 m
  • Déplacement: 7250 lb / 3289 kg
  • Concepteur: Michael Dufour
  • Constructeur: Dufour (France)
  • Année de première construction: 1975
  • Dernière construction: 1984

Vancouver 28 (15-34 000 $)

petit bateau le plus marin

Vancouver 28. Crédit photo: YachtFathom.co.uk

Un petit bateau sensé avec une attitude «passe-partout», ce croiseur de poche a été conçu en pensant aux marins océaniques. L’un des meilleurs voiliers de croisière de moins de 40 pieds, le Vancouver 28 est idéal pour naviguer dans un petit paquet.

  • Type de coque: Quille pleine avec gouvernail suspendu
  • Longueur hors tout: 28 ′ 0 ″ / 8,53 m
  • Longueur de flottaison: 22 ’11” / 6,99 m
  • Largeur: 8 ’8” / 2,64 m
  • Tirant d’eau: 4 ’4” / 1,32 m
  • Type de plate-forme: plate-forme de coupeur
  • Déplacement: 8,960lb / 4,064 kg
  • Concepteur: Robert B Harris
  • Constructeur: Pheon Yachts Ltd. / Northshore Yachts Ltd.
  • Année de première construction: 1986
  • Dernière année de construction: 2007
  • Nombre construit: 67

Westsail 28 (30-35 K $)

petit voilier

Westsail 28

Décrit dans le marketing de 1975 comme «un petit croiseur chaleureux», le Westsail 28 a été conçu pour ceux qui étaient prêts à embrasser la vie de croisière. Parfait pour un marin solo ou un couple de croisière confortable!

  • Longueur hors tout: 28 ′ 3 ”/ 8,61 m
  • Longueur de flottaison: 23 ’6” / 7,16 m
  • Largeur: 9 ’7” / 2,92 m
  • Déplacement: 13500 lb / 6124 kg
  • Concepteur: Herb David
  • Constructeur: Westsail Corp. (USA)
  • Nombre construit: 78
  • À bord du superyacht Bold
  • Le Superyacht d’Abeking et de Rasmussen dévoilé lors de ses essais
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Il était une fois le Belem : la folle histoire du voilier mythique qui transporte la flamme olympique des JO Paris 2024

Il était une fois le Belem : la folle histoire du voilier mythique qui transporte la flamme olympique des JO Paris 2024

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Ce samedi, le Belem entre dans l’histoire : c’est à bord du fameux trois-mâts que la flamme olympique va rallier Athènes à Marseille, où elle débarquera le 8 mai. Le saviez-vous ? Ce fleuron de la marine française est né la même année que la première édition des Jeux olympiques modernes, en 1896

Raffut

Le Belem, on a tous l’impression de le connaître. La star des voiliers a déjà paradé lors du jubilé de diamant de la Reine d’Angleterre en 2012 et participé à tous les grands rassemblements nautiques dans le monde. Il a fait l’objet de tant de reportages et de livres, et on l’a si souvent admiré dans la région , à La Rochelle, Arcachon, Bayonne et, bien sûr, Bordeaux, lors de la Fête du vin ou du Fleuve, ou de l’inauguration du pont Chaban-Delmas, en 2013. C’est aussi dans le port de la Lune   qu’il a passé en 2016-217 cinq mois d’hivernage, au lieu de Nantes, son port d’attache, pour la première fois de son histoire. Certains ont même eu la chance de le visiter, voire de naviguer à son bord ! Mais savez-vous vraiment tout de ce fantastique témoin de trois siècles de notre histoire ?

Le “Belem” à Arcachon : nos plus belles images d’archives du voilier dans le Sud-Ouest

Un cargo d’acier

Le Belem au XIXe siècle.

Né aux chantiers Dubigeon de Nantes, en 1896, à la fin de la grande époque de la marine marchande à voile, le Belem fête cette année ses 128 ans, tout comme la première édition des Jeux olympiques modernes. Le cargo est destiné au commerce du cacao, notamment pour le chocolatier Menier, entre la France et le Brésil, et notamment le port de Belem, d’où il tire son nom. L’armateur Fernand Crouan , qui a passé commande du trois-mâts, avait bien spécifié : « Ce n’est pas parce que je transporte du cacao pour M. Menier qu’il faut me faire un bateau en feuille d’étain. Le « Belem », je le veux plus solide que le « Noisiel » - du nom d’une usine Menier - le prototype que vous m’aviez déjà construit avec une coque d’acier » (1). Il a été obéi au doigt et à l’œil par ses constructeurs. Ce qui explique aussi sa remarquable longévité.

> Retrouvez sur notre site tous nos articles sur les Jeux olympiques Paris 2024

Il prend feu lors de sa première traversée

Placé sous le commandement du capitaine Lemerle, dit « le Merle noir » en raison de son caractère ombrageux, il s’élance pour sa première expédition outre-atlantique de la cité des ducs de Bretagne, en juillet 1896, pour rallier les Amériques, les cales lestées de pierres. Après 50 jours de mer, il arrive en Amérique du Sud, à Montevideo, la capitale uruguayenne, où il charge 121 mules destinées à tracter les tramways brésiliens. La seconde étape du voyage n’est pas de tout repos, mais l’arrivée à Belem tourne carrément au drame : le feu prend dans la cale. L’incendie est maîtrisé mais les dégâts sont énormes. Il faut jeter les cadavres calcinés des animaux et quand le voilier reprend la mer pour Nantes, où il accostera six mois après son départ, c’est sans le précieux cacao qu’il aurait dû transporter, et il devra retourner au chantier-naval pour de grosses réparations.

Quand le Belem fait escale à Bordeaux : en images, on vous emmène à bord du fameux trois mâts

Trente-trois expéditions… et quelques grandes frayeurs

La traversée inaugurale du Belem est un désastre, mais sa carrière ne fait que commencer. Le deuxième voyage, avec un deuxième capitaine mais toujours avec un chargement de mulets, se déroule sans incident notable.. sauf qu’une révolution compromet le débarquement ! Ce n’est qu’à la troisième expédition - et avec un troisième capitaine - que le « Belem » rapportera enfin du cacao. Il continuera ensuite régulièrement son trafic de grains et d’animaux contre du cacao et des épices. Quand il prend sa retraite, en 1914, cet » Antillais » aura traversé trente-trois fois l’Atlantique.

Il réchappe à l’éruption de la montagne Pelée

Saint-Pierre, le Petit Paris des Antilles, avant 1902.

Durant sa carrière, entre autres aléas, le Belem a aussi connu les faillites en série de ses armateurs et quelques grandes frayeurs. Comme en 1902, à la Martinique. Le volcan qui surplombe la ville de Saint-Pierre s’est réveillé en février. Dans la nuit du 4 au 5 mai, il entre en éruption. Le 8 mai, c’est la catastrophe. La montagne Pelée explose, une nuée ardente partie du sommet du volcan détruit complètement la capitale économique et culturelle de la Martinique, tuant ses trente mille habitants. Le port et ses bateaux sont entièrement détruits. Sauf le Belem, qui échappe miraculeusement, avec son équipage, à l’anéantissement. En arrivant à Saint-Pierre, le voilier avait trouvé son poste d’accostage déjà occupé. Il avait fait alors le tour de l’île pour jeter l’ancre, ailleurs, dans l’anse Robert.

Yacht de luxe en Angleterre

Après trente-deux expéditions au commerce, durant lesquelles il aura aussi chargé du charbon à Cardiff pour les Antilles, transporté des phosphates et ravitaillé le bagne de Cayenne, le trois-mâts, victime de la concurrence de la vapeur, tout comme les clippers qui transportaient le thé, est vendu au duc de Westminster en février 1914. Le duc l’équipe de deux moteurs Bollinders, surélève la dunette et aménage de somptueux appartements à l’intérieur. Cinquante personnes servent à bord du « Belem » qui, devenu yacht de luxe, paradera jusqu’en 1922.

Le petit roof.

Une autre grande fortune britannique le repère. Arthur Ernest Guiness, l’héritier de la célèbre brasserie irlandaise, rachète le voilier au duc et le rebaptise « Fantôme II ». Avec la famille de son nouveau propriétaire, l’ex Belem fera le tour du monde, avant de trouver refuge en 1939, dans la rade de Cowes sur l’île de Wight. Durant la Seconde Guerre mondiale, le bateau sert de QG aux Forces navales françaises libres. En 1942, ce « miraculé » qui a décidément la baraka réchappe aux bombes allemandes. Quand Guiness décède, en 1949, sa fille met en vente le navire.

Arthur Ernest Guiness.

Navire-école à Venise, sous pavillon italien

Tombé dans l’oubli, le trois-mâts est sauvé par Vittorio Cini , un aristocrate italien, qui l’achète en 1952 et le rebaptise Giorgio Cini, du nom de son fils décédé accidentellement. Gréé en trois-mâts goélette pour y accueillir avec une discipline militaire les élèves méritants de l’école de la fondation du comte, et notamment les orphelins, le Belem entame une reconversion de navire-école, . Amarré à Venise, face à la place Saint-Marc, il naviguera pendant treize ans dans l’Adriatique et accueillera à son bord des millieres de jeunes, avant d’être une fois de plus abandonné, en 1965, cette fois-ci dans la lagune de Venise, car jugé trop vétuste.

En images. Le "Belem" a quitté La Rochelle pour Bordeaux

Le Belem retrouve son pavillon de naissance

Le Giorgio Cini est mis en vente fin 1977. Le docteur Gosse, un médecin grenoblois passionné de voiliers anciens qui avait découvert au hasard d’un congrès à Venise la véritable identité du vieux trois-mâts amarré face à la place Saint-Marc, va faire des pieds et des mains pour que le Belem retrouve son nom et sa patrie d’origine. Les médias s’en mêlent, notamment la fameuse émission télévisée Thalassa, qui consacre en septembre 1978 un sujet au navire nantais. Sous l’impulsion d’un banquier, Jérôme Pichard, le bateau est racheté en 1979 par l’Union des Caisses d’épargne de France. Le 15 août 1979, le trois-mâts fait ses adieux à la Sérénissime, avant de rentrer triomphalement le 17 septembre en rade de Brest, escorté par la Marine nationale, qui le prend en charge et envisage de s’en servir comme support de formation.

Classé « Monument historique »

Le Belem à Paris, au pied de la tour Eiffel.

Après avoir battu pavillon anglais puis italien, le navire, qui a désormais accédé au statut de bijou patrimonial national, est démâté pour remonter la Seine, afin d’être restauré à Paris, quai de Suffren, au pied de la tour Eiffel, grâce au soutien de la Caisse d’Epargne et avec l’aide de l’État. Durant toute la durée du chantier, ouvert au grand public, un petit musée aménagé dans l’entrepont verra défiler près d’un demi-million de visiteurs. Après quatre ans de travaux qui ont redonné au trois-mâts quasiment son lustre et son état d’origine, il est classé « Monument historique navigant », en 1984. En 1986, accueilli par une foule en délire, le Belem retrouve Nantes, sa ville qui l’a vu naître.

Navire-école de prestige ouvert à tous

Confié à la Fondation Belem en 1981, le trois-mâts garde sa vocation de navire-école, militaire d’abord. Il sillonne les mers et océans enchaînant les parades nautiques et représentant la France aux quatre coins du globe. En 1986, ll participe aux fêtes de centenaire de la statue de la Liberté. En 1996, pour son propre centenaire, il se fait navire-école civil ouvert à tous. Fin mai, il arrive ainsi à Bordeaux de Bayonne sous le commandement du capitaine Parri avec une quarantaine d’amateurs qui ont appris à manier la barre, à gréer les 1 200 mètres carrés des vingt et une voiles. En 2008, il participe au 400e anniversaire de la ville de Québec puis au jubilé de Diamant de la Reine Elizabeth II en 2012. Cette année-là, il s’invite déjà aux Jeux olympiques, à Londres. En 2019, il est au cœur de l’Armada de Rouen.

Bordeaux fête le vin 2023 : les grands voiliers de retour du 22 au 25 juin

Le Belem à l’heure des Jeux olympiques

Grâce à un équipage mixte de 16 marins professionnels issus de la marine marchande, le Belem embarque désormais jusqu’à 48 stagiaires par expédition, soit quelque deux mille stagiaires chaque année. Aymeric Gibet, le capitaine actuel du navire, encadre la vingtaine de jeunes en réinsertion qui partent le 28 avril du port du Pirée, en Grèce, pour traverser la Méditerranée avec la flamme olympique. L’entrée du trois-mâts dans le vieux-port de Marseille se fera le 8 mai. Le début d’un long périple pour la flamme qui prendra les routes françaises avant d’arriver à Paris le 26 juillet 2024, jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques.

(1) L’histoire du « Belem » est relatée dans le livre de Daniel Hillion (Ed. de l’Épargne) et dans celui de Philp Plisson, qui a réalisé de merveilleuses photos du « Belem ». et dans le hors-série de Sud Ouest, réalisé en collaboration avec le Chasse-marée, « Les cinq vies du Belem ». 9,9 euros.

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  • Jeux olympiques de Paris 2024

Paris 2024 : le voilier « Belem » a quitté la Grèce en direction de la France avec la flamme olympique à son bord

Le trois-mâts est attendu le 8 mai à Marseille, où débutera ensuite le relais de la flamme à travers le pays, jusqu’à la cérémonie d’ouverture des Jeux.

Le Monde avec AFP

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Le « Belem » a quitté le port du Pirée, samedi 27 avril, avec la flamme olympique à son bord, pour se diriger vers Marseille.

La flamme olympique se dirige vers la France, à trois mois de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques (JO) de Paris, prévue le 26 juillet. Elle se trouve à bord du trois-mâts Belem , qui a largué les amarres samedi 27 avril au port grec du Pirée, près d’Athènes, entamant sa navigation vers la France.

Le voilier est attendu le 8 mai à Marseille, d’où commencera le relais de la flamme à travers la France, jusqu’à la cérémonie d’ouverture. Vendredi, le président du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques, Tony Estanguet, a reçu symboliquement la flamme à Athènes des mains du président du Comité olympique hellénique, Spyros Capralos.

« Maintenant, nous allons [la] ramener en France avec ce bateau, le Belem , qui date lui aussi de 1896 » , année des premiers Jeux olympiques de l’ère moderne, « quelle fantastique coïncidence ! » , s’est-il exclamé.

Florent Manaudou premier relayeur en France

Le Belem empruntera le canal de Corinthe, une prouesse d’ingénierie du XIX e  siècle construite avec la contribution de banques et d’ingénieurs français. Puis, avant d’entrer dans le Vieux-Port, à Marseille, le Belem paradera dans la rade de la cité phocéenne et sera accompagné de 1 024 bateaux.

Des animations sont prévues sur terre et en mer toute la journée. A son arrivée à Marseille, le nageur Florent Manaudou – champion olympique du 50 m nage libre en 2012 à Londres – sera le premier porteur de la flamme. « C’était une évidence pour nous que la flamme revienne en France dans les mains d’un olympien, l’un des plus emblématiques de sa génération » , a expliqué Tony Estanguet, vendredi. La sœur de Florent Manaudou, Laure – championne olympique du 400 m nage libre à Athènes en 2004 –, avait d’ailleurs été la première relayeuse française à Olympie, le 16 avril .

Près de 150 000 personnes sont attendues à Marseille pour accueillir la flamme olympique et un dispositif exceptionnel de sécurité est prévu – 6 000 membres des forces de l’ordre seront mobilisés. Cette arrivée  « sera le début concret d’un voyage qui sera fantastique pour tous les Français » , a déclaré la ministre des sports et des jeux, Amélie Oudéa-Castéra, en Grèce, samedi. L’occasion aussi, selon elle, d’envoyer  « un message au monde entier pour leur dire que nous les accueillerons »  et de mettre en avant un  « message de paix » .

Le relais de la flamme olympique débutera le 9 mai dans Marseille, avec des passages prévus à la basilique Notre-Dame de la Garde, à la cité de la Castellane, quartier natal de Zinedine Zidane, et au Stade-Vélodrome. Elle traversera ensuite le pays, en passant par les Antilles et la Polynésie française, et arrivera à Paris le jour de la cérémonie d’ouverture, le 26 juillet.

Le Monde en partenariat avec Magnum Photos

Magnum photos

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Vente exceptionnelle de tirages signés jusqu’au dimanche 05 mai

Elliot Erwitt

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Yokohama, Japon, 2003.

Cristina de Middel

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Mexique, 2018.

Harry Gruyaert

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Moscou, Russie, 1989.

Steve McCurry

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Académie Shaolin, province du Henan, Chine, 2004.

Herbert List

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Torremolinos, Espagne, 1951.

Bruce Gilden

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New York City, États-Unis, 1992.

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Un tour du monde en voilier et en famille !

  • par Fabrice Dubesset
  • - Mis à jour le 18 Sep 2023

Je vous présente aujourd’hui une famille peu ordinaire. En effet, David et Valérie ont embarqué avec  leurs deux enfants pour un long voyage en voilier. Cela fait 4 ans qu’ils sont sur les mers du globe ! Ils tiennent un journal de bord sur leur site. Nomades des mers oui !

tour du monde en voilier

  • 1. La préparation de ce tour du monde en voilier
  • 2. Sans date de retour
  • 3. Le voilier et le budget
  • 4. L’achat du voilier pour le tour du monde
  • 5. Le Budget
  • 7. La vie à bord d’un voilier
  • 9. 4 ans en voilier autour du monde

La préparation de ce tour du monde en voilier

– Bonjour à vous 4 ! Pourriez-vous vous présenter ?

David, Valérie aujourd’hui la quarantaine et nos deux enfants Bastien et Morgan âgés de 4 et 7 ans au départ du voyage il y a 3 ans maintenant. Sans oublier MITI notre voilier.

– Quel a été le trajet jusque là ?

Après un départ difficile, nous sommes partis un peu tard dans la saison et avons essuyé du mauvais temps très rapidement. Cela nous a un peu refroidis et nous avons repris notre souffle dans une marina du sud de l’Espagne ou nous sommes restés 5 mois ! Cela nous a permis d’améliorer notre anglais et notre espagnol, un plus pour le reste du voyage. Le printemps suivant nous avons pris la direction de l’ouest et de l’atlantique. Un arrêt à Gibraltar et en face à Ceuta, l’enclave espagnole en Afrique. Puis le Maroc, les îles Canaries que nous avons adorées, le Cap Vert avec beaucoup d’autres équipages, avec qui nous avons partagé les mêmes peurs puis le grand saut de la traversée.

Ensuite, les Petites Antilles , pratiquement une nouvelle île à chaque nouvelle navigation, de nouvelles découvertes, un vrai plaisir même si les canaux inter-îles ne sont pas toujours évidents à passer. Un arrêt prolongé au sud, à Grenade pour laisser passer la saison cyclonique puis une remonté en direction des Grandes Antilles : République Dominicaine, Jamaïque, Cuba.

Déjà le retour de la saison cyclonique et la nécessité de faire du sud pour être à l’abri. Nous décidons alors de viser Panama et sommes surpris et charmés par ce pays bien loin de l’image simpliste du canal.

Enfin une remonté au nord par les îles de la Colombie, le Honduras et le Belize où nous sommes actuellement.

– Beau trajet ! Comment est né ce projet ? J’imagine que l’idée a germé petit à petit ?

Oui, petit à petit. Comme beaucoup, le rêve de partir mais sans toutefois lâcher la terre des pieds. Le voilier est venu rapidement comme le moyen de transport et d’hébergement idéal pour notre famille. Il est agréable de retrouver son « chez-soi » tous les soirs sans avoir le souci de « Où est-ce qu’on dort ? Où est-ce qu’on mange ? »

Une fois le choix du moyen de transport réalisé, le parcours est presque déjà tracé. Nous projetions de faire le tour du monde parce que cela nous semblait simple. « On fait le tour et on rentre ! » La réalité est un peu différente, les choix et les envies de chacun ont souvent modifié l’étape suivante, la météo, la mer avec ses courants, les saisons, tout cela a transformé notre projet au cours du temps.

Sans date de retour

– Vous êtes parti je crois sans date de retour ? Pourquoi, comment on en vient à décider un tel projet ?

En fait, nous sommes partis avec plusieurs dates butoirs mais toujours avec la possibilité de poursuivre. Un changement de vie aussi radical pouvait ne pas nous convenir. Je parle pour les adultes car les enfants ont une faculté d’adaptation qui leur permet d’être bien partout tant que leurs parents sont bien. Nous avions donc comme première date butoir, un an.

voilier pour un tour du monde

La seconde date butoir lié à nos métiers respectifs et en rapport avec des congés ou plutôt des mises en disponibilité de nos travails. Celle-ci arrive bientôt à échéance .

Le voilier et le budget

– Ha les mises en disponibilité, une chance ! Quel voilier utilisez-vous ? Il me semble que c’est plutôt un petit format ?

Nous avons fait le choix d’un voilier de voyage avec dériveur intégral en acier . Acier pour sa robustesse en cas de choc sur un récif ou en mer. Avant notre départ du Cap Vert un voilier en bois avait sombré juste avant d’arriver à destination après avoir tapé un OFNI (Objet Flottant Non Identifié), baleine ou container? Nous préférons avoir une bosse au bateau !

Dériveur intégral parce qu’il est bien agréable de pouvoir approcher une plage, un lagon, entrer dans un estuaire quand les autres voiliers sont condamnés à ancrer bien loin du rivage.

La taille de 10, 11 mètres fut un choix plus financier que personnel même si nous avions toujours à l’idée que petite unité, petits frais. Nous avons cela dit chacun un espace pour soi. Chaque enfant a sa cabine qu’il perd lors des navigations ou l’organisation est différente. Une chambre pour les adultes, un espace cuisine avec eau de mer et eau douce, un carré (table et banquettes), qui sert de salle à manger, de zone de jeux ou de travail pour l’école. Enfin, une table de navigation et de travail et un cabinet de toilette sans douche. Un F4 dans 10m qui dit mieux !

MITI est un vulcain 7 transats avec coque à un seul bouchain, coque acier, pont inox c’est un sloop dessiné par l’architecte Caroff et fabriqué par les chantiers Brument

L’achat du voilier pour le tour du monde

– Combien a-t-il coûté à l’achat ?

Là, c’est vraiment fonction du marché. Il y a quatre ans, lors de la recherche, nous n´avons trouvé que 4 bateaux qui répondaient à nos désirs. Le premier, nous l’avons raté puis ce fut un choix lié au constructeur, à l’équipement présent et aux travaux à prévoir. Miti nous a coûté 64 000 euros.

– Ha oui quand même ! Et pour le budget équipement ?

Il a fallu rajouter 2 à 3 000 euros pour remettre au goût du jour quelques équipements, s’équiper de gilet personnel, se doter d’un téléphone satellite, d’une balise, etc…

Question cruciale ? Quel est le budget par mois tout compris ?

Question cruciale et difficile, je ne vais pas vous cacher que je me suis trompé et que j’avais sous-estimé ce point. En fait tout dépend de notre façon de vivre. Certains aiment profiter de tout, restos visites etc, et ont des budgets important, d’autres restent au mouillage et ne bougent pas. Le plus dur a était de nous placer par rapport à notre budget qui est de 600 euros par mois . Au départ, en Méditerranée et sur l’est de l’Atlantique, le bateau était souvent en marina et le coût de celle-ci monté le budget jusqu’à plus de 1000 par mois. Heureusement, nous avons aussi de l’argent de côté pour cela et les coups durs.

De ce côté de l’Atlantique où les vents ont une certaine constance le bateau est souvent au mouillage et le budget de 600 euros est tenu facilement malgré les assurances maison et bateau, les impôts et le prêt qu’il ne faut pas oublier.

Notre façon de voyager en voilier est donc mouillage, pas mal de pèche, peu de resto et quelques visites de chaque île. Nous ne nous interdisons pas de louer une voiture, prendre des bus, payer un guide, etc… Nous sommes ici, aujourd’hui et profitons du lieu que nous n’aurons peut-être plus la chance de retrouver.

– 600 euros par mois pour 4 personnes, ce n’est pas grand-chose ! Comment le financez-vous ? Economies, rentes, travail… ?

C’est le gros travail d’avant le voyage. Il nous a fallu plusieurs années pour acquérir une maison avec grange que j’ai aménagée en appartement en vue de rente pendant le voyage. Ces quelques années qui correspondent en gros aux années ou les enfants étaient en bas âge m´ont permis de rénover la maison qui nécessité beaucoup de travaux et de faire ces deux appartements. Le prêt toujours en cours est comblé par la rente.

Nous avons aussi de l ’argent de côté en cas de coup dur ce qui nous est arrivé à Panama où une entrée d’eau nous a immobilisés plus d’un mois au chantier.

Le choix de ne pas travailler durant le voyage est simple. Ceux qui travaillent ne voyagent pas ou peu ! Il faut trouver le travail et rester bloquer dans un endroit rarement idyllique ou les contraintes de la vie quotidienne s’ajoutent à celles de la vie de nomade. De plus l’argent gagné est en grande partie perdu dans le quotidien cher où le travail est présent. Bien heureux, comme les informaticiens, ceux qui arrivent à travailler de leur bateau avec un salaire correct.

voyage en voilier et en famille

La vie à bord d’un voilier

– Comment gérez-vous la vie à bord dans un si petit espace ?

On vit à l’extérieur ! Chaque espace est utilisé tour à tour et il est fréquent d’enjamber un enfant en train de jouer aux legos ou attendre son tour pour aller dans un autre espace. Cela nécessite de ranger régulièrement même si notre bateau est rarement bien rangé ! Nous nous habituons rapidement à l’exiguïté du lieu et sommes toujours surpris lorsque nous retrouvons lors de visite une chambre d’hôtel immense !

Lorsque nous sommes au mouillage, le matin est consacré aux différents travaux, scolaire, bricolage, le site Internet, la lessive,  etc…et l’après midi aux visites, au ravitaillement, à la plage ou à la pèche.

Lors des navigations, pas d’école et nous n’occupons que les couchettes arrières car celle de devant est impraticable à cause des mouvements du bateau. Bastien et Morgan dans une et Valérie et moi à tour de rôle, quart oblige, dans l’autre.

–  Les 3 voyages / destinations qui vous ont le plus marqué depuis votre départ ?

Question bien difficile tant chaque escale est riche du paysage et de rencontre. Je donnerais le Maroc car ce fut la première destination où paysages et culture sont différents de notre France. Avec le souvenir inoubliable de notre entrée dans l’oued Bouregreg avec le stress d’une entrée inconnue sans carte et le plaisir de découvrir la muraille de Salé puis celle des Oudayas rénovée qui surplombe une ribambelle de barques de pécheurs aux couleurs chatoyantes d’où émanent des bienvenus pleins de chaleur.

Ensuite peut être Cuba avec son peuple si cultivé à la recherche de liberté, peuple attachant et si proche de la France par ses convictions et ses principes. Les chasses sous-marines exceptionnelles avec les premiers pas de Bastien dans cette activité et ses premières grosses langoustes.

Enfin Panama car tellement à l’opposé de ce que nous pensions. Déjà, il relit l’Amérique du Sud d’ouest en est et non du nord au sud, ensuite c’était notre première destination sur ce continent, le premier contact avec la forêt vierge et ses habitants : Singes hurleurs, fourmiliers, perroquets et toucans pour les principaux. Et les San Blas et les Indiens Kunas et leurs arts, les molas à en oublier le canal et le fameux chapeau.

– J’ai eu plein de bons échos de Panama, je vais y passer dans quelques mois. Quels sont les côtés les plus difficiles depuis que vous avez commencé cette vie nomade ?

Les vagues qui jouent avec le bateau et nos estomacs ! La petitesse de notre habitat, son manque d’une vraie salle de bain et l’éloignement de la famille. Pour les enfants je rajouterais le manque d’autres enfants, les voiliers sont bien trop rarement des voiliers avec famille et les parcours souvent divergents.

– Les plus beaux côtés ? J’imagine qu’il y en a une foule !:-)

Aucun, d’ailleurs nous sommes encore là ! C’est une vie particulière où les choses futiles en terre de France peuvent devenir de vrai casse tête sur un voilier. La recherche d’une connexion Internet, faire des courses, trouver de l’eau, une poste, faire une lessive, une remise en question et une adaptation journalière sont nécessaires. Cela ne plaît pas à tout le monde et nous sommes bien loin du «  J’commande une pizza pour ce soir ? Oui, j’la fais livrer après ma longue douche chaude et on s’la mange devant la télé ». Bref nous, nous aimons cette vie de bohème ou nous changeons de jardin aussi souvent que de mouillage.

A côté de ça, se baigner avec les tortues, chasser dans un monde multicolore des mérous, des langoustes, suivre des dauphins, observer des baleines, des lamantins.

Échanger avec des locaux aux coutumes et cultures différentes, se retrouver au mouillage dans des lieux de rêve, visiter des pays que nous ne connaissions que par leur nom chanteur. Il met impossible à décrire la trace indélébile que ce voyage va laisser dans chacun de nos cœurs. Nos têtes sont pleines de souvenirs petits et grand qui vont de la piña colada préparée avec ananas et coco fraîchement coupés servi sur la plage à la République Dominicaine jusqu’au bain autour du bateau avec des dauphins à Guanaja, Bay island, Honduras en passant par les tranches d’histoire des conquistadors, de l’esclavage, des Mayas et leurs sites fabuleux.

La vraie question est  : « Va-t-on arriver à nous réadapter à une vie sédentaire ? »

voilier acier tour du monde

4 ans en voilier autour du monde

– En effet, c’est la vraie question. L’homme s’adapte à tout, je pense que oui. Mais j’imagine que cela va être dur ! Comment se profile la suite du voyage ?

Nous arrivons à notre deuxième échéance. Le retour est plus qu’envisagé, nous rentrons. La vie à bord et ses contraintes, le mouvement perpétuel du bateau dans les vagues, le manque de confort mais surtout la nécessité financière, le manque d’enfant qui ne facilite pas la socialisation des enfants,… Beaucoup de choses qui nous repoussent vers notre vie d’avant. Nous aurons pris 4 ans de nomadisme, 4 ans de vie différente, 4 ans c’est déjà ça !

–  Oui 4 ans, c’est déjà une grande chance ! Un dernier mot ?

Une phrase que nous avons suivie à la lettre sans nous en rendre compte. Il faut toujours laisser des zones non visitées, des oublies, des amis, pour avoir des regrets et avoir le plaisir de revenir.

Merci à David et Valérie d’avoir pris le temps de répondre à mes questions lors d’une escale. Je sais que ce n’est pas forcement facile d’avoir trouvé du temps pour cela !

Je ne sais pas vous, mais ce mode de voyage m’attire beaucoup. Voyager à la voile, c’est quand même synonyme de beaucoup de liberté !

Pour poursuivre, je vous conseil cet épisode du podcast au sujet d’un jeune couple préparent leur tour du monde en voilier !  Et pourquoi pas un voyage en cargo ? 

Si vous avez des questions, n’hésitez pas ! Les réponses prendront peut-être du temps par contre vu l’accès aux connexions…

Et voici un tour du monde avec des enfants !

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101 Comments

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Une belle expérience en famille qui donnera très probablement des idées aux plus jeunes d’ici quelques années !

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C’est claire qu’avec cette expérience, cela m’étonnerait qu’ils deviennent casanier:-)

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Pour tout dire j espere rellement qu’il auront le virus, celui de vouloir voyager, voir et comprendre notre terre et ses occupants. Bastien le plus grand adore voir apparaitre les nouvelles iles, il comprend maintenant l’espagnol et aime ce changement continuel qui rythme les voyage. Morgan, plus jeune et peut etre celui qui s’adapte le plus vite avec oplaisir a n importe quel lieu. Ils ont compris tous les deux une des choses les plus importante, celle de profite le plus possible de l’instant présent. Car un instant raté est a jamais perdu.

C’est vraiment un plus de savoir cela à leur âge!

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Bonsoir, (dimanche 11mars 2012)

c’est en recherchant des renseignements sur « vulcain transat » que j’ai découvert votre blog!! félicitation!!

J’ai également en projet un voyage style TDM sans destination précise, et je suis entrain d’étudier l’acquisition d’un vulcain transat DI acier actuellemnt en vente .

pourriez vous me faire part de votre retour d’expèrience de vie à bord, de navigation, de sécurité etc.. de ce voilier ?

Pour l’instant c’est un projet de navigation en solitaire sans limitation de temps (jeune retraité!) mais avec remontée de rivière, plongée, etc au programme.

Merci d’avance Didier

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Bonjour! Avez-vous une adresse mail sur laquelle on peut vous écrire ? merci !

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Je serai aussi intéressée pour votre retour sur le Vulcain Transat 7. Serait-il possible d’échanger en message privé ? Merci Virginie

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génial ! mon mari adorerait faire un tel voyage ! Pour notre Tour du monde on avait pensé le faire en vélo ou en voilier et finalement on l’a fait « normalement » en utilisant les transports !

Peut-être pour une prochaine? Cela doit vraiment être excellent!

Un grand navigateur sans voilier pendant une longue période a écrit un jour : l’important est d’être en mouvement ». Qu’importe le mode de transport l’important est de naviguer ou plutôt de bouger que se soit sur terre sur mer ou dans ses songes. L’avantage du bateau c’est que c’est aussi notre maison, notre cocon ou l’on se refugie lors des coup dur.

Ce navigateur a raison, en effet qu’importe le mode de transport!

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C’était notre 2e option le voilier… ah… la belle vie qu’ils doivent mener! Difficile parfois comme moyen de transport mais quelle expérience de vie pour les enfants! Et le sentiment de liberté et d’évasion doit être si palpable! Bel article, merci pour le rêve!

C’est vrai Martine que vous connaissez bien ce mode de voyage. Vous y avez passé des mois non? Je suis d’accord avec toi, pour moi, c’est la liberté!

La liberté relative du voilier est lié aux contraintes de celui-ci. L’avantage c’est que c’est nous qui l’avons choisi, du coup nous les connaissons et le sentiment de liberté peut être tres fort. Par exemple lorsque nous étions aux iles du Cap Vert le sentiment de liberté s’exprimé par l’evantail de choix a notre disposition. Rester, partir sur le Senegal et l’Afrique, le Bresil et l’Amerique du sud, les Antilles, les Acores, remonter sur les Canaries. Ce choix, nous le faisons, les seuls contraintes sont liés a la meteo mais tout est possible et rien nous l’empeche. Sur les voiliers, sauf les gens qui ont des contraintes de temps liés a leur vie a terre, personne n’a de plan precis sur la suite de leur voyage. Et ces plans bougent d’un jour a l’autre. Cette liberté la, je crois, il n’y a que la voile qui l’offre ou bien sur l’exces d’argent.

L’important en effet c’est de le choisir en sachant les inconvénients. On est ainsi pas bridé par les aspects négatifs et la sensation de liberté est là. De toute manière, c’est impossible d’être libre à 100%, que cela soit par le mode de transport et d’autres facteurs. Aussi, l’important est de choisir ce qui pour nous est le plus synonyme de liberté!

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Ca doit être une expérience bien extraordinaire, mais je ne sais pas naviguer… 4 ans c’est déjà ça en effet! Bravo à eux et bon retour…

Ha mais tu peut apprendre Lucie, par exemple en cherchant une place de coéquipier, il y a des sites pour cela. Cela me tenterait bien!

Ah ben je ne savais pas qu’ils prenaient des débutants… à creuser, merci pour l’info!

Merci, le retour s’effectue aux rythmes de la mer et des vents qui cette année sont plutot contraire a notre route. Je ne suis pas marin, j’ai appris par procuration en me plongeant dans les livres, par l’invitation d’un copain sur le voilier de ses parents, puis petit a petit les gestes sont venus, de plus en plus sur. Bon nombre de bateau sont dit « novice » et même si il est preferable de faire ses premieres armes sur un bassin connu beaucoup partent sans expérience. En tant qu’equipier, c’est encore plus simple même si un petit peu d’expérience et toujours bienvenu, la bonne volontee et la bonne humeur sont toujours les bienvenus a bord des voiliers. L’embarquement est toujours possible a la journee, sur une croisiere hebdomadaire ou plus. Si tu es tenté, franchie le pas, l’experience est unique.

Salut David,

Merci pour les réponses au fait!

Je trouve étonnant qu’on puisse de lancer dans vraiment de formation poussée ou d’expérience. Il y a beaucoup de gens qui se lancent dans une traversée de l’atlantique sans expérience?

Je trouve cela dangereux, la mer est rude, les tempêtes, la solitude etc…

Reponse a Fabrice en dessous. Pour les reponses sur ton site c est normal, merci plutot a toi de le mettre en ligne. Pour ce qui conserne les gens qui partent sans experience sur l eau, il est clair que je considere cela comme une erreur qui peut les mettre en danger. Mais la mer comme la montagne reste encore un espace de liberte ou il faut que les personnes se responsabilisent. Une bonne connaissance de soi et de ses possibilités et des plus important et la mer comme la montagne ne pardonne pas. Mon commentaire voulait montrer que beaucoup partent avec ou sans experience je ne veut en aucun cas pousser des gens a partir sans aucune experience. Pour notre part, nous avions un petit voilier pendant 7 ans ou nous cabotions le long de la cote de Mediterrannee avec comme transat des vacances en Corse avec la traversee. Inoubliable. Mais malheureusement avec pourtant ces experiences, je me suis souvent trouvé mal prepare a affronter cette mer qui toujours peut faire pire. Et encore maintenant, je me mefies d elle et suis sur le qui vive a chaque navigation, que va-t-elle me reserver ? Cela dit, meme si on ne s invite pas du jour au lendemain dans ses flancs, il y a toujours une premiere fois. Et cette premiere fois, quoi qu on fasse on est novice. Bon vent a ce qui tenteront quelques bords et merci a Fabrice pour la remarque importante.

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Salut fabrice, tu as des sites à recommander?

Yep, il y a celui-ci: http://www.pingouin-tropical.com/Pingouin_Tropical/Accueil.html

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Merci Fabrice pour cette interview, merci à cette famille de nous avoir raconté leur expérience : lecture très agréable ayant des enfants, c’est chouette de lire des récits de famille !!

bonne soirée à toutes et tous

xtinette, je lis sur ton blog que tu vas venir en Dordogne en Aout !! j’y suis pour jusqu’en juillet…….si tu as besoin d’infos…

Oui, voyager en famille, c’est possible:-)

je ne doutais pas que ça le soit lol

un jour, je viendrais te raconter mon récit aussi lol

mais bon en attendant les voyages à l’étranger, nous sommes adeptes des petites virées, petites escapades avec nos enfants en france 😉 ; sauf l’année dernière…5 semaines d’un coup…

et ce n’est vraiment pas fréquent dans notre entourage : famille / amis…

5 semaines en famille, c’est déjà super! Moi, je partais que 3, 4 jours avec mes parents quand j’étais « petit »:-)

Merci, faire partager notre voyage est aussi une facon de voyager et surtout de reflechir sur notre voyage. J espere que vous pourrez partir plus en famille même si j’entrevois les contraintes terrienne derriere vos limitations. Mince, il va falloir que je m’y fasse moi aussi !!!

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Bonjour, je pars l année prochaine avec mon homme et mon fils faire une transat en voilier. Mon homme l a déjà faite donc pas d inquiétude de ce côté là mais juste une question. Quels cours donnés à mon fils qui sera en ce2.? Comment ce passe la scolarité pour les enfants ?

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Perso je n’associe pas vraiment voilier et liberté, enfin comparé au backpacking, surement car je n’ai pas d’expérience de la mer, mais même si c’est clair qu’il est possible d’aller partout sur le globe par ses propres moyens, sans prendre l’avion, à côté de ça on est lié au destin d’un bateau qu’on ne peut quitter, on le voit dans la description, la vie s’organise autour du bateau et en dépend…

En fait je dirais que c’est vraiment un autre style de voyage, un voyage ayant pour thème la mer et pour lequel il faut un solide financement couplé à une solide expérience!

Ceci dit j’aimerais bien un jour passer 3mois dans ce style de vie pour mieux me rendre compte et l’apprécier…Qui ne rêve pas de découvrir des eaux turquoises de « l’intérieur », se baigner en toute liberté avec des dauphins et plonger ou faire du snorkeling au milieu d’une faune sous marine magnifique…

Tu as raison Nicolas, tu dépend de ton bateau. Mais dans ce ca, ton moyen de transport et ta maison aussi, c’est peut-être dans ce sens là qu’il faut parler de liberté.

En tout cas, pour sûr, cela demande un bon budget et de l’expérience! Tu as des sites où tu peut trouver des place de coéquipier, même débutant pour une semaine ou un mois!Ca peut être un bon plan!

Oui, c’est une liberté pleines de contraintes mais toutes les libertés le sont. Quand tu prends l’avions pour une destination, imaginons la Dominique (parceque je connais un peu) C’est super, tu es libre de bougé a droite à gauche mais tu dois chercher avant tout un lieu pour ta nuit en endroit pour planter ta tente, ou laisser ton sac ? ou vais je dormir ? Ta liberté et toujours contraintes par ton mode de transport. Une fois que ces contraintes sont connus chaque mode de transport t’offre une liberté. Maintenant, il est clair que nous avons toujour le souci d’ou laisser notre maison . Comme tu le dis c est juste un autre mode de voyage et il ne convient pas a tous, heureusement. Cela vaut le coup de l’essayer mais attention, s’il te convient il peut bouleverser ta vie !

Très juste ta comparaison! Chaque mode à ses contraintes et avantages!

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Très beau mode de vie en effet. Mais pour savoir si ça convient, il faut faire quelques essais. Et pour répondre à Nicolas, la liberté qui s’associe à la voile réside dans la mesure où l’on est du type ennuyeux ou pas. Car à la voile, on ne décide pas de grand chose et on est à la merci du temps. C’est un peu paradoxal, mais il s’agit là d’une très grande liberté au contraire. Il existe des mouillages où l’on voudrait y passer des mois entiers tellement on s’y sent bien!

En effet Yves, il vaut mieux faire quelques essais avant car c’est un gros engagement! Toi même, tu l’as déjà fait plusieurs mois non?

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Impressionnant, ça doit vraiment être une expérience à part ! Surtout pour les enfants, qui seront marqués à jamais par le mode de vie ! Merci d’avoir dégoté cette interview, Fabrice 🙂

Tentés Jérémy par ce mode de voyage?

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Une interviewe très riche de découvertes! J’admire beaucoup ces voyageurs de la mer. Je pense qu’il faut avoir un sacré cran et beaucoup de ténacité pour mener un tel projet! Ca donne vraiment envie. Toutefois une question continue de me tarauder (vu que je suis prof)… Comment ont-ils mener l’instruction des enfants? (j’imagine que le voyage est une source inépuisable de connaissances…)

Et bien en fait, j’imagine qu’il font cela avec l’aide du CNED+ eux mêmes. C’est sans doute un peu plus difficile avec ce mode de voyage cela dit. En tout cas, j’ai croisé parfois des familles qui voyageaient longtemps,les parents faisaient la leçon aux petites quelques heures par jour. Et cela marchait.

Merci mais ne nous admires pas, nous ne sommes qu’une famille parmis tant d’autres. Effectivement nous avons utiliser les cours du CNED qui sont super bien fait. Un peu lourd mais qui te donnes un rythme et une rigueur que l’on peut perdre vite dans les paysages feeriques. Seul gros probleme de ce systeme c’est la transmission des evaluations, mensuelle pour le primaire et toute les deux semaines en college. Il faut un peu jongler avec les destinations, les personnes « touristes » croisées qui posterons de France,…et la reception des corrections par la maman de ma femme qui nous transmettait ensuite un résumé.

Le travail s’effectue le matin ou plutot une partie de la matine et certains cours etait plus survolés que creusé. Il faut bien preciser que si on veut faire le CNED tres correctement il faut en moyenne 5 heures par jour ! Incompatible avec notre vie a bord. Nous limitions a deux ou trois heures par jour. Il est vrai qu ils connaissent mieux Christophe Colomb et la vie des esclaves aux Antilles que nos ancetres les golois !

Autre chose, en tant que fonctionnaire, tu as une disponibilite de droit « pour elever un enfant de moins de huit ans » que nous avons utiliser et qui te permet de revenir et de retrouver ton job au retour. Ca, ce n est pas negligeable et plutot securisant.

Si tu as des questions, n hesites pas.

Cela demande de la logistique en effet. 5 heures par jour quand même. Mais malgré les 2, 3 heures par jour, ils arrivent tout de même a être au niveau? Il faut demander un agrément pour sortir son enfant du système scolaire classique? Est-ce facile à avoir?

Et bien en fait le CNED calque sont enseignement sur le mode classique. Donc 5h par jour proche des 6 7 du cursus normal. Dans tout ca, il y a de la musique, du dessin, de l histoire geo, des sciences en plus des maths et du francais. Sur MITI l accent etait donne sur les deux matieres generales et le reste etait plutot ligth ou en activité par journee de pluie du style « tiens, tu veux faire ton evaluation de dessin ? » La grosse difference avec le systeme scolaire classique c est que nous n avions que deux eleves en face de nous et pas 30. Du coup il ne sortait de la salle de classe que lorsque le notion etait comprise ce qui est impossible pour un instit a faire journellement. En plus avec les evaluations mensuels corrigées par un instituteur, le niveau de l enfant est toujours suivi le long de sa scolarite. En fin d annee tu recois une notification de passage en classe superieure. Pour la petite histoire l’education national sachant nos enfants entrés en France et entrant pour un mois dans une ecole sont venus pour les evaluer. Nous avons voulu les refamiliarise avec l’ecole pour qu ils ne soient pas trop debousole a la rentree de septembre et qu ils se fassent des amities. Les inspecteurs sont venus mais ne savaient pas que les enfants avaient suivi les cours du CNED (l’information a du mal a passer quelques fois dans l administration !) Bref ils ont evalué les enfants et les ont trouve aptes a poursuivre leurs scolarite. Ouf le CNED les avaient bien evalue !

Pour ce qui est de sortir ses enfants du mode classique, c est en fait assez simple. La France oblige la scolarite de 6 a 16 ans pas l’ecole. Toute personne pour des raisons personnels qu elle notifie par ecrit a l’inspecteur d academie peut sortir ses enfant du cursus scolaire classique et leur enseigner avec l’aide du CNED ou par ses propres moyens les pres requis par classe. Si la scolarite est suivi par le CNED, en fin d annee il y a un avis de passage. Si c est hors systeme, des inspecteurs viennent pour evaluer l enfant et donner cet avis.

Mais attention l’enseignement n est pas une chose simple surtout avec ses propres enfants. Beaucoup de voiliers de rencontre avaient des systemes differents d enseignement du « apprends d’abord l’anglais apres on verra » jusqu’au CNED super suivi en passant par des enseignements avec les moyens plus ou moins correct, tout est possible. Certain equipage ont laisse completement tomber en disant c est pas grave tu redoubleras ! La plupart sont ravis de retourner a terre pour remettre a d autre cette activitee qui peut devenir vite une corvee !!! L enseignement est un métier, enseigner a ses enfants peut devenir une fierte mais c est avant tout un travail. L ideal comme tout travail est de le partager, trop souvent attribuer a la maman comme le linge, la vaisselle, le repas,….

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j’adore la dernière phrase: « Il faut toujours laisser des zones non visitées, des oublies, des amis, pour avoir des regrets et avoir le plaisir de revenir ». Je suis tout à fait d’accord! Et je me rends compte que je l’applique aussi sans le savoir!

Oui, c’est une belle phrase!

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C’est vrai que les photos font rêver. Et pourtant apparemment tout n’est pas si simple. C’est vrai que c’est petit un voilier, il faut vraiment pouvoir se créer son propre espace vital.

En effet Davis, cela n’est pas simple. Je pense que c’est pas fait pour tout le monde c’est claire. Il faut être hyper débrouillard, bricoleur, aventureux et pouvoir vivre dans un petit espace longtemps!

Au niveau de l’espace, c est clair c est petit. Difficile de s’isoler mais chacun a son espace a lui. Et nous nous etions sur 10 11 metres, nous avons des amis qui naviguaient sur un huit metres. Un couple avec deux enfants dont une fille de 14 ans, un garcon de 8 et un chien !!! Mais ceux sont les contraintes qu ils s etaient donnees et ils etaient heureux car ils etaient la.

Maintenant, l’espace, il est dans le jardin. Et la possibilitee de changer de jardin quand celui ci ne nous convient plus. Donc la vie dehors alors quand ceux sont des grandes navigations ou qu il pleut c est un peu la galere quand c est plus d une journee.

Par contre il est vrai qu il faut etre un peu bricolo ou sinon c est le portefeuille qui remplace. Et aussi un peu inconscient aussi. Un petit grain de folie sans quoi la vie serait bien terne.

Beau passage sur le jardin! J’ai une question de blogueur: est-il possible de s’équiper pour une connexion satellite pour recevoir le net sur le navire? Ou c’est vraiment trop cher?

Financierement c est juste un gouffre ! Mais voici comment nous nous en sortons. A l’ancre lorsque nous sommes en zone habitee nous sortons l’antenne wifi est traquons les libres. Heureusement, ils y en a assez souvent hors de nos contrees. Ou sinon cyber cafe. En navigation et seulement pour recevoir et envoyer des mail texte j utilise mon telephone satellite. Pour recevoir la meteo aussi. C est cher mais cela reste correct et est un des elements qui entre dans la categorie securite. Un gros probleme, je declanche ma balise de detresse et j appelle les secours par telephone !!! Comme tout les elements de securite, je ne m’en servirais jamais pour ca mais au milieu de nul part, avoir une voix connue a l’oreille est un reconfort comme un gros cadeau. Apres il y a des systemes au debit, mais tout est tres, tres cher, sauf les wifi souvent lie aux hotel.

ok merci! Tu as une idée du prix du tel, et des systèmes au débit?

Vas sur le site http://www.nauticom.fr rubrique communication pour avoir une idee precise de toutes les possibilités et leurs couts.

super, merci David!

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effectivement c’est tres cher d’avoir internet à bord (pas moins de 6 ou 7$ par megaoctet téléchargé !), par contre la solution telephone satellite est tout à fait acceptable pour les envois d’email et petits fichiers (meteo Grib par exemple) _________ Cedric from telephone satellite

Pour répondre à ta question Fabrice, j’ai passé l’essentiel de ma jeunesse à naviguer avec mon père, tellement qu’à la fin de l’adolescence, j’en avais plutôt ras le bol de la mer, des lacs et des rivières… Mais il s’agit d’une chose qui revient vous hanter un jour ou l’autre. Alors mon attrait pour la mer est plus fort que jamais. C’est juste que je suis dans une période de latence.

Et pour ces enfants de ton article qui sont imprégnés de la voile et de la vie en mer, c’est évident que ça aura des répercussions (positives) sur leur avenir. À ce sujet, le fils de Carl Maillhot et Dominique Manny (voilier la V’limeuse) qui ont passé plus de 6 ans en mer avec leur 4 enfants, fait aujourd’hui des transats en solitaire.

Ont dit que notre enfance est façonnée par les activités que l’on y pratique. Moi ce fut le voyage et la navigation… J’ai donc tendance à croire que c’est tout à fait vrai.

Oui je suis sûr que c’est vrai Yves!Et cela revient toujours plus tard. Tu en es un exemple avec ton enfance à naviguer avec ton père. C’est chouette.

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Ca c’est un de mes rêves… La première étape consistera à apprendre à naviguer 🙂

pareil! Je voulais d’ailleurs commencer par trouver une place de coéquipier sur un voilier dans les caraïbes. Bon, pas sûr que je vais arriver à trouver. En tout cas, c’est un bon moyen de commencer et de se rendre compte si cela nous convient!

Salut Fabrice,

le meilleur truc pour te trouver une place d’équipier sur un voilier est le suivant: tu te pointes à une marina avec tout ton attirail, tu fais le tour et tu laisses savoir que tu es prêt à t’embarquer. Beaucoup de navigateurs sont très ouverts à ce sujet. Pour l’expérience, ce n’est pas un problème. Tu pourras participer aux manoeuvres et à la vie à bord, ce qui se résume parfois à nettoyer le pont ou encore faire la cuisine.

Toutefois, rares sont ceux qui t’offriront le passage gratuit. La formule la plus souvent utilisées est la suivante: selon le temps de la traversée, les propriétaires du bateau te feront un prix à la journée. Par exemple, il y a une dizaine d’année, le côut d’un passage (et peu importe le nombre de jour que dure la traversée) ressemblait à quelque chose comme 20$ par jour. Si on considère que ça inclut la bouffe, c’est vraiment abordable. Sans compter qu’il s’agit d’une expérience qui sort de l’ordinaire, crois-moi. Tu t’en rendras compte en quittant le port et lorsque le vent viendra claquer et faire gonfler les voiles…

Effectivement, les prix maintenant sont proche de 15 euros vu sur le STW (www.STW.com) mais vous pouvez trouver aussi des embarquements dans nos ports francais, il suffit de demander et quelques fois la chance sourie. L’argent est la pour participer a l avitaillement a quelques reparation, les frais de port de gasoil,…discutable avec le proprietaire. Par exemple pour ma transat retour jusqu au Acores, un ami est venu accompagne d un de ses amis. Coup de Poker pour moi qui ne le connaissait pas mais pour lui s’etait une oportunite. Nous avons en gros partagé les frais. Maintenant pour des longues traversees, il vaut mieux se trouver a Gran Canaries en novembre ou a St Martin au mois d avril !!! L’internet est un bon moyen pour entrer en contact. Bonne recherche pour les tante par l experience mais attention la vie a bord en cabotage est completement differente de celle d une transat.

David, tu crois que je peut trouver assez facilement une place dans une marina d’Amérique centrale (Panama par exemple) pour un cabotage sur cette partie de Amérique ou vers les caraibes?

Comme dit Yves, c est le coup de chance. Panama n est pas la plus mauvaise place parceque c est une zone de passage et de retour sur l’Europe possible. Mais la saison commence a etre tard pour cause d arrivee de la saison cyclonique et peut de bateau maintenant vont tanter un retour. Bref, cela vaut le coup de passer d un ponton a l autre si tu as l occasion. En tout cas ne pas compter dessus, je souhaite que la chance de souris. Si tu es a Panama Shelter baie tante les bateaux Suisse. Pour du cabotage il faut trouve quelqu un qui a envie de partager son bateau avec quelqu un. C est donc une personne qui est sur zone et qui a des difficultes ou pas l envie de sortir seul. Il me semble plus facile a trouver sur nos cotes. Apres c est plus sur les departs de transat qu il faut chercher.

C’est quand la meilleur saison en fait sur ce coin?

C est une bonne question ! En fait le moment est passe car on arrive sur la saison des cyclones et donc les voiliers ne vont pas sauf rare cas, remonter vers la peninsule du Yucatan ou l’Europe. La meilleur saison pour la traversee de l atlantique nord est mai juin. Les voiliers venant de Panama vont le passe pour profiter de cette saison soit quelques temps avant. En fait pour remonter de Panama, le meilleur moment est au debut de printemps ou en fin d automne. Mais comme d habitude rien est fixe et tout depend surtout de la chance. En fait je crois que le meilleur pour ces zones et d’utiliser internet et les sites pour les equipiers ou passer physiquement dans les marinas et regarder les panneaux d affichages ou des offres d embarquement fleurisse quelques fois. Bonne recherche et bonne chance.

merci David pour les conseils!

Merci Yves! Je sais qu’en général c’est payant mais bon si cela est raisonnable, cela me va!

Par contre, j’imagine que je peut attendre longtemps avant de trouver une place dans une marina non?

Ha, ca doit être une expérience….

Comme l ecrit Fabrice, je suis ouvert a toutes vos questions et essayerais d’y repondre au gres de mes dernieres escales. Je n ai pas repondu a chaque blogueur car certaine fois, je n ai juste rien a dire a part : oui, il/elle a raison et je suis d’accord.

Parfois, ça se fait sur un coup de chance, Fabrice. Il suffit juste de se présenter et de discuter à droite et à gauche. Dans le pire des cas, un navigateur peut te dire qu’il lève l’ancre dans une quinzaine et c’est parti! Ça vaut la peine d’essayer pour ton retour!

En fait pour mon retour, je pensais prendre un vol de colombie pour Miami, remonter la cote est jusqu’au quebec, et passer vous voir si vous etes encore là;-) Et ensuite, prendre un cargo pour l’Europe ou avion si trop cher. Bon, mais cela a le temps de changer!

Si tu es en transit a Miami check tes bagages ! Mes deux equipiers ceux sont fait avoir, ils avaient des billets Paris-Nassau via Miami et ont attendu bien longtemps leurs bagages. Les USA sont a premiere vu la premiere destination de transit ou il te faut reprendre tes bagages et passer la douane tout en payant une quinzaine d euros pour le service ! Bon retour et bonne peregrination

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Bonjour Fabrice,

La première chose que j’aimerai dire est : Merci pour cet article fabuleux.

C’est avec un très grand intérêt que je viens de découvrir ce blog et je suis conquise !

Moi même amoureuse de voyages et d’aventure j’ai pu boire chacun de ces mots avec une grande délectation ! Je pense qu’il est important d’entendre des témoignanes comme celui-ci. Qui dit famille ne dit pas arret des voyages pour autant, travail ne va plus de pair avec casanier, qui dit envie dit accomplissement.

Nous sommes actuellement nous aussi en préparation d’un grand projet pour lequel nous allons partir plusieurs mois, sacs à dos et soif d’aventure et de découverte pour seul bagage ! Beaucoup de préparation avant beaucoup de bonheur (et de possibles galères).

Peu être aurez-vous quelques conseils qui nous seront bien utiles !

Cordialement,

L’amoureuse

Bienvenue à toi!

Tu as bien résumé la chose!

Vous allez partir en famille aussi?Tour du monde?

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Ah si les gens savaient : 600€/mois pour 4 donc 200€ par mois par personne, et c’est pas une exception ! Tout ça en toile de fond les lagons aux eaux turquoise de Polynésie 🙂

Pour le bateau si on a pas beaucoup de sous un First 30 suffit, ça coute autour de 14.000€, un couple fait un tour du monde avec ce bateau, ils ont un site aussi : aufildesmilles.free.fr

14 000 euros d’occasion?

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ça fonctionne ?

J’ai même vu un Suedois qui étais sur un bateau de 3, 4 metres ! Des potes qui sont descendus au Senegal avec un Fantasia (8 metres) Un couple sur un 5 metres en Mediterrannee et faisaient du cotier. D’ailleur le voile aviron est tres bien pour ce genre de voyage a un prix attractif et je le suggère a toute personne que la mer attire. Un zodiac, une tente (meme sur le zodiac) une crique, une autre un vrai voyage pour les bourses vide. Bref la seule chose a ne pas oublier c’est que la mer n’est pas toujour agréable et que le budget sécurité des hommes et du bateau est a bien calculer. Après ce n’est qu’une question de compromis et on peut partir avec un budget de quelques dizaines de milliers d’euro. Ce qui n’est pas rien non plus. Mais je dis attention…. Si vous avez l’idee ne visitez pas les marinas et les sites de ventes parce que vous allez trouver chaussures a vos pieds. Et après c’est l’engrenage, une mécanique difficile mais au finale des plus agréable !!!

en fait je voulais dire que le budget indiqué pour quatre me paraissait faible surtout dans le Dom Tom où la nourriture est particulièrement chère

Sorry, cela dit ca fonctionne mais on n’achete pas son steak tout les jours ! La nourriture dans les Antilles françaises est effectivement d’un prix assez élevé. Maintenant en voilier les autres îles sont a portées, et les prix ne sont pas les mêmes. Il faut aussi dire qu’un choix type europeen ( yaourt, camember,…) est plus onereu qu’un mange local. Par exemple dans le sud de la Martinique ou en Guadeloupe on peut ramasser le fruit de l’arbre a pain. De plus la chasse sous marine donne l’apport en protéine. Voila c’est la débrouille qui fonctionne et les stock au bon moment. Bonne route

Pas de pb pour la pêche au large : coryphènes, thons, bonites, whaoos, ..et le riz , pour la pêche sous marine (poissons perroquets Ok mais attention ciguatera et de plus en plus de zones interdites aujourd’hui), mais ce qui nous a paru le plus difficile lors de nos derniers voyages sous les tropiques ce sont les fruits, sans vouloir abuser de la gentillesse des gens (pamplemousses à Taha, mangues à Marie Galante et Ste Lucie), on les achetait sur les marchés …pour touristes … donc des hotels, souvent de bons fruits, sans comparaison avec les supermarchés .. mais au prix du caviar !!

Jean-Luc, cela donne vraiment envie de prendre le large:-)

C’est vrai Fabrice … mais de plus en plus de bateaux et les mouillages deviennent vite saturés !! (lol)

Jean Luc recently posted. Tour du monde

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Je suis très intéressé par votre expérience et voilier mais malheureusement votre site n’est plus accessible, y’ a t-il une autre adresse pour plus d’infos.

Merci et bon vent !!!

Effectivement le site est ferme car il n’avait plus lieu d’être, il etait prévu au départ pour les amis et la famille. Si vous avez des questions, je vous invite a me contacter en demandant a Fabrice de vous passer exceptionnellement mon mel

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Bonjour; J’apprécie de lire tous ces voyages,et cela me conforte encore sur la nécessité de partir pour moi. Néanmoins je m’interroge: comment puis je trouver des informations sur l’organisation d’un tel voyage (bien entendu je fouille sur le net mas je trouve toutes sortes d’infos qui au final me submergent plutôt!!). Mon projet est plutôt simple: partir avec mes trois enfants, pour ma part j’ai toujours vécu « ailleurs », et ma famille vit encore en polynésie mais je ne sais absolument pas naviguer. Je vois souvent des gens qui parlent de dépendre de la météo, comment savoir quand partir et vers où? Bref même si c’est bien le projet de ma vie. J’aimerais bien connaitre les « étapes » à franchir avant de partir (et ce surtout pour assurer la sécurité de mes enfants…et partir tranquille car maman « assure »!!!), la scolarité ne me fait pas peur dutout et j’ai parfaitement confiance, le travail non plus et finalement l’argent non plus, même si(peut être parce que..) je n’en ai pas! Auriez vous une idée, une adresse à me fournir afin de pouvoir concrétiser un peu tout cela? et surtout mettre de l’ordre dans les idées! juste un point de départ qui m’emmènerais sur le quai du départ? (sachant que je vis juste à côté de Paris). Par avance je vous remercie tous pour vos partages. Carine

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Bonjour, Bravo pour votre entreprise courageuse. On a croisé hier votre bateau à Isla Granda dans l’archipel de Rosario près de Cartagène des Indes. Les habitants du coin nous ont dit que vous étiez seul à bord. Votre famille est retournée en France ? Amicalement.

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Il faut dire que cet article m’a donné l’eau à la bouche bien que je sois un grand inconditionnel de voyages en famille ! Les voyages en familles sont toujours les meilleurs moments de la vie surtout à bord d’un voilier. Expérience véçue ! J’espère que les autres familles se laisseront tenter par l’expérience…

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Bonsoir, Nous sommes en train de préparer un TDM en famille et entre amis (chacun son voilier) pour dans 2 ans avec 1 enfant âgé aujourd’hui de 4 mois et un autre de 7 ans. Je cherchais des infos sur comment retirer un enfant du système scolaire français lorsque je suis tombée sur cet article super intéressant. ça donne encore plus l’eau à la bouche ;o)

Bonsoir, Pour votre enfant, il faut faire la demande a l’inspecteur de l’Académie pour le sortir du système scolaire classique. Vous avez aussi besoin de ce papier pour l’inscrire au CNED pour les cours par correspondance. Ce service situe a Toulouse est juste « top ».bonne prepa.

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Bonjour, Nous travaillons actuellement sur notre projet de TDM en voilier, date des premiers essais en méditerranée prévue début 2015. J’ai une question concernant le CNED, mon fils à aujourd’hui 5 ans et doit entrer en classe de CP l’an prochain, j’appréhende ce CP avec les apprentissages de la lecture et de l’écriture, indispensables bases pour toute la scolarité de l’enfant … Est il préférable de laisser l’enfant faire son CP « à terre », dans une vrai classe et de partir après, pour le CE1 par l’intermédiaire du CNED? Merci d’avance

Tout dépend de vous !!! Pour notre part, Morgan a fait son CP sur le bateau. Nous avions amené des livres pour l’apprentissage de la lecture par la méthode syllabique acheté dans une librairie. Et ce en plus des cours du CNED qui utilise la méthode semi global. C’était un choix personnel et l’apprentissage c’est fait très rapidement de plus ma femme a eu le plaisir et la fierté d’apprendre a lire a son fils…. Maintenant si vous avez des craintes par rapport a cet apprentissage, rapprochez vous des maitresse de votre ecole maternelle pour qu elles vous conseil au mieux. Bon vent David

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Bonjour, je suis enfant de tourdumondiste ayant largement grandi…voir vieilli !! Je suis partie agée de 8 ans 1/2 et revenue à 16 ans à peu près… Mon frère avait deux ans de plus.

Nous étions globalement l’archetype même de la famille en bateau en 1980. Sans réserve financières, le chien à bord, une bonne dose d’inconscience et hop. Cette periode là le permettait peut être. Je crois qu’aujourd’hui les familles partent avec quelque chose de bien mieux préparé: l’avant, le pendant et l’après.

Tout ne fut pas rose, ni facile. Les escales ont été parfois longues pour pouvoir renflouer les caisses, nous avons connues des situations parfois coquaces, parfois difficiles, parfois heureuse parfois non.

Cependant, je ne regrette rien et surtout je n’en veux pas à mes parents. Bien au contraire.

Bonjour Gaelle,

Voilà un chouette témoignage, merci:-)

Alors, ce grand voyage t’a donné envie de continuer par la suite et par toi-même?

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J’apprécie bien vos rapport de voyage en famille… j’espère bien le faire un jour.

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Le voyage bateau en couple c’est loin d’être tout rose!!! J’ai traversé le pacifique en bateau stop , et les couples qui ne se supportaient plus étaient beaucoup plus nombreux que les autres, c’est le seul Hic à cette traversée complément dingue, bourrée d’imprévus et de frayeur, à faire seul ou entre pote ( ou en couple mais sans enfants) ……. Selon moi

Au moins, c’est un bon test pour le couple 🙂

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bonjour Jerome, je me permets d’écrire sur ce site, espérant être au bon endroit, nous sommes une petite famille (deux filles de 6 et 8 ans), nous aimerions faire du bateau stop pour aller d’une part de st vincent en guyane, et plus tard de l’amerique du sud (équateur ou perou) vers l’amerique du nord. pensez vous cela possible, si oui pourriez vous nous dire comment faire

merci pour toutes réponses que vous donnerez, tres cordialement noelle

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génial votre façon de vivre moi j aimerais bien partir mes pas tout seule car je pense que ses plus dur ,j aimerais s avoir si vous prenez un passager de temps en temps faire un bout de voyage avec vous serais t il possible. merci a vous et bon courage .

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Bonjour à tous, Nous sommes une famille de 6 (couple trentenaire et nos 4 mousses) qui finissons les travaux de notre nouvelle maison sur l eau pour partir tres bientot pour la grande aventure (page gacebook: Cata Profité.) Nous correspondons en bcp de points à cette famille à une exception pres nous avons TOUT vendu pour etre libre de choisir (et 2 mousses en plus lol!). Aussi j aurai des questions plus prècises sur l assurance bateau, maladie, forfait internet, banque, CNED ou pas CNED? Pourriez vous me mettre en lien svp? Merci pour ce joli temoignage qui m a reconforté en cette période difficile de fin de travaux (L aventure commence dans toute cette periode d AVANT qui est loin d etre facile. Je pense que beaucoup de gens abandonne avant meme d etre parti). Merci d avance! Cata Profité

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Bonjour, moi je suis une personne libre ms pour de longue années, ma liberté m’a emmené sur la route de la delinquance, avec tjrs ce sentiment que piour etre libre, il fallait faire ce que l’on veut quand on le veut. Maintenant et ce depuis tt le temps l’envie de partir sur mon bateau avec ma femme et mon chien…me permet de tenir, de lire des recits comme la longue route, ou autre et recits de famille sont mon oxygene. Je sortirai et je naviguerai, car a ce jour ce sentiments de liberte ne peut pas ete plus grand que lorsque vous en etes privé. La tolerance et’ouverture d’esprit est bien plus grande dans ce monde que dans le mien, ici tt n’est que desolation et tristesse. Une chose est sure , ta liberté, est dans ta tete, ton corps ne fait. Que suivre meme entre 4 murs…de la taule a l’Atoll, tel sera ma vie.

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Bonjour tout le monde J’aimerai savoir si nous pouvions passer a port Said et traverser la mer rouge sans probleme en voilier? Mrc

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Merci pour ce billet de post très intéressant. La navigation à la voile est très motivante, car au delà du voyage, cela devient un vrai mode de vie. nous avons adopté ce type de vie, il y a 8 ans et malgré les contraintes, nous adorons. plus de liberté et d’écologie. Je pense qu’en cette période d’après covid, le besoin d’un voyage plus éthique, plus écolo et plus responsable va émerger. Merci de communiquer sur nos bateaux. C’était un petit clin d’oeil d’une nomade. Très sincèrement Maeva

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Bonjour, article super intéressant. Ça donne envie de faire la même chose !

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JO Paris 2024 : les belles images du Belem voguant avec la flamme olympique à son bord

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Le Belem a quitté la Grèce pour faire cap sur la France avec la flamme olympique à son bord.

voilier acier tour du monde

DIAPORAMA - Le vieux trois-mâts a quitté le port du Pirée samedi pour mettre cap sur la France où la flamme olympique doit débarquer sur le sol français.

Cap sur Marseille ! À trois mois de l'ouverture des Jeux de Paris 2024 , le Belem   a largué les amarres samedi matin dans le port grec du Pirée avec à son bord la flamme olympique , attendue triomphalement le 8 mai dans la cité phocéenne. Dimanche, le trois-mâts a traversé le canal de Corinthe, qui relie la péninsule du Péloponnèse au reste de la Grèce.

«Une grande émotion», a confié le président du comité d'organisation des JOP, Tony Estanguet , au moment où le magnifique trois-mâts larguait les amarres. La veille, il s’était vu remettre la flamme au Stade panathénaïque d’Athènes, des mains du président du comité olympique hellénique Spyros Capralos. «Maintenant, nous allons (la) ramener en France avec ce bateau, le Belem, qui date lui aussi de 1896» , année des premiers Jeux olympiques de l'ère moderne. «Quelle fantastique coïncidence !»

Bâti en 1896, le vaisseau a bien failli disparaître plusieurs fois. En 1978, d'importants travaux de restauration sont entrepris, notamment au niveau de la coque, grâce à une souscription nationale lancée à l'initiative de l'Association nationale pour le sauvetage et la conservation des anciens navires français (ASCANF), à laquelle s'étaient associées les Caisses d'Épargne et la Marine Nationale. Classé monument historique en 1984, le bâtiment avait finalement été offert à l'État par les Caisses d'Épargne. Puis l'État en lui-même fait don à la Fondation Belem.

À lire aussi JO Paris 2024: une quarantaine de bâtiments, toits tous utilisés, soucoupes volantes… Le Figaro a visité le Village olympique

150.000 personnes attendues à Marseille

Sous les yeux de quelques centaines de curieux, la coque d’acier s’est avancée sur les flots et a fait ses adieux au port du Pirée. Ayant gagné la mer, l’équipage a déployé plusieurs centaines de mètres carrés de voiles, Perroquets et Cacatois, Diablotins ou Marquises, comme autant d’ailes carrées et triangulaires d’un formidable oiseau marin. À navire d’exception, escorte d’exception. Après avoir quitté le port du Pirée, le Belem croisait aux côtés de la trière Olympias , une galère de combat antique propriété de la marine grecque. Derrière l’étrange attelage, 25 voiliers croisant dans leur sillage.

Le lendemain, le navire s’est engouffré dans le canal de Corinthe, promenant son vieux gréement entre les parois de plus de 50 mètres de hauteur de cet isthme artificiel qui relie le golfe de Corinthe et la mer Ionienne à la Mer Égée. Cette percée d'un peu plus de six kilomètres de long avait été creusée dans la roche au XIXe siècle avec la contribution de banques et d'ingénieurs français. Un moment rare pour les marins du Belem , mais aussi délicat du point de vue de la navigation. Dans ce passage étroit, mieux valait ne pas faire d’erreurs.

Chasseurs français et frégate italienne

Le Belem n’est pas seul dans son sillage. Il est escorté par le BSAM (bâtiment de soutien et d’assistance métropolitain) Seine de la Marine nationale et a croisé le chemin de deux chasseurs Rafale Marine* déployé sur le porte-avions Charles-de-Gaulle , actuellement en mission en Méditerranée dans le cadre de l’opération Akila. Le fameux trois-mâts a encore été salué par la frégate italienne Caio Duilio , qui paraissait bien imposante face au vieux gréement.

La flamme traversera tout l’Hexagone, visitant notamment les Antilles et la Polynésie française, jusqu'à Paris, où se déroulera la cérémonie d’ouverture des Jeux. Mais c’est à Marseille qu’elle touchera le sol français, amenée par le Belem. Quelque 150.000 personnes sont attendues pour accueillir le magnifique trois-mâts et son équipage dans la cité phocéenne le 8 mai prochain. Avant d'entrer dans le Vieux Port, le Belem paradera dans la rade accompagné de plus d'un millier de bateaux. Là encore, tout un symbole : Marseille, ou «Massalia» , ayant été fondée vers 600 avant Jésus-Christ... par les Grecs !

* Le Rafale est produit par le groupe Dassault, propriétaire du «Figaro».

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le 03/05/2024 à 23:15

De très belles images. Merci

Erwan@Nantes@ HK

le 03/05/2024 à 23:00

Le Belem a son port d'attache à... Nantes... comme quoi il reste encore quelque chose de bien à Nantes [sic]...

le 03/05/2024 à 22:59

Un superbe bateau. Un peu de beauté dans un monde de brutes.

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voilier acier tour du monde

Chiffres Clés

Palmarès srd, voyageurs du monde, l’agence des baroudeurs aisés a trouvé quoi faire de son trop plein d’argent : le retourner aux actionnaires.

Parallèlement à la publication de ses comptes 2023, le voyagiste haut de gamme, propriétaire de Terres d’Aventure, a annoncé qu’il allait racheter jusqu’à 130 millions d’euros de ses propres actions. Le montant de l’opération correspond à celui des fonds levés en 2021, en pleine pandémie de Covid-19. Le redressement « très rapide » de l’activité fait que le voyagiste n’a pas eu besoin de puiser dans ces réserves. Il lui restera suffisamment de trésorerie pour investir et poursuivre les acquisitions et son maillage du monde.

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Par Marjorie Encelot

Voyageurs du Monde aura attendu que son cours de Bourse atteigne de nouveaux records pour annoncer un offre publique de rachats d’actions (866.666 titres au maximum, au prix de 150 euros) qui, en ce moment, de surcroît, ont très mauvaise presse, l’Etat envisageant à nouveau de les taxer. Le timing peut interroger. Pourquoi maintenant ? Prendre de court une potentielle taxe ? Echec d’une acquisition d’envergure ? Après tout, l’agence de voyage haut de gamme avait déjà la trésorerie nécessaire, il y a un an, pour retourner aux actionnaires les 130 millions d’euros qu’elle avait levés en 2021, en plein Covid, pour s’assurer un coussin de sécurité pendant la crise, durant laquelle elle a perdu, deux années durant, au moins 70% de son chiffre d’affaires (par rapport à 2019).

Puis l’activité s’est redressée vite, « très vite, davantage que ce à quoi nous nous attendions même dans nos rêves les plus fous » , nous retrace Alain Capestan, cofondateur et directeur général délégué du voyagiste spécialisé dans le sur-mesure et l’aventure, propriétaire des marques Comptoir des Voyages, Terres d'Aventure, Allibert Trekking et Nomade Aventure. Il admet que l’augmentation de capital pendant la pandémie a été « surdimensionnée » . Si bien que la direction, qui subissait alors un « stress énorme » , se retrouve aujourd’hui avec trop d’argent, placé sur des sicav monétaires.

Les pertes en 2022 ont été plus faibles que prévu. La puissante envie d’évasion d’une France déconfinée a permis à Voyageurs du Monde de renouer avec les bénéfices dès le second semestre de cette année-là. Le chiffre d’affaires de l’exercice, à périmètre constant, n’était plus en baisse que de 12% par rapport au niveau d’avant-Covid. 2022 s’est achevée avec un niveau de trésorerie de 279,5 millions (232,3 millions en 2021, 171 millions en 2020). Même net de dette, elle s’élevait encore à 142,9 millions.

« Fort développement » des voyages à vélo

« Une OPRA prend du temps à se monter » , explique Alain Capestan. Il a fallu l’aval des actionnaires de référence (les fonds Certares et Nov Tourisme) et, pour des raisons techniques, il a fallu attendre l’arrêt des comptes 2023. Il y a des exigences de fonds propres à respecter avant de pouvoir procéder à une réduction de capital.

A l’issue de l’opération de rachats d’actions (dont le produit pourra être utilisé par les actionnaires pour financer des entreprises qui ont besoin d’argent), Voyageurs du Monde disposera toujours de près de 100 millions d’euros pour procéder à des acquisitions. En février, l’entreprise s’était renforcée dans la cyclotourisme en rachetant Ekilib, au Québec, qui réalise moins de 3 millions d’euros de chiffre d’affaires par an. En 2022, elle avait mis la main sur la société australienne Eurofun Group, positionnée sur les voyages à vélo (moins de 100 millions de chiffre d’affaires). « La nouvelle activité de voyages à vélo a connu un fort développement et représente 16% du chiffre d’affaires total du groupe et près de 38% du nombre de clients » , indique Voyageurs du Monde dans son communiqué de présentation des résultats 2023.

Lire aussi :

Voyageurs du Monde se renforce dans le cyclotourisme avec une petite acquisition au Canada

L’année fiscale s’est terminée sur un chiffre d’affaires record de 693,6 millions d’euros (+42,3%). Le bénéfice net, de 44,4 millions d’euros, a plus que doublé par rapport à l’an dernier pour atteindre, lui aussi, des niveaux inédits. Grâce à un positionnement qui cible les baroudeurs aisés, la marge brute (31,6%) reste parmi les plus élevées du secteur.

Marjorie Encelot

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Tour du monde en solitaire Louis Robein, héroïque, remonte sur l’Atlantique sud

Louis Robein avec le Cap Horn derrière lui.  Photo DR

Louis Robein avec le Cap Horn derrière lui.  Photo DR

Qu’est-ce qui fait avancer Louis Robein, le navigateur lyonnais engagé dans la « Global solo challenge » ? La passion, le goût de l’effort, la persévérance, un peu de tout. Parti le 30 septembre de la Corogne, Louis Robein a un peu plus de 6 000 miles (9 600 kilomètres) à parcourir pour rejoindre le point de départ. L’homme ne recherche pas la gloire en s’arrachant les mains sur les cordages. Après une incroyable traversée du Pacifique, effectuée avec le pilote automatique en rade, l’obligeant à tenir la barre en permanence, il a rejoint la pointe...

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L'info de l'histoire : le "Belem", du commerce transatlantique au transport de la flamme olympique

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La flamme olympique a été chargée sur le Belem , un navire devenu véritable monument d’histoire. Lancé en 1896, il devait servir au commerce du cacao. Coque en acier, associée à du bois : un trois-mâts sorti des chantiers navals de Nantes, qui est aujourd’hui encore son port d’attache. Le Belem , fin comme un oiseau de 58 m de long, a commencé par naviguer entre les Antilles, le Brésil et la France. 33 campagnes transatlantiques jusqu’en 1914.

Mais dès son premier voyage, alors qu’il transporte des mules, un coup de vent et une forte houle écrasent les bêtes les unes sur les autres. Puis un incendie achève les survivantes ! Mais la coque tient. Après réparation, il repart. Six ans plus tard, en 1902, nouveau miracle. Le navire fait escale à Saint-Pierre en Martinique, le port alors le plus actif de l’île. Pas de chance, il est plein. Le navire doit mouiller plus loin, au large. Nous sommes le 8 mai 1902. La Montagne Pelée gronde puis explose. Saint-Pierre est rasée. Tout est détruit par la nuée ardente, y compris les bateaux qui se trouvaient dans le port, perdus avec leur équipage et les habitants qui avaient espéré y trouver refuge. Mais le Belem est indemne. Il était resté suffisamment loin de la côte. Il reçoit des cendres et des poussières de chabons, dont des restes sont encore conservés à bord.

Malgré ce miracle, ce bateau à voile semble voué à la remise. N’est-il pas dépassé par la marine à moteur ? Un homme d’affaires le rachète. Le duc de Westminster, l’homme le plus riche d’Angleterre, dit-on. Il en fait un yacht. Puis c’est un riche irlandais, sir Guinness, qui le reprend en 1921. Et le garde jusqu’en 1949, sous le nom de Fantôme II . En 1951, après la mort de Guinness, le vaisseau est racheté par le vicomte Italien Vittorio Cini. Il le rebaptise Giorgio Cini . Le navire sert d’école de navigation pour des enfants désargentés. Il devient ensuite navire école des carabiniers… Finalement délaissé, de nouveau, son gréement complexe est remarqué en 1979 par un médecin français, le Dr Luc-Oliver Gosse. C’est lui qui réussit tout un montage pour le faire revenir en France.

Monument historique depuis 1984

Remorqué d’abord vers Brest. Le Belem est restauré, bientôt classé monument historique, en 1984, afin que l’on puisse financer son sauvetage. Et il devient la passion des amateurs de voile. On parle même de la "fièvre Belem"… Parmi les amateurs, un jeune homme qui y fait son service militaire et y revient comme matelot avant de gravir les échelons. Il s’appelle Jean Alain Morzadec et finit par devenir capitaine du trois-mâts, dont il garde les commandes jusqu’en 2016. Le bateau est un lieu de formation à la voile, une qui a ses fidèles de tous les âges. Il fait l’événement quand il entre dans un port. Après Morzadec, ce sont les commandant Gibet, Thirion et Combot qui ont la charge de ce voilier géant.

Aymeric Gibet a expliqué que la flamme sera veillée par ses porteurs à bord. L’équipage du Belem a l’expérience des belles responsabilités. Ce nouveau défi apporte une autre lumière à son histoire, celle des valeurs de l’olympisme, pas si éloignées de celles des gens de mer, dont ce vaisseau est devenu au fil du temps le reflet. Nul doute que tous rempliront historiquement leur mission.

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En cette journée mondiale du soleil, le SYMEG dévoile les résultats de ses panneaux solaires

Le 25 octobre dernier, le Sy.MEG, Syndicat Mixte d’Électricité de la Guadeloupe, inaugurait une installation d’ombrières photovoltaïques sur le parking de son siège, à Jarry. Cette mini-centrale solaire devait permettre d’atteindre pratiquement l'autonomie énergétique du bâtiment, tout en améliorant le confort thermique sur le parking. 

L’an dernier, les installations photovoltaïques connectées au réseau, essentiellement concentrées sur Baie-Mahault, Petit-Canal, Saint-François et le Moule, ont fourni près de 7% de la production électrique locale. Ce qui fait du photovoltaïque, la 3e source d'énergie renouvelable de la Guadeloupe;

Une énergie que le Sy.MEG capte donc grâce à ses panneaux solaires installés au-dessus des places de stationnement sur un peu moins de 100 m². Des installations et des panneaux qui permettent de produire de l’énergie solaire, tout en offrant de l'ombre aux véhicules.

Sur son écran d’ordinateur, dans son bureau, Malik Blirando, chef de projet Transition écologique du Sy.MEG suit les courbes de production et de consommation d’électricité.

Nous avons un logiciel de suivi qui nous montre, dans un premier temps, une courbe qui correspond à la consommation du bâtiment et une deuxième courbe qui correspond à la production d'énergie solaire à travers l'ombrière photovoltaïque. Malik Blirando, chef de projet Transition écologique du Sy.MEG

L'électricité produite permet de couvrir pratiquement la totalité de la consommation du bâtiment et de ses occupants et même d'alimenter une borne de recharge pour véhicules électriques mise gratuitement à la disposition du personnel et du public. Le tout pour un coût de revient très intéressant. 

Toute la consommation, celle de la borne et la consommation totale du bâtiment, est assurée par la centrale photovoltaïque et le réseau EDF quand il y a une baisse de production. C'est une ombrière en acier galvanisé qui a besoin de peu d'entretien, contrairement aux installations sur toiture. La maintenance est beaucoup plus simple dont en termes de coûts de maintenance, on est sur quelque chose de plus léger. Tous les projets de ce type que nous faisons sur nos locaux, ce sont des projets pilotes. Ils sont là pour donner l'exemple, pour montrer que nous pouvons. Et l'objectif serait, par la suite, de pouvoir les développer à toutes les collectivités du territoire. Malik Blirando, chef de projet Transition écologique du Sy.MEG

Après un peu plus de 6 mois d'utilisation, le bilan est déjà extrêmement positif. Le Sy.MEG prévoit notamment d'installer d'autres bornes gratuites dans les prochains mois. 

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