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Dernière mise à jour le : 4 juillet 2024 - Information toujours valide le : 17 août 2024

Dernière minute

Sécurité, entrée / séjour, santé, infos utiles, voyages d’affaires.

Ariane

Date de publication : 4 juillet 2024

Manifestations

(Publié le 04/07/2024)

Suite aux appels à manifestation lancés depuis le mardi 25 juin dans plusieurs villes du Kenya, les manifestations sont susceptibles de se poursuivre.

Il convient de suivre attentivement les consignes des forces de sécurité locales et de se tenir informé de l’évolution de la situation.

Les jours de manifestations, il est recommandé d’éviter le centre-ville de Nairobi (CBD), les abords des bâtiments officiels (Parlement et State House notamment) et de se tenir éloigné de tout regroupement.

Urgence Attentat – Vigilance renforcée pour les ressortissants français à l’étranger

(Publié le 26/03/2024)

Compte tenu du relèvement, sur l’ensemble du territoire national, de la posture du plan Vigipirate au niveau Urgence attentat, une vigilance renforcée est recommandée à l’ensemble de nos ressortissants résidant ou de passage dans les pays du Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Afrique de l’Est.

Risques encourus et recommandations associées

Il existe une menace terroriste significative, notamment à l’initiative du Shebab al Islami, sur l’ensemble du Kenya, en particulier dans les régions frontalières de la Somalie (comtés de Mandera, Garissa, Lamu) où les déplacements sont formellement déconseillés, en raison des attaques fréquentes.

A Nairobi et de façon générale dans les grandes villes (Kisumu, Mombasa…), il convient de faire preuve d’une vigilance accrue, lors des déplacements par la route ainsi que dans les lieux publics les plus fréquentés, notamment par les ressortissants étrangers (centres commerciaux, bars, hôtels) et d’éviter les manifestations. Il convient de privilégier les lieux de sortie qui bénéficient d’un dispositif de sécurité visible et dissuasif (vigiles).

Depuis 2019, le Shebab al Islami, qui a confirmé vouloir cibler les étrangers, a conduit deux opérations d’envergure contre les intérêts occidentaux au Kenya : dans la capitale Nairobi (attaque du complexe hôtelier Dusit D2 le 15 janvier 2019) et dans le comté de Lamu (attaque contre la base aérienne de Manda Bay le 5 janvier 2020). Dans ce contexte et particulièrement dans les lieux touristiques et hôtels où séjournent les étrangers, qui pourraient constituer une cible privilégiée pour des attaques terroristes, il est recommandé d’observer la plus grande vigilance et de privilégier les lieux de séjour sécurisés, notamment au niveau des accès.

Le pays est par ailleurs confronté à la menace de l’ « Etat islamique », qui est également présent dans son environnement régional immédiat, notamment au Mozambique (ISCAP).

En cas de présence à proximité directe du lieu d’un incident (explosion, attaque armée), il est recommandé de s’éloigner rapidement, de rassurer ses proches et de se signaler à l’ambassade.

Délinquance

La criminalité au Kenya demeure l’une des plus élevées d’Afrique : les vols à la tire (assortis de violence en cas de résistance), les agressions en voiture et les cambriolages sont fréquents. La vigilance est donc de mise, notamment dans les centres urbains (Nairobi, Kisumu, Mombasa) ainsi que sur l’ensemble de la côte et des régions touristiques. Les zones résidentielles n’échappent pas à ce phénomène.

Des opérations de police sont fréquentes dans les comtés de Turkana, West Pokot, Elgeyo Marakwet, Baringo, Laikipia et Samburu, afin de traquer certains groupes de bandits. Un couvre-feu est en vigueur de 18 heures à 6 heures. Il est recommandé de limiter les dans ces zones.

Il existe par ailleurs un risque non négligeable d’escroquerie et de racket.

En cas d’agression, il est conseillé de ne pas opposer de résistance à son agresseur et de donner les éventuels objets de valeur convoités.

Dans les villes, les recommandations de sécurité à observer sont les suivantes :

  • rester attentif aux pickpockets ;
  • éviter les quartiers isolés ou réputés dangereux (Eastleigh à Nairobi notamment) ;
  • proscrire le port de bijoux et le transport d’objets de valeur (les laisser si possible dans un coffre à l’hôtel) ;
  • ne pas transporter de grosses sommes d’argent (prévoir le strict minimum) ;
  • de façon générale et particulièrement à partir du coucher du soleil, éviter tout déplacement à pied en ville (privilégier la voiture et les taxis), notamment dans les parcs publics (Uhuru Park à Nairobi est dangereux) ;
  • en voiture, toujours circuler vitres fermées et portières verrouillées. En cas de léger accrochage, notamment par l’arrière, ou en cas de présence d’une « victime » qui aurait besoin d’assistance en bord de route, bien s’assurer qu’il ne s’agit pas d’un « piège ». De nombreux cas d’escroquerie ont été rapportés où des personnes qui ont voulu porter assistance ont ensuite été agressées ;
  • être particulièrement vigilant lors des déplacements en bus, notamment en bus intra-urbain (matatu),qu’il convient par ailleurs d’éviter autant que possible, compte tenu des risques liés à la sécurité routière. Plusieurs cas d’agression, voire de détournement, ont été signalés.

Conflits agro-pastoraux

La question foncière et l’accès à l’eau sont à l’origine de conflits récurrents entre agriculteurs et éleveurs dans plusieurs régions du Kenya (vallée du Rift). Ces conflits sont arbitrés par les autorités locales, tant étatiques que traditionnelles, mais peuvent engendrer des violences. Dans le cadre d’un voyage organisé, les voyageurs peuvent s’en remettre à leurs tour-opérateurs et à leurs chauffeurs kényans. Pour les voyageurs individuels, il leur est recommandé de s’informer avant tout déplacement.

Malgré l’absence d’attaques recensée depuis avril 2019, les bateaux de commerce et de plaisance continuent de faire l’objet de menaces importantes au large des côtes somaliennes. Par le passé, ce phénomène a pu s’étendre aux côtes kényanes. Sont particulièrement touchés le golfe d’Aden et une zone de l’océan Indien au large des côtes somaliennes. Les pirates utilisent des navires hauturiers (boutres, caboteurs) pour déployer au large des embarcations rapides et fortement armées (« skiffs »). Le risque est élevé pour les bateaux de plaisance, qui sont généralement plus lents et bas sur l’eau et constituent par conséquent des proies faciles. Il convient d’éviter impérativement la zone s’étendant jusqu’au méridien 72E et au parallèle 15S.

Il est nécessaire d’appliquer, dans cette zone, toutes les mesures de vigilance, et les consignes spécifiques décrites ci-après :

  • Il est impératif de répondre à toute interrogation sur VHF émanant d’un bâtiment ou d’un aéronef militaire et de suivre les éventuelles consignes de cinématique ; celles-ci tiennent compte des dernières attaques recensées ;
  • La navigation de plaisance (yachts, voiliers) est formellement déconseillée dans l’ensemble de la zone, les navires bas et lents sur l’eau étant les plus vulnérables à des actions d’abordage hostiles. À bord des grands voiliers, les mesures préventives (lance à incendie, dispositif sonore, entraves pour l’accès à bord, etc.) doivent être activées, en veillant à ne pas exposer le personnel à portée de tir des pirates ;
  • Concernant le trafic maritime commercial, les armateurs et commandants de navires doivent impérativement s’inscrire au Contrôle naval volontaire (CNV) en océan Indien (mica-watchkeeper chez defense.gouv.fr) / 0298224917), déclarer leurs mouvements auprès de l’opération Atalante de l’Union européenne en s’enregistrant auprès du MSCHoA (Maritime Security Centre Horn of Africa : +441923958545 / +441923958700 / postmaster chez mschoa.org ) et transiter par le corridor internationalement reconnu (IRTC). Dans la perspective d’une traversée dans la zone à risque, les marins sont invités à prendre connaissance des bonnes pratiques, appelées BMP 54 ( https://www.mschoa.org/ ) et à les respecter ;
  • Prendre systématiquement contact avec le commandant de la zone maritime, avant et pendant toute traversée dans une zone à risque :
  • Etat-major de l’amiral commandant la zone maritime de l’océan Indien (ALINDIEN) : +971 265 74 265 alindien.marsec chez defense.gouv.fr  ;
  • En cas de difficultés, l’alerte doit être donnée par tous les moyens de transmission disponibles. Outre l’appel sur la VHF 16 ou l’activation d’une balise de détresse, le navigateur doit chercher à contacter ses correspondants par téléphone cellulaire ou satellite et par courriel.

Pour plus d’informations, voir aussi la fiche thématique «  Piraterie maritime  ».

Risque routier

Chaque année, plus de 15.000 personnes perdent la vie en raison d’accidents de la route. Il est donc recommandé de faire preuve d’une extrême vigilance en matière de conduite au Kenya, et faire particulièrement attention aux bus ou minibus (« matatus ») dont le comportement sur la route est très dangereux.

Il est préférable d’éviter de prendre le bus et de privilégier le train ou l’avion pour les trajets longue distance ou le taxi pour les déplacements intra-urbains. Il est très fortement déconseillé de conduire de nuit en dehors des agglomérations et d’emprunter les taxi-motos ou « boda-boda », très vulnérables et dangereux.

Zones de vigilance

Zones formellement déconseillées (rouge).

Il est formellement déconseillé de séjourner à la frontière entre le Kenya et la Somalie, en raison des mouvements de troupes à la frontière, des menaces récurrentes et des incursions et attaques opérées par le mouvement Al Shabab sur le sol kényan. Le risque d’enlèvement est également important. La zone concernée s’étend jusqu’à 100 km à l’intérieur du pays. Elle inclut les localités de Mandera, Buite, El Wak, Dif, Liboi, Dadaab, Garissa (ainsi que la route menant de cette localité à Dadaab). Les axes routiers sont exposés aux risques d’attentats à l’explosif ou d’attaque par des bandes criminelles.

La partie continentale du comté de Lamu est également formellement déconseillée pour les mêmes raisons y compris l’archipel de Lamu.

Les déplacements à la frontière avec le Soudan du Sud et avec l’Éthiopie sont formellement déconseillés, en raison des risques d’incursions par des bandes armées de part et d’autre.

Zones déconseillées sauf raison impérative (orange)

Compte tenu de l’insécurité récurrente, il est déconseillé de se rendre au nord de la ligne Kitale/ Archers’ Post/ Garissa (comtés de Turkana, Marsabit et Wajir), sauf raison impérative et sous réserve d’être accompagné d’une escorte policière. Cette région est marquée par des tensions intercommunautaires qui, sur fond de sécheresse et de compétition pour l’accès à l’eau et aux pâturages, donnent régulièrement lieu à des conflits localisés mais violents.

Il est possible d’accéder aux réserves nationales de Shaba, Buffalo Springs et Samburu.

La banlieue nord-est de Nairobi (Eastleigh, Pangani) est déconseillée sauf raison impérative. Il est conseillé de faire preuve de la plus grande prudence en cas de déplacement à Kibeira ou Mathare. Il est également recommandé de faire preuve de vigilance renforcée dans le reste de la capitale en particulier dans les lieux publics fréquentés par les ressortissants étrangers (centres commerciaux, bars, hôtels …). Il convient de privilégier pour les sorties les lieux qui bénéficient d’un dispositif de sécurité effectif et dissuasif.

Compte tenu des attaques récurrentes à caractère terroriste, la partie nord de la région côtière de l’océan Indien jusqu’au nord de la ville de Malindi est déconseillée sauf raison impérative.

Zones en vigilance renforcée (jaune)

À l’exception des zones formellement déconseillées et déconseillées sauf raison impérative, le reste du territoire kényan est placé en vigilance renforcée.

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Recommandations générales

Il est recommandé :

  • de consulter les agences de voyage locales et les spécialistes du tourisme pour l’organisation d’un séjour, afin d’éviter les lieux mal sécurisés et les itinéraires déconseillés ;
  • dans les réserves et parcs naturels, de se conformer aux réglementations et recommandations des gardes. Il est notamment interdit de circuler à pied hors des aires prévues à cet effet et de se déplacer la nuit dans les parcs ;
  • sur la côte, où la population musulmane est majoritaire, d’adopter une tenue vestimentaire adaptée ;
  • la nuit, d’éviter la fréquentation des plages, sauf les plages privées et surveillées des hôtels ;
  • en cas d’agression, de n’opposer aucune résistance.

Mesures relatives à la Covid-19

Les restrictions sanitaires sont levées à compter du 9 mai 2023. Les voyageurs ne sont plus tenus de présenter un résultat de test PCR négatif ou un certificat de vaccination contre la COVID-19.

Les voyageurs présentant des symptômes devront néanmoins remplir le formulaire du ministère de la santé du Kenya de surveillance Covid-19 des voyageurs («  Covid-19 Travellers Health Surveillance Form  ») et devront effectuer un test antigénique à leurs frais, peu importe leur âge et leur statut vaccinal. Si ce test s’avère positif, ils devront effectuer un test PCR, toujours à leurs frais.

Les voyageurs à destination ou de retour du Kenya effectuant un transit devront se conformer aux exigences particulières en matière sanitaire du pays de transit ainsi qu’à celles des compagnies aériennes (dont certaines exigent un test PCR ou antigénique).

Formalités d’entrée

Depuis le 4 janvier 2024, l’entrée au Kenya est soumise à l’obtention d’une autorisation électronique de voyage (eTA), en lieu et place du visa.

Les voyageurs doivent désormais faire, au préalable, leur demande d’autorisation de voyage (eTA) sur le site suivant : https://www.etakenya.go.ke et présenter cette autorisation avant d’embarquer.

Certaines exemptions sont mentionnées au lien suivant : https://www.kcaa.or.ke/sites/default/files/publication/visa_free_regime_in_kenya.pdf

Les voyageurs qui disposent actuellement d’un e-visa valide peuvent continuer à se rendre au Kenya jusqu’à l’expiration de ce e-visa.

En cas de questions supplémentaires, il est possible de contacter l’ambassade du Kenya en France : https://kenyaembassyparis.fr

Pour les personnes souhaitant voyager dans la région, il est possible d’obtenir un visa unique Kénya, Ouganda et Rwanda (dit «  East Africa Tourist Visa  »), au prix de 100 dollars. Le visa de tourisme, d’une durée maximale de trois mois, peut éventuellement être prolongé de trois mois supplémentaires auprès du Service de l’Immigration. Le coût de cette formalité est de 2 200 ksh (environ 20 €).

Les personnes souhaitant s’installer (séjour de plus de six mois) ou travailler au Kenya doivent obtenir le permis de résident correspondant ( Work-Permit, Dependant Pass , etc.). Les autorités kényanes sont très strictes vis-à-vis des étrangers en situation irrégulière (travail bénévole ou rémunéré sans permis de travail, etc.). Les contrôles sont fréquents.

Pour de plus amples informations, contacter l’ambassade du Kenya à Paris en consultant son site internet (en anglais).

Un séjour à l’étranger implique pour tout voyageur de prendre certaines précautions de santé. La rubrique ci-dessous mentionne les indications essentielles. Elles ne dispensent toutefois pas le voyageur d’une consultation avant le départ chez son médecin traitant et/ou dans un centre hospitalier spécialisé dans la médecine des voyages (et ceci suffisamment longtemps avant le départ, pour permettre les rappels de vaccins).

Il est également nécessaire de contracter en France une assurance couvrant les frais médicaux et ceux de rapatriement sanitaire, y compris en cas de COVID-19.

Avant le départ

Frais d’hospitalisation et dépenses de santé.

Afin de faire face aux frais d’hospitalisation et aux dépenses de santé, très élevés pour des soins de qualité, il est vivement recommandé de disposer d’un contrat d’assistance ou d’une assurance permettant de couvrir tous les frais médicaux (dont la chirurgie et l’hospitalisation) et de rapatriement sanitaire, y compris en cas de COVID-19. En l’absence d’une telle couverture, le risque de ne pas avoir accès aux soins est élevé, y compris en cas d’urgence vitale. Ces frais ne pourront en aucun cas être pris en charge par l’ambassade de France sur place.

Recommandations pour sa santé

Les voyageurs sont invités à :

  • Consulter si besoin leur médecin traitant ou un centre de vaccinations internationales pour faire une évaluation de leur état de santé, et bénéficier de recommandations sanitaires notamment sur les vaccinations.
  • Consulter éventuellement leur dentiste avant le départ.
  • Constituer une pharmacie personnelle ; en cas d’achat de médicaments, s’adresser à une pharmacie établie et ne jamais consommer des médicaments achetés dans la rue (très haut risque de contrefaçons). Pour plus d’informations, consulter la fiche Infos Pratiques .

Vaccinations

  • La fièvre jaune est endémique au centre et à l’ouest du Kenya. La vaccination est fortement recommandée (à pratiquer en centres agréés). Elle est obligatoire en cas de séjour préalable dans certains pays d’Afrique ou d’Amérique du Sud.
  • Les voyageurs doivent s’assurer d’être à jour de leurs vaccinations habituelles mais aussi liées à toutes les zones géographiques visitées.
  • La mise à jour de la vaccination diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) est recommandée en ajoutant rubéole, oreillons et rougeole chez l’enfant. La vaccination antituberculeuse est également souhaitable.
  • En fonction des conditions locales de voyage, les vaccinations contre la fièvre typhoïde et les hépatites virales A et B peuvent être recommandées.
  • Il est préférable d’être vacciné contre la méningite bactérienne A + C + Y + W135.
  • La vaccination contre la rage peut également être proposée dans certains cas en fonction des conditions et lieux de séjour. Demander conseil à son médecin ou à un centre de vaccinations internationales.

Risques sanitaires

Maladies transmises par les moustiques.

Le paludisme (ou malaria), particulièrement présent autour du lac Victoria et sur la côte kényane, est une maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques infestés par le parasite du paludisme. Il existe deux formes de prévention complémentaires du paludisme : la protection contre les piqûres de moustiques et le traitement médicamenteux prophylactique. Les mesures classiques de protection contre les moustiques durant la soirée et la nuit sont fortement recommandées (voir infra. « Quelques règles simples »). Pour ce qui est du traitement médicamenteux propylactique, il convient de s’adresser avant le départ à son médecin traitant ou à un centre hospitalier spécialisé dans la médecine des voyages.

Durant votre séjour, et durant les deux mois qui suivent votre retour, en cas de fièvre, un avis médical doit être pris systématiquement et rapidement, pour mettre en œuvre dès que possible un traitement antipaludéen.

La transmission de la dengue s’effectue par l’intermédiaire de moustiques infectés. Les symptômes de la maladie s’apparentent à ceux de la grippe (forte fièvre, douleurs articulaires, maux de tête). Il n’existe actuellement pas de traitement médicamenteux préventif contre l’infection de la dengue, mais un vaccin est en cours de développement. La prise en charge est donc avant tout symptomatique et repose sur la prise de paracétamol et le repos. Il faut impérativement éviter la prise d’aspirine et d’anti-inflammatoire. La prévention individuelle repose donc essentiellement sur les moyens de protection contre les piqûres de moustiques (voir infra. « Mesures générales de prévention »).

Chikungunya

La transmission du Chikungunya s’effectue par l’intermédiaire de moustiques infectés. Cette maladie se caractérise par des symptômes grippaux (fièvre, douleurs musculaires et articulaires). Le traitement est alors symptomatique. Il n’existe actuellement pas de traitement préventif ni vaccin. La prévention individuelle repose sur la protection contre les piqûres de moustiques (cf. ci-après). Pour plus d’informations sur le chikungunya, consulter le site Santé publique France . En cas de fièvre, un avis médical doit être pris rapidement.

Il s’agit d’une maladie virale transmise par les piqûres de moustiques de type Aedes. Des cas de transmission du virus par voie sexuelle ont également été rapportés. Les symptômes de la maladie sont généralement modérés (fièvre, maux de tête, douleurs articulaires, éruptions cutanées). Toutefois, la survenue de complications graves telles que des cas de microcéphalies chez des nouveau-nés de femmes enceintes infectées par le virus et des complications neurologiques tels que des syndromes de Guillain Barré est attestée.

Il est conseillé aux femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse de consulter au préalable un médecin avant tout déplacement.

En cas en voyage, il est recommandé de respecter les mesures de prévention contre les piqûres de moustique et d’appliquer les mesures adaptées contre la transmission sexuelle au Zika (plus d’information sur la page du Haut Conseil de la Santé publique ).

Il est recommandé à tous les voyageurs de respecter les mesures de prévention des piqures de moustiques, de consulter un médecin en cas de fièvre survenant pendant le voyage ou dans les semaines qui suivent le retour en France et de consulter avant le départ les informations sur le site du ministère en charge de la Santé ( page dédiée au Zika et page dédiée aux recommandations pour les femmes enceintes ou en désir de grossesse ), le site de l’Institut Pasteur , et les recommandations pour la prévention des piqures de moustiques ci-dessous.

Fièvre jaune

La fièvre jaune est endémique au centre et à l’ouest du Kenya. La vaccination est fortement recommandée (à pratiquer en centres agréés). La vaccination contre la fièvre jaune n’est en principe exigée que pour les personnes en provenance d’un pays où cette fièvre est endémique(1), ou pour les personnes qui ont transité plus de 12 heures par un de ces pays. Afin d’éviter tout désagrément, il est très vivement recommandé d’être à jour pour la vaccination contre la fièvre jaune et d’être en possession d’un carnet de vaccination international.

(1) En Afrique : Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap-Vert, République centrafricaine, Congo, Congo (RDC), Côte d’Ivoire, Éthiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissao, Guinée équatoriale, Kénya, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Ouganda, Rwanda, Sao Tomé-et-Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Soudan, Tchad, Togo. En Amérique du Sud : Argentine, Bolivie, Brésil, Colombie, Équateur, Guyane, Guyana, Panama, Paraguay, Pérou, Surinam, Trinité-et-Tobago, Vénézuéla.

Mesures générales de prévention pour se protéger des moustiques

  • Porter des vêtements couvrants, amples, légers, de couleur claire ;
  • Utiliser des produits répulsifs cutanés : voir à ce sujet les recommandations du ministère des Solidarités et de la Santé (PDF - 78.3 ko) et de l’ Institut Pasteur (PDF - 1.21 Mo) ;
  • Protéger son logement (moustiquaires, diffuseurs électriques, serpentins, climatisation, etc.) ;
  • Détruire les sites potentiels de reproduction des moustiques (récipients d’eau stagnante comme les soucoupes sous les pots de fleurs, les gouttières, les pneus).

Autres maladies

Choléra.

Le Kenya connaît périodiquement des épisodes épidémiques de choléra. À Nairobi, des cas sont signalés régulièrement dans plusieurs quartiers, y compris dans des établissements hôteliers. L’épidémie de choléra déclarée le 8 octobre 2022 se poursuit. Elle s’est propagée dans 20 comtés et elle est encore active dans 9 comtés dont les plus touchés sont Nairobi, Garissa et Mandera.

Le choléra est une infection bactérienne potentiellement très grave. Elle se transmet par ingestion d’aliments mal cuits (fruits de mer, par exemple) ou souillés (fruits et légumes) et ingestion d’eau contaminée. Les personnes présentant des signes évocateurs (diarrhée liquide, vomissements, fièvre et faiblesse générale) doivent consulter un médecin en urgence. Il est recommandé de respecter les quelques règles simples dans cette rubrique.

Une épidémie de rougeole sévit depuis 2022 au Kenya, et a touché huit comtés en 2023 : Garissa, Nairobi, Turkana, Kitui, Lamu, Mombasa, Kwale et Tana River. La rougeole est une maladie hautement contagieuse due à un virus qui se transmet par la toux, les éternuements et les sécrétions nasales. La vaccination est essentielle ; il convient avant le départ de consulter son médecin ou un centre de vaccination internationale, notamment en cas de voyage avec des enfants ou pour les femmes enceintes. Plus d’informations :

  • sur la résurgence de la rougeole
  • sur la rougeole (ministère des Solidarités et de la Santé)
  • sur la vaccination contre la rougeole (Vaccination Info Service)

Fièvre de la vallée du Rift

Cette maladie du bétail peut être transmise à l’humain par contact direct avec le sang ou le lait de l’animal contaminé ou par une piqûre de moustique. Il est recommandé d’éviter tout contact avec des produits crus d’origine animale, de veiller à une cuisson suffisante des aliments (en particulier du lait) et de se protéger soigneusement des piqûres de moustiques, de jour comme de nuit. Il n’existe pas de vaccin contre cette maladie.

Infection par le virus VIH – IST

Concernant les infections sexuellement transmissibles, il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque. En cas de manquement à ces règles, il faut impérativement consulter dans les meilleurs délais un médecin qui peut prescrire une prévention post exposition, disponible au Kenya.

Quelques règles simples

  • Éviter les baignades dans les eaux stagnantes (risque d’infection parasitaire).
  • Éviter de marcher pieds nus sur le sable et les sols humides.
  • Se tenir à distance des cadavres d’animaux, des animaux et de leurs déjections.
  • Ne pas approcher les animaux errants et les chiens (risque de morsure et de rage) ; ne pas caresser les animaux rencontrés.
  • Veiller à sa sécurité routière (port de la ceinture de sécurité, port du casque sur les véhicules à deux roues), éviter de rouler de nuit hors des villes.
  • Ne jamais acheter de médicaments dans la rue.

Pour se préserver des contaminations digestives ou de contact

  • Se laver les mains régulièrement avec du savon ou des solutions de lavage hydro-alcooliques, surtout avant et après les repas et le passage aux toilettes.
  • Veiller à la qualité des aliments et surtout à leur bonne cuisson.
  • Éviter la consommation de produits alimentaires (poisson, viande, volaille, lait) crus ou peu cuits. Peler les fruits et légumes ou les laver soigneusement (à l’eau saine).
  • Éviter les crudités, coquillages, plats réchauffés et buffets froids.
  • Ne boire que des boissons encapsulées ou de l’eau rendue potable (filtration, ébullition ou à défaut produit désinfectant).
  • Éviter les glaçons et glaces, ainsi que la consommation de jus de fruits frais, de légumes crus et de fruits non pelés. Ne consommer le lait que pasteurisé ou bouilli.
  • Éviter les contacts avec des personnes malades.
  • Respecter les règles d’hygiène de base et nettoyer cuisine, salle de bain et WC.
  • Institut Pasteur
  • Santé publique France
  • Organisation mondiale de la santé

Infrastructure routière

La circulation peut s’avérer dangereuse, notamment de nuit, en raison de la vétusté du parc automobile, de l’imprudence de certains conducteurs et des risques d’attaque à main armée. Les routes secondaires sont souvent mal entretenues. Il est préférable de se renseigner sur la présence de stations essence sur les axes secondaires dès que l’on s’éloigne de Nairobi.

Transports collectifs

Les voyages en bus ou en "matatus" (minibus) ne sont pas sans risques : les conducteurs, cherchant avant tout à rentabiliser au maximum les trajets, ont tendance à négliger la sécurité. Il est recommandé aux voyageurs qui seraient amenés à voyager en bus de préférer les compagnies les plus onéreuses, gage de plus grande fiabilité.

Réseau ferroviaire

Deux lignes de chemin de fer desservent Mombasa et Kisumu au départ de Nairobi. Le trafic vers Kisumu est suspendu. La desserte de Mombasa est assurée notamment par le SGR.

Transport aérien

L’avion reste le moyen de transport le plus sûr pour les déplacements à l’intérieur du pays.

Législation locale

Risques encourus pour délit sexuel.

Conformément à l’article 113-6 du code pénal, la loi pénale française est applicable à tout crime commis par un Français hors du territoire de la République. Les ressortissants français coupables d’une infraction sexuelle commise au Kenya peuvent aussi être poursuivis en France en application de la loi 98-468 du 17 juin 1998 pour des faits constitutifs de délits à caractère sexuel y compris si ceux-ci ne sont pas réprimés par la législation locale (articles 227-22 et suivants du code pénal). La législation kényane prévoit de lourdes sanctions à l’encontre des auteurs de viols, d’attentats à la pudeur, d’actes de débauche et de dépravation. Les peines sont aggravées si la victime est mineure. Les auteurs d’actes de pédophilie sont condamnés à une peine d’emprisonnement minimale de dix ans.

Homosexualité

L’homosexualité est un délit puni par le Code pénal kényan (jusqu’à 14 ans de prison).

Stupéfiants

La possession de stupéfiants est très sévèrement punie (plusieurs années de prison et de lourdes amendes).

Armes à feu

Une autorisation de port d’armes doit être obtenue avant l’entrée sur le territoire kényan. Pour plus de renseignements, contacter l’ambassade du Kenya à Paris. Le port d’armes est formellement interdit dans les réserves et les parcs nationaux.

Il est interdit de fumer dans les lieux publics. Sont concernés les bureaux d’entreprises et administrations, cafés et restaurants (sauf s’ils possèdent une zone fumeurs), lieux de culte, parcs, marchés et moyens de transports publics ou privés. Plusieurs municipalités dont Nairobi, Mombasa et Nakuru ont mis en place une interdiction générale de fumer dans la rue, à l’exception des endroits spécifiquement désignés à cet effet. Les amendes encourues peuvent atteindre 50 000 shillings à Nairobi (environ 500 €).

Photographie

La prise de vues photographiques fait l’objet de restrictions. Il est interdit, sur l’ensemble du territoire, de photographier les bâtiments officiels kényans, ainsi que les ambassades et consulats étrangers et les emprises des Nations Unies. Le centre-ville de Nairobi fait l’objet d’une interdiction générale de prise de vues.

La détention et le commerce d’ivoire sont strictement interdits au Kenya. Détenir de l’ivoire, y compris avec des certificats d’origine, est susceptible de 10 000 euros d’amende ou 5 ans de prison. Lors de son voyage au Kenya, même en transit à l’aéroport, il est possible d’être arrêté avec des objets en ivoire.

L’utilisation des drones est strictement réglementée au Kenya et interdite dans les parcs nationaux. L’appareil peut être retenu à l’aéroport si la personne n’a pas les autorisations nécessaires. Pour plus de renseignements, contacter l’ambassade du Kenya à Paris.

Moyens de paiement

Il est possible d’utiliser des cartes de crédit internationales dans les grandes villes et les lieux touristiques. Toutefois, notamment sur la côte, certains services (hôtels, centres de plongée ou de loisirs…) appliquent une majoration d’environ 4% pour l’utilisation de la carte de crédit et la connexion internet peut être déficiente. On trouve des distributeurs de billets (Visa, Mastercard) à Nairobi et Mombasa. Pour les opérations de change, il convient d’être attentif au taux proposé. Les dollars américains sont mieux acceptés que les euros pour un paiement en espèces. En cas d’utilisation d’une carte SIM de téléphone portable Safaricom, il est possible d’utiliser le système de paiement M-Pesa qui permet de payer en utilisant son téléphone. Ce système est largement utilisé au Kenya et permet de payer tous types de transaction (des petits achats aux grosses factures). Les voyageurs qui souhaitent utiliser ce système trouveront l’ensemble des informations nécessaires au sein des magasins Safaricom.

Visas d’affaires

Il n’existe pas à proprement parler de « visa d’affaires », l’immigration kényane n’applique pas de distinction pour les courts séjours (visa de moins de 3 mois).

L’exercice de toute activité, même un travail de contrôle ou de consultance, requiert la détention, en plus du visa d’entrée, d’un « special pass”, équivalent d’un permis de travail temporaire. Ce « special pass” est tout particulièrement indiqué pour les travaux de courte durée. Il s’obtient auprès des services centraux de l’Immigration (« Directorate of Immigration Services »), au 20e étage du Nyayo House situé sur la Kenyatta Avenue à Nairobi. La demande peut être faite en ligne avant le départ mais le dossier papier devra être imprimé et remis aux services de l’immigration avec copie de toutes les pièces justificatives (traduites en anglais, certifiées par un établissement habilité).

Les pièces à fournir sont, entre autres :

  • Formulaire 32
  • Passeport original et copie de la première page et de la page où figure le visa d’entrée
  • 2 photos couleur récentes de type passeport
  • Lettre d’introduction en anglais de l’employeur adressée au Directeur des services de l’Immigration
  • Le cas échéant, autorisation de l’ordre qui régit le secteur d’activité (médecins, dentistes, pharmaciens, ingénieurs, Ministère de l’Information, conseils des ONG, …)
  • Copie du « casier judiciaire » traduit en anglais

Le coût du special pass est de 15 000 ksh par mois ou partie de mois.

Réseaux de communication

La connexion à haut débit est très largement disponible au Kenya en 4G/H+ (Nairobi) ou en H+ (principales villes). La connexion 3G est, pour sa part, accessible dans une large part du pays, à l’exception des régions isolées. L’accès en itinérance bénéficie de la même couverture mais son utilisation demeure très onéreuse. Dans les villes, la plupart des lieux publics (hôtels, restaurants, aéroports) disposent de bornes wifi accessibles.

Données économiques

Consulter la fiche repères économiques Kenya .

Contacts utiles

Service économique.

Les Services économiques auprès des ambassades sont des services extérieurs de la Direction générale du Trésor. Ils ont pour missions l’analyse et la veille économique et financière, sur une base macroéconomique, l’animation des relations économiques, financières et commerciales bilatérales avec les pays de leur compétence, le soutien public au développement international des entreprises.

Service économique de Nairobi Peponi Gardes, off Peponi Road - Kenya Tél. : :+254 207 605 555 Courriel : nairobi chez dgtresor.gouv.fr Site internet

Business France

Business France est l’agence nationale au service de l’internationalisation de l’économie française. En Afrique de l’Est, Business France couvre 5 marchés : le Kenya, la Tanzanie, l’Ouganda, le Rwanda et l’Éthiopie. Le bureau régional est basé à Nairobi.

Missions :

  • Accompagner les entreprises françaises dans leurs projets de développement export ;
  • Accompagner des investisseurs étrangers dans leurs projets d’implantation sur le territoire français ;
  • Valoriser et promouvoir l’attractivité et l’image économique de la France, de ses entreprises et de ses territoires.

Les experts sectoriels du bureau de Business France de Nairobi informent, conseillent et accompagnent les entreprises françaises désireuses de développer des courants d’affaires en Afrique de l’Est. Pour ce faire, ils proposent des services adaptés aux différentes étapes d’un développement export :

  • Études de marché
  • Informations sur les conditions d’accès au marché
  • Identification de prospects et de partenaires d’affaires (importateurs, distributeurs, clients…)
  • Organisation de programmes de rendez-vous BtoB
  • Organisation d’évènements export (rencontres acheteurs, pavillon France sur salon…)
  • Expertise juridique et règlementaire
  • Veilles d’appels d’offres internationaux
  • Prestations de communication
  • Promotion du Volontariat International en Entreprise (V.I.E)

Coordonnées : Bureau Business France en Afrique de l’Est Ambassade de France au Kenya Peponi Gardens - Westlands P.O. Box 30374 - 00100 Nairobi, Kenya Tél : +254 20 760 55 81/82/83/84/85/86 Courriel : nairobi chez businessfrance.fr Site internet

Contact : M. Ludovic Prévost Directeur pour l’Afrique de l’Est Tél. : +254 20 760 5581 Courriel : ludovic.prevost chez businessfrance.fr

Les conseillers du commerce extérieur de la France (CCEF) forment un réseau actif de plus de 4 000 membres dans 146 pays, au service de la présence française dans le monde. Ils mettent leur expérience pour conseiller les pouvoirs publics, parrainer les entreprises, former les jeunes aux métiers de l’international et promouvoir l’attractivité de la France pour les investissements internationaux. Président de section : Bruno Baroux (société Thales), +254 796 770 787.

Site internet : Comité national des conseillers du commerce extérieur de la France

L’Agence française de développement (AFD) est l’agence qui met en œuvre la politique du développement définie par le gouvernement français.

Agence régionale de Nairobi BP 45955 - 00100 Nairobi, Kenya Tél. : +254 20 271 84 52 Fax : +254 20 259 29 08 Courriel : afdnairobi chez afd.fr

Le Kenya est membre de la Banque africaine de développement (BAD), dont le site internet est consultable à l’adresse : https://www.afdb.org/fr . La page du Kenya est consultable à l’adresse : https://www.afdb.org/fr/countries/east-africa/kenya .

  • Le Kenya et le FMI
  • Bureau du représentant résident du FMI au Kenya

Belgium

Voyager au Kenya : Conseils aux voyageurs

Dernière mise à jour.

  • Toujours valable le
  • Dernière mise à jour le 3 juillet 2024

Manifestations

Des manifestations ont lieu à Nairobi et dans plusieurs autres villes du Kenya. Une vigilance accrue est de mise et nous conseillons aux voyageurs de se tenir informés en temps réel sur la situation. Évitez les attroupements et manifestations, car ils peuvent entrainer des incidents violents.

Le 12 décembre 2023, le président du Kenya a annoncé que les visiteurs n'auront plus besoin de visa à partir de janvier 2024.

Les personnes qui se rendent au Kenya doivent désormais demander une autorisation de voyage électronique en ligne avant de voyager. Certaines exceptions s'appliquent, qui sont reprises sur le site web de l'Autorité de l'aviation civile du Kenya . Nous vous recommandons d'avoir une version imprimée de votre autorisation de voyage électronique avec vous pendant votre voyage. 

Les voyageurs actuellement titulaires d’un visa valide peuvent continuer à voyager avec leur visa jusqu’à sa date d’expiration.

Plus d’information sous ‘ Documents de voyage ’.

Les autorités kenyanes déterminent les règles d'entrée et veillent à leur application . Si vous ne savez pas comment ces exigences s'appliquent à vous, veuillez contacter l'ambassade du Kenya en Belgique . Le site web du Ministère de l'Immigration du Kenya fournit également plus d'informations.

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Idées voyages au Kenya

Voyages itinérants Kenya - Mont Kenya - Vallée du Rift - Masai Mara

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Mont kenya, vallée du rift, masai mara - l'essence du safari kenyan.

Au coeur du Kenya, vivre un safari ininterrompu et faire des rencontres animales inoubliables

9 jours, de 5800 à 7700 €

Voyages itinérants Kenya - Lac Elementaita - Masai Mara - Seychelles - Praslin

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Du kenya sauvage aux seychelles paradisiaques - idylle en deux temps.

Célébrer votre love story à travers deux pays, des grands parcs kenyans aux plages des Seychelles

13 jours, de 6400 à 8900 €

Voyages itinérants Kenya - Lac Nakuru - Mont Kenya - Lewa Downs

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Naviguer, marcher, pister - le kenya actif en famille.

Aller à la rencontre de la faune et des paysages extraordinaires du lac Nakuru, du mont Kenya et du Laikipia

9 jours, de 6500 à 8500 €

Voyages itinérants Kenya - Samburu - Masai Mara - Nairobi

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Nairobi, samburu et masai mara - lodges élégants et avions-taxis.

Survoler les régions les plus spectaculaires du Kenya, dormir dans des lodges raffinés, pister la grande faune

8 jours, de 6600 à 8900 €

Voyages itinérants Kenya - Nairobi - Masai Mara - Lamu

Voyages itinérants Kenya - Nairobi - Masai Mara - Lamu

Nairobi, masai mara et lamu - trois kenya distincts et distingués.

De la ville à la plage, via la savane, un Kenya en trois temps et trois adresses de haute volée

11 jours, de 8600 à 10700 €

Voyages itinérants Kenya - Laikipia - Masai Mara - Rwanda - Parc des Volcans

Voyages itinérants Kenya - Laikipia - Masai Mara - Rwanda - Parc des [...]

Laikipia, masai mara, volcans - savanes du kenya et forêts du rwanda.

Conjuguer deux grands domaines de savane kényans et les fameux gorilles du parc rwandais des Volcans

10 jours, de 11100 à 14800 €

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  • Vietnam 01 84 17 19 46
  • Autres Pays 01 42 86 16 00

Bonjour, Appelez-nous et prenez rendez-vous ! Du lundi au samedi de 10h à 18h dans nos Cités des Voyageurs. Ou encore sur rendez-vous par téléphone ou par visio du lundi au samedi de 9h à 19h. Et que le voyage commence !

  • Bordeaux 05 57 14 01 48 35 rue Thiac 33000 Bordeaux
  • Bruxelles +32 2 543 95 50 Chaussée de Charleroi 23 1060 Bruxelles
  • Genève +41 22 518 04 94 Rue de la Rôtisserie 19 1204 Genève
  • Grenoble 04 76 85 95 90 16, boulevard Gambetta 38000 Grenoble
  • Lausanne +41 21 519 10 65 Rue de bourg, 6 1003 Lausanne
  • Lille 03 20 06 76 25 147 bld de la Liberté 59000 Lille
  • Lyon 04 72 56 94 56 5, Quai Jules Courmont 69002 Lyon
  • Marseille 04 96 17 89 17 25, rue Fort-Notre-Dame 13001 Marseille
  • Montpellier 04 67 67 96 30 8, rue du Palais Des Guilhem 34000 Montpellier
  • Montréal +1 514-722-0909 295 rue de la Commune Ouest H2Y 2E1 Montréal
  • Nantes 02 40 20 64 30 13 rue du Moulin 44000 Nantes
  • Nice 04 97 03 64 64 4, rue du Maréchal Joffre 06000 Nice
  • Paris 01 42 86 16 00 55, rue Sainte-Anne 75002 Paris
  • Québec +1 418-651-9191 540 rue Champlain G1K 4J3 Québec
  • Rennes 02 99 79 16 16 31 rue de la Parcheminerie 35102 Rennes
  • Rouen 02 32 10 82 50 17-19 rue de la Vicomté 76000 Rouen
  • Strasbourg 03 88 15 29 48 16 rue Sainte Barbe 67000 Strasbourg
  • Toulouse 05 34 31 72 72 26, rue des Marchands 31000 Toulouse

voyager au kenya visa

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Kenya Embassy Washington D.C.

Filter results:

The Official Kenya e-Visa Application Portal

March 23, 2021 by Embassy of the Republic of Kenya D.C. in News and Events

voyager au kenya visa

  • The Government of Kenya implemented 100% e-visa  beginning  1st January,2021  an implication that, Foreign Nationals seeking to visit Kenya are expected to  apply online  and  be issued with an e-visa prior to their travel .
  • It is noted that many Foreign Nationals intending to apply for the Kenya e-visa have been visiting fake e-visa websites and as a result, losing money to scammers.
  • The Government of Kenya would like to inform all Foreign Nationals that the  official e-Visa website  is  www.evisa.go.ke  and the  official email address  for the Directorate of Immigration Services is  [email protected]
  • For telephone enquiries, the Directorate of Immigration Services can be contacted on the following numbers as follows:                          

                                Monday to Friday- 8.00am- 5.00pm                                       +254110922063                                       +254110922064

                                Weekends and after 5.00pm                                      +254112620512                                      +254112620693

                               For payments queries                                     +254 110 922 062

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voyager au kenya visa

Latest update

Exercise a high degree of caution in Kenya overall due to the threat of terrorism and violent crime. Higher levels apply in some areas.

Kenya map Oct 2023

Kenya (PDF 885.66 KB)

Africa (PDF 1.76 MB)

Local emergency contacts

Fire and rescue services, medical emergencies.

Call 999 or go to the nearest hospital.

Call 999 or visit the nearest police station.

Advice levels

Exercise a high degree of caution in Kenya overall.

Exercise a high degree of caution in Kenya overall due to the threat of terrorism and violent crime.

See Safety .

Do not travel to border regions with Somalia.

Do not travel to border regions with Somalia due to the high risk of terrorist attack and kidnapping,  including all of Mandera and Garissa counties and the part of Wajir county extending from the town of Wajir eastwards to the border with Somalia.

Reconsider your need to travel to border regions with South Sudan and Ethiopia (except Mandera County where we continue to advise Do Not Travel), Lamu County and  areas within Tana River and Kilifi Counties.

Reconsider your need to travel to South Sudan and Ethiopia (except Mandera County where we continue to advise Do Not Travel), Lamu County and areas within Tana River and Kilifi Counties, extending 50km inland in Tana River County, and 50km inland in Kilifi County north of the Galana-Sabaki River, due to the high risk of terrorist attack and kidnapping.

  • Anti-government demonstrations and protests are continuing across Kenya, including Nairobi. Security forces have been deployed across the country. The use of rubber bullets, tear gas, water cannons and, at times, live ammunition has resulted in fatalities and injuries. Road closures and traffic disruption is expected. Access to Jomo Kenyatta International Airport may be affected. Avoid protests and political gatherings. There are reports of opportunistic crime including looting, robberies and assaults. Limit your movements and follow the advice of local authorities. 
  • Terrorist attacks are possible and could happen at any time, including in locations popular with foreigners and tourists. Be alert in public places. Avoid areas prone to attack. Religious and festive holidays have historically seen an upsurge in terrorist activities and heightened threat warnings. Remain vigilant if visiting public areas.
  • The borders with Somalia, Ethiopia and South Sudan are high-risk areas. Armed groups from Somalia kidnap and target foreigners in Kenya, particularly along the Somalia border region. If despite our advice you plan to travel to these areas, get professional security advice.
  • Violent crime occurs, including carjackings, kidnapping and home invasions. Don't walk around after dark. If you live in Kenya, invest in strong personal security measures.
  • Scams are common. Criminals often use fake police, hotel or government identification to extort money from travellers. Be wary of anyone asking for money or information, even if they seem official. 
  • Kenya can experience natural disasters and severe weather. Know the warning signs and safety measures for earthquakes, floods and tsunamis.

Full travel advice: Safety

  • Malaria is widespread, except in Nairobi and places higher than 2500 metres above sea level. Consider taking anti-malarial medication. Other insect-borne diseases including dengue, Rift Valley fever, filariasis and African sleeping sickness are common. Ensure your accommodation is insect-proof. Use insect repellent.
  • Yellow Fever is widespread. Get vaccinated before you travel and bring your vaccination certificate with you.
  • HIV/AIDS infection rates are high. Take precautions if you're taking part in high-risk activities.
  • You may be exposed to foodborne, waterborne and other infectious diseases, including hepatitis, meningococcal disease, measles, cholera and mpox. Drink only boiled or bottled water. Avoid raw or undercooked food. Avoid physical contact with anyone who has mpox.

Full travel advice: Health

  • It's illegal to work or volunteer without a valid work permit. To work in the charity sector, get a valid work permit through the Directorate of Immigration Services .
  • Know and follow local laws. It's illegal to have same-sex relationships.
  • It's illegal to take photos of official buildings, get advice before taking photos. It's also illegal to destroy the local currency, smoke outside designated areas, possess ivory, and use single-use plastic bags . 
  • Kenya recognises dual nationality but hasn't fully enacted laws around it. If you're a dual national, always travel on your Australian passport.
  • Foreign journalists seeking to work in Kenya must apply for accreditation through the Media Council of Kenya portal .

Full travel advice: Local laws

  • Expect significant disruption to traffic and public transport due to the ongoing protests. Access to Jomo Kenyatta International Airport may be affected. 
  • You now need to apply online for an electronic travel authorisation prior to travel. Entry and exit conditions can change at short notice. You should contact the nearest high commission/embassy or consulate of Kenya for the latest details.
  • If you have a valid visa, you can continue to travel using this visa until its expiry.
  • If you enter Kenya with flu-like symptoms, you may need to take a COVID-19 test at your own expense. If your test is positive, you may need to isolate. For more information on COVID-19 travel requirements, see the  Kenyan Civil Aviation Authority  website.
  • If you're a foreign resident, always carry your alien identity card. You could be fined or detained if you don't. Carry your yellow fever vaccination certificate. You may need to show it to enter and leave the country.

Full travel advice: Travel

Local contacts

  • The Consular Services Charter details what the Australian Government can and can't do to help you overseas.
  • For consular assistance, contact the Australian High Commission in Nairobi . Due to the ongoing protests, the Australian High Commission in Nairobi may close at short notice. In an emergency, Australian citizens can contact the 24-hour Consular Emergency Centre on +61 2 6261 3305.
  • To stay up to date with local information, follow the High Commission’s social media accounts.

Full travel advice: Local contacts

Full advice

Civil unrest and political tension.

Anti-government demonstrations are occurring across multiple cities in Kenya, including Nairobi. Security forces have been deployed across the country. The use of rubber bullets, tear gas, water cannons and, at times, live ammunition has resulted in fatalities and injuries. Expect road closures and traffic disruption, including to Jomo Kenyatta International Airport. There are reports of opportunistic crime on the margins of the protests, including looting, robberies and assaults. Avoid political gatherings and large crowds. Monitor local media and follow the advice of local authorities.

During periods of unrest:

  • be cautious throughout Kenya
  • avoid large gatherings, protests and demonstrations
  • expect heavy security measures
  • limit your movements
  • monitor the media for reports about unrest
  • avoid affected areas, including areas around government buildings
  • be aware authorities may order curfews in response to civil unrest at short notice
  • follow instructions from local authorities.

Large demonstrations can happen in Kenya during and after international events, unpopular government policy decisions or political changes. Public protests and events that draw large groups of people can turn violent.

Demonstrations resulting in violence and arrests have occurred because of:

  • high food prices
  • alleged corruption
  • controversial media and tax law changes

Violent outbreaks are more common away from tourist areas. However, riots and clashes have happened in:

  • other urban centres

More information:

Demonstrations and civil unrest

There's an ongoing high threat of terrorist attacks in Kenya.

Terrorist group al-Shabaab continues to threaten attacks. Further attacks are possible and could happen at any time, including in areas popular with foreigners and tourists. Kenyan authorities remain on high alert.

Terrorist acts could include: 

  • suicide bombings and shootings
  • kidnappings
  • roadside bomb attacks and improvised explosive devices
  • attacks on civil aviation

Possible attack targets

An attack could happen anywhere in Kenya. An attack is possible at any time.

Areas prone to terrorist attack include:

  • Coastal areas, including all of Lamu County, and areas of Tana River and Kilifi Counties, extending 65km inland in Tana River county and 50km inland in Kilifi county north of the Galana-Sabaki River
  • Kenya's border regions with Somalia, Ethiopia and South Sudan, including all of Mandera and Garissa counties and the part of Wajir county extending from the town of Wajir eastwards to the border with Somalia

Terrorists may target:

  • foreign embassies, UN premises and international schools
  • hotels, tourist resorts, beaches and safari lodges
  • shopping areas, markets, bars, nightclubs, restaurants and cafes
  • places of worship
  • offices of non-government organisations (NGOs) and government buildings , including educational institutions

Terrorists may also target transport and transport infrastructure such as:

  • airports and commercial airlines
  • transport hubs and infrastructure
  • sea vessels in or near Kenyan ports

Foreign aid workers may be targeted at refugee camps near the Kenya-Somalia border.

Terrorist attacks have occurred in Kenya in the past few years,  including in Lamu, Mandera and Garissa counties.

Due to security concerns, Australian High Commission staff in Nairobi are on high alert.

Consider likely terrorist targets and the level of security provided. 

Always be alert to possible threats, especially in public places.

Report any suspicious items or activities to police.

To reduce your risks:

  • take official warnings seriously
  • monitor the media for threats
  • follow the instructions of local authorities.

If there's a terrorist attack:

  • leave the affected area immediately if it's safe to do so
  • avoid the area afterwards in case of more attacks

Don't gather in groups after an attack. This also applies if you're evacuated from a building for security reasons, such as a bomb threat.

Terrorism is a threat worldwide.

Kidnapping occurs across the world with political, ideological and criminal motives. Foreigners, including Australians, have been kidnapped while travelling overseas. Kidnapping can happen anywhere, anytime, including in destinations that are usually at lower risk.

Several active terrorist groups have the intent and capability to kidnap foreigners.  Armed groups from Somalia have kidnapped aid workers in the Somalia border region. Foreigners and residents in coastal resorts and towns in the North Eastern region (Mandera, Wajir and Garissa counties), as well as Lamu county, have been the target of kidnapping.

Kidnapping is a high threat in these regions for:

  • humanitarian workers
  • journalists

If, despite our advice, you travel to an area with a high risk of kidnapping, our ability to provide consular assistance in these destinations will be limited. To reduce the risk of kidnapping:

  • always be alert to your personal security and surroundings
  • get professional security advice for travel in locations with a heightened kidnap risk
  • check your accommodation has appropriate security measures
  • avoid isolated locations, particularly when travelling alone
  • vary your movements and don't set patterns
  • notify family or friends of planned travel and share your location
  • avoid talking about your money or business affairs
  • only use ATMs in public places and during daylight hours
  • avoid giving personal details to strangers online or over the phone

The Australian Government's longstanding policy is that it doesn’t make payments or concessions to kidnappers.

Ransom payments to kidnappers have funded further terrorist attacks and criminal activity. Paying a ransom to terrorist groups will likely break Australian counter-terrorism financing laws.

Crime is high in Kenya and  increases during holiday periods.

Incidents of  armed robbery , carjacking, kidnapping and muggings are possible in:

  • Nairobi and other urban centres (e.g. Mombasa)
  • some coastal regions, including all of Lamu County, and areas of Tana River and Kilifi Counties
  • North Eastern region  (Mandera, Wajir and Garissa counties)
  • Some parts of North Rift and Central Rift regions (Turkana, West Pokot, Elgeyo Marakwet, Baringo, Laikipia and Samburu counties)

Petty crime

Thieves snatch jewellery and bags from open vehicle windows, most often while cars are stopped at traffic lights or in heavy traffic.

Groups of bag-snatchers and carjackers on motorbikes target pedestrians and motorists.

Robberies also occur on trains and buses.

To protect yourself from theft:

  • always keep vehicle doors locked, windows up and valuables out of sight, even when moving
  • secure your accommodation, even when you're in it
  • avoid walking after dark
  • avoid walking in isolated back-alleys and lanes.

Violent crime

Violent crimes include:

  • armed carjackings
  • home invasions

Foreigners have been targeted in private homes in Nairobi, tourist areas and while travelling by road. Several incidents have occurred at night outside residential security gates.

Violent crime is particularly common in the Nairobi suburbs of Eastleigh and Kibera. Take extra precautions in these areas.

If you're living in Kenya, invest in strong personal security measures. Regularly review your personal security arrangements.

Do not physically resist any robbery attempt.

Police regularly confront criminal suspects in public places. Random gunfire has killed or wounded bystanders in crowded areas.

Due to widespread HIV/AIDS, if you're a victim of violent crime such as rape , visit a doctor immediately.

Food and drink spiking

Some criminals target foreigners with food and drink spiking. Their motivations can be for assault, including sexual assault, and theft.

To protect yourself:

  • never leave food or drinks unattended or in the care of strangers
  • be wary of accepting snacks, beverages, gum or cigarettes from new acquaintances
  • Partying safely

Crime in outlying areas

Incidents involving banditry and cattle rustling can occur in North and Central Rift regions (Turkana, West Pokot, Elgeyo Marakwet, Baringo, Laikipia and Samburu counties).

Clashes between local groups have occurred in the Mount Elgon region in western Uganda.

The region bordering Somalia is extremely dangerous.

Curfews and security operations can be instituted without prior notice in the North Rift and parts of Central Rift regions.

If you plan to travel to these areas  get up-to-date advice on security and other conditions from your tour operator before you travel.  Monitor the media for latest developments, maintain a high level of vigilance and leave restricted areas as soon as possible.

Scams and fraud

Scams  are common. Criminals often use fake police, hotel, government and other identification to extort money from travellers.

  • be wary of demands for money or personal information, including from people claiming to be police or officials. Always ask for and carefully check identification
  • be wary of fake bank notes in circulation

Cyber security

You may be at risk of cyber-based threats during overseas travel to any country. Digital identity theft is a growing concern. Your devices and personal data can be compromised, especially if you’re connecting to Wi-Fi, using or connecting to shared or public computers, or to Bluetooth.

Social media can also be risky in destinations where there are social or political tensions, or laws that may seem unreasonable by Australian standards. Travellers have been arrested for things they have said on social media. Don't comment on local or political events on your social media.

  • Cyber security when travelling overseas

National parks and game reserves

Crime occurs Kenya's national parks and conservation areas, but is rarely serious.

If you plan to visit national parks or game reserves:

  • get local advice on security risks, park fees and other conditions before you travel
  • get recommendations on travel firms and guides from the Kenya Association of Tour Operators (KATO)
  • only use registered tour operators with a good reputation
  • respect local wildlife laws and maintain a safe distance when observing wildlife
  • follow all park regulations and instructions from local authorities and park wardens

Tours and adventure activities

Transport and tour operators don't always follow safety and maintenance standards. This includes adventure activities, such as diving.

If you plan to do an adventure activity :

  • check if your travel insurance policy covers the activity
  • use registered tour operators with a good reputation
  • ask about and insist on minimum safety requirements
  • always use available safety gear, such as life jackets or seatbelts.

If proper safety equipment isn't available, use another provider.

Information on tourism, road conditions and emergency regional assistance is available from the Kenya Tourism Federation  Safety and Communication Centre . Phone:  +254 (0)722 074 564 5 or +254 (0) 738 617 499

Climate and natural disasters

Kenya can experience natural disasters and severe weather , including:

  • flash flooding
  • earthquakes
  • volcanic activity

If a natural disaster occurs:

  • secure your passport in a safe, waterproof place
  • monitor local media and other sources such as the Global Disaster Alert and Coordination System
  • follow the advice of local authorities
  • keep in contact with your friends and family.

Kenya traditionally has two rainy seasons, from March to June, and October to November. Flash flooding and mudslides are common. Roads may close. Expect delays when travelling in these areas.

Northern and eastern Kenya often experience drought. Essential services in these areas may be affected during these times. Expect delays when travelling in these areas.

Earthquakes and volcanoes

Kenya lies on a fault line, and sometimes experiences earthquakes and tremors.

Volcanic activity and earthquakes can happen near Mt Elgon on the Kenya-Uganda border.

Get to know earthquake safety measures for each place you stay.

Tsunamis can occur in Kenya's coastal areas.

To receive tsunami alerts, register with the Global Disaster Alert and Co-ordination System .

Move to high ground right away if local or regional authorities tell you to, or if you:

  • feel a strong earthquake that makes it hard to stand up
  • feel a weak, rolling earthquake that lasts a minute or more
  • see a sudden rise or fall in sea level
  • hear loud and unusual noises from the sea

Don't wait for official warnings. Once on high ground, monitor local media.

Travel Insurance

Get comprehensive travel insurance before you leave. Your policy needs to cover all overseas medical costs, including medical evacuation. The Australian Government won't pay for these costs.

If you can't afford travel insurance, you can't afford to travel. This applies to everyone, no matter how healthy and fit you are.

If you're not insured, you may have to pay many thousands of dollars up-front for medical care.

  • what activities and care your policy covers
  • that your insurance covers you for the whole time you'll be away

Physical and mental health

Consider your physical and mental health before you travel, especially if you have an existing medical condition. 

See your doctor or travel clinic to:

  • have a basic health check-up
  • ask if your travel plans may affect your health
  • plan any vaccinations you need.

Do this at least 8 weeks before you leave.

If you have immediate concerns for your welfare, or the welfare of another Australian, call the 24-hour Consular Emergency Centre on +61 2 6261 3305 or contact your  nearest Australian Embassy, High Commission or Consulate  to discuss counselling hotlines and services available in your location.

  • General health advice
  • Healthy holiday tips  (Healthdirect Australia)

Medications

Not all medication available over the counter or by prescription in Australia is available in other countries. Some may be considered illegal or a controlled substance, even if prescribed by an Australian doctor.

If you plan to bring medication, check if it's legal in Kenya. Take enough legal medicine for your trip.

Carry a copy of your prescription or a letter from your doctor stating:

  • what the medication is
  • your required dosage
  • that it's for personal use

Health risks

Insect-borne diseases.

Yellow fever is widespread in Kenya. Yellow fever is a potentially fatal virus spread by mosquitoes. It's prevented by vaccination. Get vaccinated before you travel and take your yellow fever vaccination certificate with you to Kenya. 

Malaria is widespread except in Nairobi and at altitudes above 2500m.

Other insect-borne diseases occur, including: 

  • Dengue virus infection
  • Rift Valley fever
  • Lymphatic  filariasis
  • African sleeping sickness

To protect yourself from disease:

  • make sure your accommodation is insect-proof
  • use insect repellent
  • wear long, loose, light-coloured clothing
  • consider taking medication to prevent malaria

Visit a doctor if you develop either a fever, muscle pain, a rash or a bad headache.

HIV/AIDS infection rates are very high.

Take precautions if taking part in activities that put you at risk of infection.

Other health risks

Waterborne, foodborne and other infectious diseases are common. These include:

  • meningococcal disease
  • tuberculosis

Serious outbreaks occur from time to time.

To protect yourself from illness:

  • drink boiled water or bottled water with sealed lids
  • avoid ice cubes
  • avoid raw and undercooked food, such as salads
  • don't swim in fresh water
  • avoid physical contact with anyone who has mpox

Get medical advice if you have a fever or diarrhoea.

Medical care

Medical facilities.

Medical facility standards vary. Medical facilities are adequate in urban areas but may be extremely limited in other places.

Before receiving treatment, public and private facilities need:

  • an up-front payment, or
  • a payment guarantee, or
  • medical insurance confirmation

If you become seriously ill or injured in a remote area, you'll need to be evacuated to a major city. Medical evacuation can be very expensive.

There's a decompression chamber at the Kenyan Naval Base in Mombasa.

You're subject to all local laws and penalties, including those that may appear harsh by Australian standards. Research local laws before travelling.

If you're arrested or jailed, the Australian Government will do what it can to help you under our Consular Services Charter . But we can't get you out of trouble or out of jail.

Penalties for drug offences can be severe and include long jail terms.

Carrying or using drugs

Commercial surrogacy

Get legal advice in Australia and Kenya before going to Kenya for commercial surrogacy arrangements.

  • Going overseas for international surrogacy
  • Going overseas to adopt

LGBTQIA+ travellers

Kenyan law prohibits sexual acts between individuals of the same sex. Those convicted can face lengthy prison sentences.

Advice for LGBTQIA+ travellers

In Kenya it's illegal to:

  • work or volunteer without a valid work permit
  • destroy local currency
  • smoke in public places outside designated smoking areas
  • take photos of official buildings — get advice before taking photos
  • possess ivory distribute religious material in public without a licence

It's also illegal to use single-use plastic bags. Read more on this website: https://www.nema.go.ke/images/Docs/Notices/FAQS_Editd_FINAL_2.pdf 

Australian laws

Some Australian criminal laws apply overseas. If you commit these offences, you may be prosecuted in Australia.

Staying within the law and respecting customs

Dual citizenship

Kenya recognises dual nationality. However, Kenya has not yet fully enacted dual nationality laws.

If you're a dual citizen, this limits the consular services we can give if you're arrested or detained.

Always travel on your Australian passport .

Dual nationals

Local customs

Kenya has conservative dress and behaviour standards, especially in coastal and rural areas. You should dress modestly; wear loose-fitting clothing that covers your shoulders, knees, midriff, chest and back. Take care not to offend.

The Islamic holiday month of Ramadan  is observed in Kenya. Respect religious and cultural customs and laws at this time. Muslims don't eat, drink or smoke between sunrise and sunset during Ramadan.   If you're not fasting, avoid these activities around people who are. Seek local advice to avoid offence.

Explore our Ramadan page to learn more, including dates for Ramadan.

Public displays of affection can lead to harassment, particularly for same-sex couples.

  • Going overseas for major events

Visas and border measures

Every country or territory decides who can enter or leave through its borders. For specific information about the evidence you'll need to enter a foreign destination, check with the nearest embassy, consulate or immigration department of the destination you're entering. 

Kenya became a visa-free country in January 2024. However, you'll need to apply online  and pay for an  Electronic Travel Authorisation (ETA)  prior to arrival.  Check the Kenya State Department of Immigration and Citizen Services for information on categories of persons exempted from applying for the ETA.

If you already have a valid visa, you can continue to travel using this visa until its expiry.

For Kenyan visa and permit information, visit the  ETA Kenya  and  Kenya Civil Aviation Authority websites.  

Entry and exit requirements can change at short notice. Contact the  Kenyan High Commission in Australia for details about ETAs, currency, customs and quarantine rules.

Border measures

If you enter Kenya with flu-like symptoms, you may need to take a COVID-19 test at your own expense. If your test is positive, you may need to isolate. For more information on COVID-19 travel requirements see:  Kenyan Civil Aviation Authority .

Other formalities

Yellow fever vaccination.

You'll need a valid yellow fever vaccination certificate to enter Kenya, or transit through Kenya for 12 hours or longer. Some airlines may want to see a certificate when you leave.

Find out about returning to Australia after exposure to yellow fever .

  • Yellow fever - African Region (WHO)
  • Kenyan Airports: Kenya Airports Authority

Import and export restrictions

Kenya has strict laws about importing or exporting certain goods, including:

  • religious materials and antiquities
  • business equipment

Kenyan High Commission in Australia

Identity card for foreigners

If you're a foreign resident, always carry your alien identity card. If you don't, you could be fined or jailed.

Working in Kenya

It's illegal to work without a valid visa. Authorities can fine or jail you for paid or voluntary  work.

To work in the charity sector, get a valid work permit through the Charity Register. 

Foreign journalists seeking to work in Kenya are required to apply for accreditation through the Media Council of Kenya portal .

Living or working overseas

To enter Kenya, your passport must have an expiry date at least 6 months after the date you arrive and at least two blank pages. This can apply even if you're just transiting or stopping over. 

Some foreign governments and airlines apply the rule inconsistently. Travellers can receive conflicting advice from different sources.

You can end up stranded if your passport is not valid for more than 6 months.

The Australian Government does not set these rules. Check your passport's expiry date before you travel. If you're not sure it'll be valid for long enough, consider getting a new passport .

Lost or stolen passport

Your passport is a valuable document. It's attractive to people who may try to use your identity to commit crimes.

Some people may try to trick you into giving them your passport. Always keep it in a safe place.

If your passport is lost or stolen, tell the Australian Government as soon as possible:

  • In Australia, contact the Australian Passport Information Service .
  • If you're overseas, contact the nearest Australian embassy, high commission or consulate .

Passport with 'X' gender identifier

Although Australian passports comply with international standards for sex and gender, we can't guarantee that a passport showing 'X' in the sex field will be accepted for entry or transit by another country. Contact the nearest  Kenyan High Commission  before you arrive at the border to confirm if authorities will accept passports with 'X' gender markers. 

More information:   

  • LGBTQIA+ travellers  

The local currency is the Kenyan Shilling (KES). 

  • Kenya Shilling banknotes (Central Bank)

Declare all amounts over US$10,000 when you arrive and depart. This covers all forms of currency, not only cash.

Large banks and foreign exchange bureaus accept traveller's cheques. Hotels don't often accept them.

ATMs in Nairobi and major towns accept international credit cards.

Take care when paying with credit cards or using ATMs. Card skimming incidents are increasing. Only use ATMs at large shopping centres or in banks. Check the machine for unusual parts before you use it. Always keep your card in sight during transactions.

Ask your bank if your cards will work in Kenya.

Local travel

Driving permit.

To drive in Kenya, you'll need both:

  • a valid Australian driver's licence
  • an International Driving Permit (IDP)

Get your IDP before leaving Australia.

Road travel

Kenya records thousands of road fatalities each year. You're more likely to die in a motor vehicle accident in Kenya than in Australia.

Hazards include:

  • poor road conditions
  • unsafe and poorly maintained vehicles
  • not enough street lighting

Before you drive:

  • get to know local traffic laws and practices
  • check local information on road conditions, including security risks and road closures
  • avoid travel at night on major highways in and out of Nairobi and on rural roads

Driving or riding

Motorcycles

Check if your travel insurance policy covers you when using a motorbike or similar vehicle. 

Always wear a helmet.

Only use established and reputable taxis and limousine services. Arrange these through your hotel.

Only use taxis from official taxi stands or via callout.

When travelling at night to and from Nairobi's airports (JKIA and Wilson), always use a tour or taxi company with a good reputation.

Public transport

Public transport options such as buses and minivans ('matatus') are dangerous.

Bus terminals and other transport hubs have been targeted in terrorist and criminal attacks. There are risks of further attacks.

Theft is common on many train routes. Passengers' belongings have been taken from their compartments. Watch your belongings at all times.

Boat travel

If you travel in Kenyan waters:

  • first check the International Maritime Bureau's piracy reports
  • arrange personal security measures
  • be alert to threats

DFAT doesn't provide information on the safety of individual commercial airlines or flight paths.

Check Kenya's air safety profile with the Aviation Safety Network.

Emergencies

Depending on what you need, contact your:

  • family and friends
  • travel agent
  • insurance provider

Always get a police report when you report a crime.

Your insurer should have a 24-hour emergency number.

Consular contacts

Check the Consular Services Charter to find out what the Australian Government can and can't do to help you overseas.

For consular assistance, contact the Australian High Commission in Nairobi.

Australian High Commission, Nairobi

Limuru Road, Rosslyn  Nairobi, Kenya

Phone: (+254) 20 4277 100

Website: kenya.highcommission.gov.au Facebook: Australia in East Africa   X: @AusHCKenya

Check the High Commission website for details about opening hours and any temporary closures.

24-hour Consular Emergency Centre

In a consular emergency, if you can't contact an embassy, call the 24-hour Consular Emergency Centre on:

  • +61 2 6261 3305 from overseas
  • 1300 555 135 in Australia

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voyager au kenya visa

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Visas et conditions d'entrée au Kenya

L'entrée sur le territoire Kenyan exige des formalités administratives qui dépendent de la nationalité des voyageurs ainsi que du type de séjour.

* les conditions d'obtention des visas, leurs tarifs ainsi que les nationalités concernées changent règulièrement en fonction de l'actualité diplomatique. Merci de vérifier systèmatiquement à quelles formalités vous êtes soumis(e).

Aéroport de Nairobi

voyager au kenya visa

Bouger & Voyager

Conseils pour voyager au Kenya : visa, santé, transport, etc

conseils pour voyager au kenya

Il existe une multitude de raisons de visiter le Kenya. C’est l’un des joyaux des safaris en Afrique de l’Est, qui abrite des réserves d’animaux de renommée mondiale, notamment la réserve nationale de Masai Mara et le parc national d’Amboseli . Les villages ruraux offrent un aperçu précieux des traditions séculaires des tribus Masaï et Samburu; tandis que la capitale, Nairobi, est un creuset cosmopolite de cultures de tout le continent et au-delà. Sur la côte de l’océan Indien, la pêche, la plongée et le snorkeling vous attendent. Mais avant de pouvoir découvrir tout ce que le Kenya a à vous offrir, il est important de prendre en compte les détails et conseils de voyage pratiques décrits ci-dessous.

Nécessité d’un visa pour visiter le Kenya

Bien que les citoyens de certains pays d’Afrique, des Caraïbes et d’Asie du Sud-Est soient autorisés à entrer au Kenya sans visa, la plupart des visiteurs en auront besoin. Cela comprend les citoyens des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de tous les pays européens à l’exception de Chypre. Heureusement, la grande majorité des nationalités peuvent demander un e-visa qui vous permet de remplir un formulaire de demande et de payer en ligne avant votre départ. Le visa pour le Kenya est valide pendant 90 jours (et peut être prolongé de 90 jours supplémentaires). Votre demande sera traitée en moins d’une semaine si vous optez pour un e-visa qui coûte 74,95 € par personne.

Si vous n’êtes pas éligible pour un e-visa, vous devez en faire la demande en personne à l’ambassade du Kenya la plus proche.

Remarque : tous les visas électroniques sont des visas à entrée unique. Si vous avez besoin d’un visa à entrées multiples, vous pouvez en demander un à l’ambassade la plus proche ou (dans la plupart des cas) à votre arrivée aux principaux points d’entrée. Ces visas coûtent une centaine d’euros chacun et sont idéaux pour tous ceux qui prévoient de voyager dans les deux sens dans les réserves entre le nord de la Tanzanie et le Kenya.

Santé et sécurité

Les vaccinations : si vous voyagez au Kenya depuis un pays atteint de fièvre jaune, vous devrez fournir la preuve que vous avez été vacciné contre la maladie avant de pouvoir passer l’immigration. La seule exception à cette règle concerne les enfants de 1 an ou moins. Il n’y a pas d’autres vaccinations obligatoires; cependant, il y en a plusieurs qui sont fortement recommandés. Il est conseillé que tous les voyageurs soient immunisés contre l’hépatite A et la typhoïde. Selon la région du Kenya que vous prévoyez de visiter et les activités auxquelles vous participerez, les vaccins contre le choléra, l’hépatite B, la méningite, la rage et la fièvre jaune peuvent également être recommandés.

Paludisme : le paludisme est un risque dans toutes les régions du Kenya. Cela comprend la plupart des parcs de jeux du pays, la côte et la capitale. La prévention est fortement recommandée. Lorsque vous parlez à votre médecin des différentes options disponibles, assurez-vous de lui faire savoir que vous visiterez spécifiquement le Kenya, car les parasites du paludisme dans cette région de l’Afrique de l’Est ont développé une résistance à la chloroquine. Bien que les enfants puissent prendre des médicaments antipaludiques dès qu’ils pèsent 12 kilos ou plus, la difficulté d’amener les tout-petits à prendre les pilules efficacement signifie que vous devriez sérieusement réfléchir avant de vous rendre dans une zone de paludisme avec des enfants de moins de 5 ans.

Rester en sécurité : bien que des attentats terroristes aient eu lieu dans le passé et que le niveau élevé de pauvreté au Kenya entraîne une augmentation de l’incidence de la petite délinquance, peu de visiteurs étrangers subissent des crimes violents pendant leurs vacances au Kenya. Pour rester en sécurité, il faut éviter les quartiers les plus pauvres des centres-villes et des districts, et faire un effort conscient pour ne pas exposer votre richesse en laissant vos bijoux à l’hôtel et en cachant portefeuille et appareil photo.

Remarque : consultez les derniers avis des voyageurs avant de planifier votre voyage et consultez cette page pour obtenir des conseils sur les risques actuels au Kenya.

Devise monétaire

La monnaie du Kenya est le shilling kényan, souvent abrégé en KSh. Un shilling est composé de 100 cents. Les pièces sont disponibles en coupures de un, cinq, 10, 20 et 40 shillings; les billets sont disponibles en coupures de 20, 50, 100, 200, 500 et 1 000 shillings. Vous pouvez échanger des euros dans n’importe quelle banque kényane et c’est le moyen le plus sûr de le faire. Évitez les changeurs de monnaie du marché noir, car beaucoup d’entre eux sont également des escrocs.

Si vous ne voulez pas transporter de grosses sommes d’argent, vous pouvez retirer de l’argent au besoin en utilisant votre carte de crédit ou de débit habituelle. Visa et Mastercard sont les plus couramment acceptées, et vous trouverez des guichets automatiques dans toutes les grandes et moyennes villes du pays. Les paiements par carte bancaire sont courants dans les zones urbaines, mais ne vous attendez pas à ce que les restaurants ruraux, les marchés ou les hôtels économiques en aient. Le troc est prévu dans les étals de rue et les marchandises, y compris les vêtements et les chaussures, sont parfois acceptées au lieu de l’argent liquide.

Se déplacer au Kenya : moyens de transport

Avion : les longues distances et les mauvaises conditions routières font du vol le moyen le plus efficace (mais pas le plus économique) de se déplacer au Kenya. Kenya Airways propose une gamme complète de liaisons intérieures, tout comme les petites compagnies aériennes telles que Safarilink, AirKenya et Mombasa Air Safari. Les places ont tendance à être réservées rapidement et il est recommandé de réserver plusieurs mois à l’avance.

Train : en 2017, un nouveau service ferroviaire à grande vitesse appelé Madaraka Express a été ouvert entre Nairobi et Mombasa. Vous pouvez utiliser le train pour rejoindre la côte en seulement 4h30, avec sept arrêts en cours de route, y compris Mtito Andei et Voi. Il est prévu d’étendre la ligne à Naivasha et éventuellement à Kampala en Ouganda.

Bus : les bus de courtes et longues distances abondent au Kenya, avec une couverture d’itinéraire particulièrement bonne autour de Nairobi, le long de la côte et dans l’ouest du pays. La plupart des bus sont des propriétés privées et beaucoup sont confortables avec des toilettes et des sièges inclinables. Ils sont plus sûrs que la plupart des autres modes de transport énumérés ci-dessous et moins chers que l’avion ou le train.

Transports en commun : vous avez plusieurs options lorsque vous utilisez les transports en commun pour naviguer dans les grandes villes du Kenya. Ceux-ci incluent les taxis (dont la plupart n’ont pas de compteur, assurez-vous donc de convenir d’un prix avant d’accepter un trajet), les tuk-tuks et les boda-bodas (taxis à vélo ou à moto). Les mini-bus partagés connus sous le nom de matatus sont le choix le plus populaire pour les Kenyans locaux, offrant des itinéraires et des tarifs fixes.

Voiture : ceux qui veulent la liberté de leur propre véhicule peuvent louer une voiture auprès d’agences internationales dans l’une des grandes villes du Kenya. Sachez que les tarifs sont souvent élevés et que les routes kenyanes ne sont pas pour les âmes sensibles. De nombreuses entreprises offrent la possibilité d’embaucher un chauffeur moyennant des frais supplémentaires minimes. Pour des raisons de sécurité, évitez de conduire la nuit et gardez vos portes verrouillées dans les zones urbaines.

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voyager au kenya visa

Visa pour le Kenya

L’obtention du visa pour le Kenya est une étape cruciale de la préparation de votre voyage. Pour visiter le Kenya, vous ne pourrez en effet pas déroger à cette démarche administrative. Alors, comment s’y prendre ? Quelles sont vos obligations au Kenya pour le visa ? On vous dit tout.

Visa pour le Kenya et autres formalités obligatoires

Le visa pour le kenya.

Il s’obtient auprès de l’Ambassade du Kenya en France, en ligne ou directement à votre arrivée au Kenya. Les procédures de chacune de ces options sont détaillées ci-dessous.

Un visa touristique est obligatoire pour visiter le Kenya sauf pour les mineurs de moins de 16 ans, qui sont dispensés de posséder un visa mais doivent posséder leur propre passeport .

Le prix du visa au Kenya est de :

  • 40€ si vous en faites la demande au préalable auprès de l’Ambassade du Kenya.
  • $50 (de préférence, ou 40€) si vous l’obtenez auprès de l’immigration du Kenya à votre arrivée. Prévoyez l’appoint car ils n’ont pas toujours de change. 
  • $51 si vous faites la demande de visa pour le Kenya en ligne (par Visa ou Mastercard).

Le visa tourisme est valable pour une durée de trois mois à partir de la date de son obtention. Il permet de visiter le Kenya pendant une durée de 90 jours.

Les délais d’obtention peuvent varient selon la méthode choisie. Pensez donc à entamer les démarches suffisamment tôt. . Pour vous assurer un dossier complet et rapidement validé, quelques obligations sont à respecter :

  • Votre passeport doit être valide encore 6 mois au minimum après votre date de retour prévu
  • Votre passeport doit comporter au minimum deux pages vierges en vis-à-vis

Les documents nécessaires pour la demande de visa

Quelle que soit la démarche choisie, les documents à rassembler pour faire votre demande de visa pour le Kenya sont globalement les mêmes : 

  • un formulaire de demande de visa
  • une copie de la page avec photo de votre passeport
  • une photo d’identité
  • un document justifiant votre voyage : copie des billets d’avion, de l’itinéraire fourni par l’agence de voyages, …
  • le règlement

Les autres formalités

Quelques autres formalités sont à connaître selon vos projets de voyage.

Sur place, vous pourrez prolonger votre visa de 3 mois supplémentaires auprès de l’immigration Kenyane. Le tarif est alors de 20€.

Pour les mineurs voyageant avec un accompagnateur autre que l’un de leurs parents, ils doivent présenter une autorisation de sortie du territoire (disponible sur le site www.service-public.fr) et une copie de la pièce d’identité du parent signataire.

Concernant les vaccins, aucun n’est obligatoire pour les voyageurs européens. Par contre, certains sont fortement conseillés : 

  • fièvre jaune (surtout si vous voyagez dans d’autres pays d’Afrique)
  • diphtérie, tétanos et poliomyélite, 
  • Hépatites A et B, 
  • Coqueluche,
  • Rougeole (pour les enfants),
  • Typhoïde et rage.

Un traitement préventif contre le paludisme est aussi conseillé. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’Institut Pasteur . Dans tous les cas, demandez conseil à votre médecin avant votre départ. Passons maintenant aux différentes options pour obtenir votre visa pour le Kenya.

Option 1 : Demander votre visa à l’Ambassade du Kenya en France

Pour obtenir un visa pour le Kenya depuis la France, il faudra adresser votre demande à l’Ambassade du Kenya située à Paris. Vous pouvez vous y rendre directement (à deux reprises : lors du dépôt du dossier et lors de la collecte du visa) si vous habitez à proximité, ou faire votre demande par courrier.

Le dossier doit comporter :

  • le formulaire 22 de demande de visa au Kenya
  • votre passeport (6 mois minimum de validité et deux pages vierges vis-à-vis)
  • une photocopie de la page avec photo de votre passeport
  • une photo d’identité réglementée
  • le règlement du visa du Kenya au prix de 40€ (en espèces si vous présentez le dossier physique ou par mandat cache si vous envoyez le dossier par la poste)
  • une copie du billet d’avion aller/retour ou le document de voyage fourni par l’agence de voyages
  • une enveloppe affranchie en lettre recommandée (au poids du passeport) si vous envoyez le dossier par la Poste (pour le renvoi du passeport tamponné)

Vous devez indiquer sur le formulaire 22 les noms et adresses des hébergements où vous serez logé.

Comptez environ une semaine pour obtenir votre visa. Ces délais peuvent varier donc soyez prévoyant.

Ces informations peuvent régulièrement changer. Pensez donc bien à vérifier la procédure auprès de l’Ambassade du Kenya à Paris.

Option 2 : Obtenir un visa pour le Kenya en ligne

La procédure de demande de visa en ligne a été mise en place assez récemment. Elle permet d’obtenir un e-visa pour le Kenya depuis l’un des deux sites officiels : ecitizen.go.ke et/ou visahq.fr .

Attention, de nombreux autres sites de demandes au Kenya d’e-visa voient le jour, mais attention aux arnaques, il s’agit de sites frauduleux.

La procédure est un peu longue et les deux sites sont en anglais. Mais cette option permet de faire la demande très simplement depuis chez vous et l’un dans l’autre, elle vous fait quand même gagner sur temps sur les formalités d’obtention du visa kenyan.

Pour gagner du temps, nous vous conseillons de préparer au préalable les documents nécessaires :

  • une photo d’identité officielle numérisée (photomaton ou photographe)
  • une copie numérique de votre passeport, plus précisément la page où apparaît votre photo, nom, prénom, date de validité
  • une copie PDF de vos billets d’avion ou de votre itinéraire
  • votre carte bancaire

Une fois votre compte créé sur le site officiel, vous devrez remplir un formulaire en ligne reprenant votre identité et les éléments de votre voyage. Les pièces listées ci-dessus devront être téléchargées et le paiement du visa se fera en ligne par carte bancaire. Une fois validé, votre e-visa pour le Kenya est disponible dans la rubrique “download”.

Attention, si votre dossier est incomplet, votre demande de visa sera rejetée. Vous ne serez pas remboursé des frais engagés.

Votre e-visa devrait être disponible au téléchargement sous 2 à 3 jours. Vous devrez présenter à l’arrivée au Kenya votre e-visa imprimé afin d’obtenir le document officiel.

Option 3 : Demander votre visa pour le Kenya sur place

La dernière option est de faire votre demande de visa pour le Kenya sur place.  On parle au Kenya de “visa on arrival”.

Les plus rebutés par l’administration ou les retardataires pourront faire leur demande de visa directement auprès du service de l’immigration du Kenya dès leur entrée sur le territoire. Cette procédure est la plus simple, mais vous serez sûrement amené à faire la queue au guichet de l’immigration.

Vous n’avez aucun document particulier à fournir, autres que :

  • Votre passeport avec une validité de 6 mois minimum et contenant deux pages vierges
  • Le règlement du prix du visa : $50 (ou 40€) en espèces impérativement

Cette demande de visa sur place peut être faite uniquement depuis les aéroports internationaux, comme Jomo Kenyatta à Nairobi ou Mombasa-Moi à Mombasa.

Enfin, notez que si vous comptez visiter d’autres pays de l’Est, sachez qu’un visa “East Africa Tourist Visa” est disponible au tarif de 100€ et permet de se rendre au Kenya, au Rwanda et en Ouganda, sans avoir à repasser par un bureau de l’immigration.

Quel est le prix d’un visa pour le Kenya ?

Le prix d’un visa pour le Kenya dépend de l’option choisie parmi celles que nous venons de vous présenter. Comptez, pour chaque option :

  • 40€ pour une demande de visa à l’ambassade du Kenya en France ;
  • 78€ pour une demande de visa en ligne ;
  • 50$ pour une demande de visa sur place.

Contacts utiles pour votre visa

Voici quelques contacts qui vous seront utiles pour l’obtention de votre visa.

  • Safari au Kenya
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THE EMBASSY OF THE REPUBLIC OF KENYA - DAKAR

Le Gouvernement du Kenya a entièrement automatisé la délivrance de visas à compter du 1er janvier 2021.  À cet égard, tous les passagers se rendant au Kenya depuis des pays qui exigent un visa pour entrer au Kenya devront obtenir un visa électronique avant de monter à bord d’un avion, car les visas ne sont pas délivrés à l’arrivée.

Les demandes de visa sont traitées par le nouveau système de traitement électronique des visas evisa  www.evisa.go.ke  .

Les exemptions suivantes s’appliquent :

  • Enfants âgés de 16 ans et moins (Notez que cette exemption ne s’applique pas au visa touristique pour l’Afrique de l’Est)
  • Les personnes dont le passeport est revêtu d’un permis de travail ou d’un laissez-passer de réadmission kenyan valide.
  • Les titulaires d’un laissez-passer délivré par l’ONU, le FMI et la Banque mondiale lors d’un voyage officiel pour l’organisation.

Admissibilité : Pouvez-vous postuler ? Cliquez ici  www.evisa.go.ke

TYPES DE VISAS

  • Visa à entrée unique
  • – Visa à entrées multiples
  • – Visa de courtoisie/diplomatique
  • – Visa de transit
  • – Visa pour l’Afrique de l’Est
  • Visa de cinq (5) ans
  • Visa référencé

COMMENT FAIRE UNE DEMANDE DE VISA

Allez sur www.evisa.go.ke et cliquez sur créer un compte eVisa.

Une fois connecté, sélectionnez “Department of Immigration Services”.

  • Sélectionnez “submit Application”
  • Sélectionnez “Kenyan Visa”
  • Sélectionnez le type de visa et lisez attentivement les instructions
  • Remplissez le formulaire de demande
  • Payez avec une carte Visa, Mastercard ou une autre carte de débit.
  • Attendez l’approbation par e-mail, puis téléchargez et imprimez le visa électronique depuis votre compte eCitizen.
  • Présentez votre visa électronique imprimé à l’agent d’immigration au port d’entrée.
  • Les frais de traitement du visa ne sont pas remboursables.
  • Les demandes incomplètes seront rejetées
  • La possession d’un visa électronique ne constitue pas une autorisation définitive d’entrer sur le territoire de la République du Kenya.
  • L’exercice de toute forme d’emploi ou d’activité sans le permis ou le laissez-passer requis constitue un délit.
  • Un visa électronique est requis avant l’entrée en République du Kenya.
  • Une impression du visa électronique doit être présentée au port d’entrée.
  • Pour toute question, veuillez contacter : [email protected].

Fast-tracked evisa

Eligibility

Do you qualify to apply? Check Below.

Kenyan Visa Eligibility

Passport holders traveling to the Republic of Kenya are divided into 3 categories.

  • Category 1 - Nationals and Persons who do not require visas to enter Kenya.
  • Category 2 - Nationals issued with Visas on application.
  • Category 3 - Countries and Persons who require referred Visas.

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COVID-19 : conseils de santé pour tous les voyageurs

Conseils aux voyageurs pour le Kenya

Dernière mise à jour : Changement mineur

Date de la dernière mise à jour : 7 août 2024 13:02 ET

Sur cette page

Niveau de risque, exigences d'entrée et de sortie, lois et coutumes, catastrophes naturelles et climat, besoin d'aide, kenya - faites preuve d'une grande prudence.

Faites preuve d’une grande prudence  au Kenya en raison de la menace terroriste et du taux de criminalité élevé.

Frontière avec la Somalie - Évitez tout voyage

Évitez tout voyage dans les comtés de Mandera, de Wajir, de Garissa et de Lamu limitrophes de la Somalie, en raison du risque d’enlèvement et d’attentats.

Frontière avec le Soudan du Sud et l’Éthiopie - Évitez tout voyage

Évitez tout voyage dans les comtés de Turkana et de Marsabit, à moins de 110 km de la frontière avec le Soudan du Sud et de l’Éthiopie, en raison du banditisme armé et de la violence transfrontalière.

Avertissement régional - Évitez tout voyage

  • à moins de 50 km de la côte du comté de Tana River;
  • à moins de 50 km de la côte du comté de Kilifi (du nord de la ville de Malindi aux limites du comté de Tana River).

Quartiers de Nairobi - Évitez tout voyage non essentiel

Évitez tout voyage non essentiel dans les quartiers d’Eastleigh, de Kibera et de Pangani, à Nairobi, en raison du taux de criminalité élevé.

Haut de page

Manifestations à travers le Kenya

Des manifestations contre le gouvernement ont lieu à travers les comtés, y compris à Nairobi.

Des barricades, des pillages, des fusillades mortelles et des blessés ont été signalés.

Même les manifestations qui se veulent pacifiques peuvent soudainement donner lieu à des actes de violence. Elles peuvent aussi perturber la circulation et les transports publics. L'accès à l’aéroport international Jomo Kenyatta peut être affecté. Les télécommunications et l'accès à Internet peuvent également être perturbés.

Les autorités peuvent imposer des couvre-feux et restreindre les déplacements sans préavis.

Si vous êtes au Kenya :

  • évitez les zones autour des bâtiments gouvernementaux;
  • évitez les endroits où se tiennent des manifestations et des grands rassemblements;
  • évitez les zones où les forces de l'ordre sont présentes;
  • attendez-vous à d’importantes mesures de sécurité et à une présence accrue des forces de l’ordre;
  • surveillez les médias locaux pour vous tenir au courant de l’évolution de la situation;
  • suivez les instructions des autorités locales.

Il existe une menace terroriste. Des informations crédibles indiquent que les étrangers pourraient être la cible d’extrémistes dans les endroits suivants:

  • les zones côtières du Kenya.

Des attentats ont été commis :

  • à Nairobi;
  • dans la région côtière, y compris à Mombasa et à Malindi;
  • dans les comtés de Mandera, de Wajir et de Garissa, près de la frontière somalienne.

Des étrangers ont été la cible d’attentats. On ne peut écarter la possibilité que d’autres attentats soient commis.

Les endroits suivants pourraient être ciblés :

  • les édifices gouvernementaux, y compris les écoles;
  • les lieux de culte;
  • les aéroports, ainsi que d’autres plaques tournantes et réseaux de transport;
  • les endroits publics comme les attractions touristiques, les restaurants, les bars, les cafés, les centres commerciaux, les marchés, les hôtels et autres lieux fréquentés par des étrangers.

Redoublez de vigilance lors des fêtes religieuses ou si vous assistez à des événements sportifs ou à des célébrations publiques. Des terroristes ont déjà profité de telles occasions pour commettre des attentats.

  • Soyez toujours sur vos gardes lorsque vous vous trouvez dans les lieux publics
  • Séjournez dans des hôtels qui ont des mesures de sécurité fiables, et sachez que même les lieux les plus sécurisés ne peuvent pas être considérés comme tout à fait exempts de danger

Zones longeant la frontière somalienne et une partie de la région côtière

La frontière entre le Kenya et la Somalie est fermée, mais elle est poreuse, et des milices ainsi que des groupes criminels somaliens mènent des attaques transfrontalières contre des étrangers et des travailleurs humanitaires dans la région. Certaines de ces attaques, perpétrées au moyen d’engins explosifs improvisés, ont fait des victimes et des blessés, notamment dans le camp de réfugiés de Dadaab, situé à 80 km de la frontière somalienne. Le risque que de telles attaques se produisent dans la région demeure élevé.

Les conflits entre clans somaliens rendent également cette région instable et dangereuse. La présence militaire et policière est accrue, et des barrages routiers sont souvent érigés, car les autorités kényanes s’efforcent de restreindre les incursions somaliennes et le trafic d’armes aux abords de la frontière.

Il existe également un risque accru d’enlèvements dans les comtés de Mandera, Wajir et Garissa, dans le nord-est du Kenya, à proximité de la frontière avec la Somalie, et dans les régions côtières du comté de Lamu. Par le passé, des groupes basés en Somalie et dans le nord-est du Kenya ont ciblé des travailleurs humanitaires, des touristes et des résidents, causant des victimes.

Dans la zone côtière, les logements situés en bord de mer sont exposés aux vols à main armée, aux cambriolages et aux détournements de voiture.

Zones longeant les frontières du Soudan du Sud et de l’Éthiopie

Il existe un risque extrême d’enlèvements, de terrorisme et de violence transfrontalière dans les comtés de Marsabit et de Turkana, dans le nord du Kenya, dans les zones situées à moins de 110 km des frontières avec l’Éthiopie et le Soudan du Sud.

Quartiers de Nairobi

Le taux de criminalité demeure élevé dans plusieurs quartiers et zones de Nairobi. La capacité de la police à réprimer le crime et à intervenir dans d’autres types d’incidents est très limitée.

Régions du nord et de l’ouest du Kenya

Certaines zones situées dans les comtés de Turkana, de Marsabit, d’Isiolo, de Wajir et de Mandera sont jugées dangereuses. La menace terroriste y est constante, et divers conflits opposent les régions, les tribus et les clans au sujet des terres, du bétail et de l’eau. Faites-vous accompagner d’une escorte armée lorsque vous voyagez dans ces régions. Vous pouvez en faire la demande auprès des postes de police locaux.

  • Ne vous éloignez pas des lieux touristiques
  • Ne circulez pas après la tombée de la nuit

Il arrive que des conflits éclatent entre des tribus dans les environs du mont Elgon, dans les comtés de Trans-Nzoia et de Bungoma, dans l’ouest du Kenya. Si vous décidez de vous rendre dans cette région :

  • exercez une vigilance constante;
  • consultez régulièrement les médias locaux.

Le taux de criminalité est élevé dans la plupart des régions du Kenya, particulièrement dans les grandes villes comme Nairobi, Mombasa et Kisumu, ainsi que dans les stations balnéaires. On observe habituellement une augmentation de la criminalité dans les semaines qui précèdent Noël.

Sachez qu’il y a des cas de vindicte populaire et qu’une foule peut décider de lyncher un suspect avant l’intervention de la police.

Crimes violents

Des détournements de voiture, des cambriolages de domicile, des enlèvements et des vols sont commis, même en plein jour et dans des quartiers habituellement considérés comme sûrs.

Il arrive que des touristes soient la cible de détournements de véhicule, de vols qualifiés et d’enlèvements lorsqu’ils se déplacent en provenance ou en direction des aéroports internationaux de Nairobi et de Mombasa.

  • N’utilisez que les services de voyagistes agréés ou de taxis clairement identifiables
  • Exercez une vigilance accrue si vous voyagez seul

À Nairobi, exercez une extrême prudence dans les quartiers non structurés comme Kasarani, Kibera et Mathare, en raison du taux de criminalité élevé et de la capacité limitée des policiers d’intervenir en cas d’incident.

Le taux de criminalité dans la vieille ville de Fort Jesus à Mombasa est semblable à celui des autres quartiers de la ville durant le jour. Cependant, après la tombée de la nuit, on y observe une importante augmentation du risque d’actes criminels, notamment de vols, d’agressions et d’autres crimes de rue. Le taux de criminalité est également élevé à bord et à proximité du traversier Likoni (qui relie Mombasa et les stations balnéaires du Sud).

  • Soyez toujours sur vos gardes, particulièrement sur les routes reliant le centre-ville aux zones résidentielles
  • Ne vous promenez pas à l’extérieur la nuit, particulièrement dans les secteurs isolés
  • Faites preuve de prudence si vous vous déplacez à pied le jour et si vous voyagez après la tombée de la nuit
  • Si des voleurs vous menacent, obéissez et ne leur résistez pas

Crimes mineurs

Il se commet des crimes mineurs comme des vols à la tire et des vols de sac à l’arraché.

  • Rangez toujours en lieu sûr vos effets personnels, y compris votre passeport et vos autres documents de voyage
  • Ne faites pas étalage de richesse et n’ayez pas sur vous d’importantes sommes d’argent
  • Ne conservez pas vos cartes de crédit et de débit, votre argent comptant et vos autres ressources financières au même endroit
  • Conservez vos effets personnels dans un lieu d’entreposage verrouillé
  • Ne laissez jamais vos bagages sans surveillance à un guichet ou à un comptoir d’enregistrement
  • Lorsque vous quittez votre chambre d’hôtel, fermez la porte à clé et accrochez la pancarte « Ne pas déranger »

Des voleurs en scooter ou à pied ciblent souvent les sacs des passagers voyageant à bord de voitures ou de scooters.

  • Gardez les vitres fermées, les portières verrouillées et les objets de valeur hors de portée et de vue
  • Redoublez de vigilance aux feux rouges

Des voleurs de passeports sont à l’œuvre dans la zone des départs de l’aéroport international de Jomo Kenyatta, à Nairobi. Il arrive que des articles soient volés dans les bagages enregistrés.

  • Soyez sur vos gardes dans tous les aéroports
  • Rangez vos objets de valeur dans vos bagages à main ou dans des valises verrouillées
  • N’échangez pas de devises dans les zones publiques de l’aéroport

Manifestations

Des manifestations surviennent régulièrement. Même les manifestations qui se veulent pacifiques peuvent soudainement donner lieu à des actes de violence. Elles peuvent aussi grandement perturber la circulation et les transports publics.

  • Évitez les endroits où se tiennent des manifestations et de grands rassemblements
  • Suivez les directives des autorités locales
  • Consultez régulièrement les médias locaux pour vous tenir au courant des manifestations en cours

Rassemblements de masse (événements à grande échelle)

Couvre-feux

Des couvre-feux peuvent être imposés sans préavis.

Respectez toujours les directives des autorités locales.

Pannes d’électricité 

Les pannes d’électricité surviennent régulièrement dans l’ensemble du pays. Les pannes de courant peuvent augmenter le risque d'activités criminelles dans les zones touchées, ce qui pourrait entraîner à son tour des vols opportunistes et des pannes prolongées.

Les pannes d’électricité pourraient affecter votre capacité à acheter des biens de première nécessité et perturber les services essentiels, tels que : 

  • les transports publics, y compris les vols; 
  • les services médicaux; 
  • l’approvisionnement en eau;   
  • les télécommunications; 
  • les opérations bancaires. 

Les bâtiments ne sont pas tous munis de génératrices.  

  • Planifiez en conséquence
  • Gardez des réserves d'eau, de nourriture et de carburant à portée de main 
  • Assurez-vous de toujours avoir une trousse d’urgence complète sous la main
  • Consultez les médias locaux pour vous tenir au courant de la situation

Aliments et boissons contenant des drogues

Ne laissez jamais vos aliments ou vos boissons sans surveillance, et ne les confiez pas à des inconnus. Méfiez-vous des collations, boissons, gommes à mâcher ou cigarettes offertes par de nouvelles connaissances. Ces produits peuvent contenir de la drogue et vous exposer au risque d’être victime de vol ou d’agression sexuelle.

Des malfaiteurs et des escrocs se font parfois passer pour des employés d’hôtel, des policiers ou des fonctionnaires et tentent de soutirer de l’argent aux touristes.

Si quelqu’un se présente à vous comme un représentant du gouvernement ou un policier et vous réclame de l’argent en raison d’une infraction, demandez un reçu officiel du gouvernement.

Les policiers sont tenus de présenter une pièce d’identité. Les services de police du Kenya reçoivent les plaintes et enquêtent sur les allégations de corruption et d’abus.

La prudence est de mise si vous vous rendez au Kenya dans le but de nouer une relation (d’amitié, d’affaires ou amoureuse) commencée par l’entremise d’Internet. Des étrangers sont souvent attirés au Kenya, surtout pendant la période des fêtes de fin d’année (Noël et Nouvel An) pour rencontrer quelqu’un qu’ils ont connu en ligne. Une fois arrivés, ils se font prendre au piège. Il arrive que des victimes subissent des pertes de milliers de dollars ou soient arrêtées car elles n’ont pas payé des dettes accumulées dans le pays ou des factures devenues exorbitantes en raison d’une fraude.

La fraude à l’étranger

Organisations non gouvernementales

Il est arrivé parfois que des étrangers travaillant comme bénévoles au sein d’organisations non gouvernementales (ONG) locales soient victimes de fraudes, et subissent des menaces et de mauvais traitements de la part du personnel local.

Si vous envisagez de faire du bénévolat au sein d’une ONG au Kenya, vous devriez communiquer avec le Bureau national des ONG du Kenya avant de prendre un engagement et de quitter le Canada, afin de vérifier la légalité de l’organisation pour laquelle vous souhaitez travailler. Toutes les ONG au Kenya sont tenues par la loi de s’inscrire auprès du Conseil national des ONG, un organisme d’autoréglementation non partisan.

Bureau national des ONG du Kenya  (en anglais)

Sécurité des femmes

Les femmes qui voyagent seules peuvent subir certaines formes de harcèlement et de violence verbale. Il arrive que des femmes soient victimes de harcèlement et d’agression sexuelle.

Conseils pour les voyageuses

Mariages forcés

Il arrive que des étrangers soient forcés à se marier. Cela peut se produire à leur insu ou sans qu’ils aient donné leur consentement.

Renseignements généraux sur les mariages forcés

Sécurité routière

L’état des routes et la sécurité routière varient beaucoup d’un endroit à l’autre du pays.

Les routes principales sont généralement en bon état, mais les routes secondaires sont mal entretenues. Le Code de la route n’est pas respecté, et la conduite en état d’ébriété est chose courante, surtout la nuit.

Gardez cela à l’esprit lorsque vous planifiez un déplacement routier, car la conduite nocturne présente des risques. La vitesse excessive, les véhicules mal entretenus, le mauvais éclairage et la signalisation inadéquate posent des risques.

Durant la saison des pluies, certaines routes non asphaltées peuvent devenir impraticables, même en véhicule tout terrain. Conduisez de façon préventive et soyez toujours sur vos gardes.

Les routes sont souvent congestionnées . Les embouteillages sont particulièrement communs sur la route qui relie Nairobi et Mombasa. Cette route peut s’avérer dangereuse pour les touristes qui ne sont pas habitués aux conditions routières locales. Dans la mesure du possible, prenez plutôt l’avion ou le train.

Pour franchir par la route la frontière entre le Kenya et la Tanzanie, n’empruntez que les postes frontaliers autorisés.

Déplacements terrestres

Des visiteurs qui se rendaient dans certaines réserves fauniques par la route ont été attaqués par des bandits armés. Soyez prudent sur les routes reliant les régions suivantes, en raison de possibles attaques, vols et détournements de voiture :

  • Malindi à Lamu;
  • Nairobi et les réserves fauniques d’Amboseli, de Masaï Mara, de Nakuru, de Tsavo;
  • Nairobi et la région du mont Kenya et du parc des Aberdares.

Transports publics

Les transports en commun ne sont pas sûrs.

Autobus interurbains

Des autobus interurbains ont été impliqués dans de nombreux accidents graves.

Transports intra-urbains

Les minibus (matatus) et les motos-taxis (boda-bodas) sont généralement mal entretenus et insuffisamment assurés, et leurs chauffeurs conduisent de façon irresponsable. Il est déjà arrivé que des matatus soient détournés et que des passagers se fassent dévaliser.

Utilisez des taxis de compagnies fiables et confirmez le prix de la course avant le départ.

Chemin de fer

Le chemin de fer (le Madaraka Express Railway) qui relie Nairobi et Mombasa est fiable et sûr. Les autres trains de voyageurs ne sont pas sûrs et accusent régulièrement des retards.

Aide locale

La Fédération kényane du tourisme exploite un Centre de sécurité et de communications, ouvert 24 heures sur 24, qui diffuse de l’information sur le tourisme et sur l’état des routes ainsi que sur l’aide régionale offerte en cas d’urgence.

Centre de sécurité  - Fédération du tourisme du Kenya (en anglais)

Parcs nationaux, safaris et réserves

Des touristes étrangers ont été victimes de crimes parfois violents dans des parcs nationaux et des réserves, ainsi que lors de safaris.

  • Soyez constamment sur vos gardes
  • Évitez de faire du camping seul ou sans l’assistance d’un professionnel local

Observation de la faune

L’observation d’animaux sauvages est risquée, surtout si vous êtes à pied ou près des animaux.

  • Tenez-vous toujours à une bonne distance des animaux
  • Ne descendez du véhicule que si un gardien ou un guide professionnel juge que vous pouvez le faire en toute sécurité
  • Choisissez seulement des guides et des voyagistes professionnels renommés
  • Respectez à la lettre les règlements des parcs et les directives des gardiens

Transport maritime

Le traversier de Likoni (qui relie Likoni à Mombasa) n’est pas sûr. Le niveau de criminalité y est élevé, l’affluence est mal contrôlée, les employés manquent de formation en matière de sécurité, les bris sont fréquents et l’entretien laisse à désirer. Le traversier est surchargé et des bousculades s’y produisent, faisant de nombreux blessés.

Des pirates commettent des attaques et des vols à main armée contre des navires dans les eaux côtières. Les navigateurs doivent prendre les précautions qui s’imposent.

Rapport sur la piraterie  - International Maritime Bureau (en anglais)

Transport aérien

Nous n’évaluons pas dans quelle mesure les compagnies aériennes intérieures étrangères respectent les normes internationales de sécurité.

Renseignements sur les vols intérieurs dans d’autres pays

Ce sont les autorités d’un pays ou d’un territoire qui décident qui peut en franchir les frontières. Le gouvernement du Canada ne peut pas intervenir en votre nom si vous ne répondez pas aux exigences d’entrée et de sortie du pays ou territoire où vous vous rendez.

L’information contenue dans cette page a été obtenue auprès des autorités kényanes. Elle peut cependant changer à tout moment.

Confirmez ces renseignements auprès des Représentants étrangers au Canada . 

Les exigences d’entrée varient selon le type de passeport que vous utilisez pour voyager.

Avant de partir, vérifiez auprès de votre transporteur quelles sont ses exigences au sujet des passeports. Ses règles sur la durée de validité des passeports sont peut-être plus strictes que les règles d’entrée du pays où vous vous rendez.

Passeport canadien régulier

Votre passeport doit être valide pendant au moins 6 mois après la date d’entrée au Kenya.

Passeport pour voyages officiels

Des exigences d’entrée différentes peuvent s’appliquer.

Voyages officiels

Passeport indiquant un identifiant de genre «X»

Bien que le gouvernement du Canada délivre des passeports indiquant un identifiant de genre «X», il ne peut garantir votre entrée ou votre transit dans d’autres pays. Vous pourriez faire face à des restrictions d’entrée dans les pays qui ne reconnaissent pas l’identifiant de genre «X». Avant de partir, vérifiez cette information auprès des représentants étrangers de votre pays de destination.

Autres documents de voyage

Les exigences d’entrée peuvent être différentes si vous voyagez avec un passeport temporaire ou un titre de voyage d’urgence. Avant de partir, renseignez-vous auprès des représentants étrangers du pays où vous voulez entrer.

Liens utiles

  • Représentants étrangers au Canada
  • Passeports canadiens

Visa de touriste : non exigé Visa de transit: non exigé si vous avez un vol de correspondance et que vous ne quittez pas l'aéroport Visa d’affaires : exigé Visa d’étudiant : exigé Permis de travail : exigé

À partir du 1 janvier 2024, les touristes doivent demander et payer une autorisation de voyage électronique (AVE) avant leur voyage. Vous pouvez toujours utiliser les visas touristiques valides qui vous ont été délivrés jusqu’à ce qu’ils expirent.

Vous devez obtenir votre visa ou votre AVE en ligne avant votre départ. Vérifiez la validité du visa qui vous a été délivré.

Si vous ne possédez pas de visa valide, vous pourriez être détenu, traduit en justice et inculpé pour séjour illégal au Kenya. Vous pourriez être passible d’une amende et d’une expulsion.

Liens utiles :

Demander un AVE  – Gouvernement du Kenya (en anglais) Autorité de l'aviation civile du Kenya  – Gouvernement du Kenya (en anglais) eVisa  – Ministère des Services d’immigration du Kenya (en anglais)

Extension de visa

Les autorités d’immigration du Kenya peuvent prolonger votre visa un mois à la fois, jusqu’à un maximum de trois mois. Chaque prolongation de visa coûte KSH 1000 et doit être demandée pendant que le visa est encore valide.

Pour obtenir une prolongation de visa, communiquez avec les autorités de l’immigration une fois que vous serez dans le pays.

Vous devez payer comptant votre visa en versant la somme exacte en dollars américains, en livres sterling ou en euros. Vous ne pouvez pas payer par carte de crédit.

Les visas destinés aux enfants de moins de 16 ans sont délivrés gratuitement.

Visa touristique pour l’Afrique de l’Est

Le visa touristique pour l’Afrique de l’Est permet les entrées multiples au Kenya, en Ouganda et au Rwanda.

Ce visa est valide pour 90 jours et sa durée de validité ne peut être prolongée.

Vous devez l’obtenir des autorités du pays de votre premier point d’entrée. Si vous planifiez de commencer votre séjour au Kenya, vous devez l’obtenir auprès du haut-commissariat du Kenya ou à l’arrivée.

Permis de travail

Vous devez avoir un permis de travail valide pour travailler ou faire du bénévolat au Kenya. Il est illégal de travailler ou de faire du bénévolat au Kenya avec tout autre type de visa.

En tant que travailleur étranger au Kenya, vous devez toujours avoir sur vous les permis de travail et la documentation nécessaires, même lorsque vous faites du bénévolat. Des mesures strictes seront prises si vous ne vous y conformez pas, y compris l’expulsion.

Pour obtenir un permis de travail électronique, présentez une demande en ligne auprès du Ministère des Services d’immigration du Kenya. Vous devez visiter la centrale du service d’immigration (Nyayo House dans le quartier central des affaires de Nairobi) après avoir rempli la demande en ligne pour obtenir votre permis.

Le service électronique pour les non-ressortissants – Ministère des Services d’immigration du Kenya (en anglais)

Employés d’ONG

Les Canadiens qui comptent travailler au Kenya ou y faire du bénévolat (même temporairement ou à temps partiel), peu importe pendant combien de temps, doivent détenir un permis de travail.

Si vous envisagez de travailler pour une ONG locale, vous pouvez recevoir l’aide du Conseil national des ONG pour obtenir votre permis de travail, à condition de communiquer à l’avance avec le Conseil.

Lorsqu’un employé change d’organisation, son permis de travail n’est plus valide et il doit présenter une nouvelle demande de permis pour travailler au sein d’une autre organisation.

Communiquez avec l’ONG auprès de laquelle vous comptez faire du bénévolat et consultez le site Web eVisa (en anglais) pour obtenir plus de détails et pour connaître toutes les exigences.

Plus de renseignements sur les permis de travail au Kenya – Haut-commissariat du Kenya (en anglais)

Les enfants en voyage

Renseignez-vous sur comment voyager avec des enfants .

Fièvre jaune

Renseignez-vous sur la possibilité d’exigences d’entrée concernant la fièvre jaune (section sur les vaccins).

Les autorités kényanes font régulièrement des contrôles ponctuels de preuve de vaccination contre la fièvre jaune. Ayez toujours sur vous une copie de votre preuve de vaccination.

Conseils de santé aux voyageurs pertinents

  • Avis mondial sur la rougeole - 13 mars 2024
  • Virus Zika : Conseils à l’intention des voyageurs - 31 août 2023
  • COVID-19 et voyages internationaux - 13 mars 2024
  • Polio : Conseils à l'intention des voyageurs - 3 juillet 2024

Cette section contient des informations sur les risques sanitaires éventuels et les restrictions régulièrement constatées ou en cours dans la destination. Suivez ces conseils pour réduire votre risque de tomber malade en voyage. Tous les risques ne sont pas énumérés ci-dessous.

Consultez un fournisseur de soins de santé ou visitez une clinique santé-voyage de préférence six semaines avant votre départ pour obtenir des conseils et des recommandations personnalisées en matière de santé.

Vaccins de routine

Assurez-vous que vos vaccins de routine , conformément à votre province ou territoire , peu importe votre destination de voyage. 

Parmi ces vaccins, citons le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR), la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la polio, la varicelle, la grippe et d'autres.

Vaccins et médicaments pré-voyage

Vous pouvez être à risque de maladies évitables lors de votre voyage dans cette destination. Consultez un professionnel de la santé voyage pour savoir quels médicaments ou vaccins pourraient vous convenir, en fonction de votre destination et de votre itinéraire.

La fièvre jaune   est une maladie causée par un flavivirus qui se transmet par la piqûre d'un moustique infecté.

Les voyageurs se font vacciner soit parce qu'il s'agit d'une exigence pour entrer dans certains pays, soit parce qu'il est recommandé de le faire pour se protéger contre la fièvre jaune.

  • Il y a un risque de contracter la fièvre jaune dans ce pays.

Les exigences liées à l'entrée*

  • Une preuve de vaccination est exigée des voyageurs.en provenance de tous les pays où sévit la fièvre jaune  (lien en anglais seulement).

Recommandation

  • La vaccination est recommandée selon votre itinéraire.
  • Il est important que les voyageurs communiquent avec un   Centre de vaccination contre la fièvre jaune désigné   bien à l'avance de leur voyage pour assurer leur vaccination.
  • Discutez de vos plans, de vos activités et de vos destinations de voyage avec un professionnel de la santé.
  • Protégez-vous contre les piqûres d'insectes.

À propos de la fièvre jaune

Centres de vaccination contre la fièvre jaune désignés *Il est important de souligner que les   exigences liées à l'entrée   (en anglais seulement) dans un pays pourraient ne pas correspondre à votre risque de contracter la fièvre jaune à cet endroit. Il est également recommandé de communiquer avec la   mission diplomatique ou consulaire   de la ou des destinations où vous comptez vous rendre pour vérifier s'il y a d'autres exigences d'entrée.

Il existe un risque d' hépatite A  dans cette destination. C'est une maladie du foie. Les gens peuvent contracter l'hépatite A s'ils ingèrent des aliments ou de l'eau contaminés, mangent des aliments préparés par une personne infectieuse ou s'ils ont un contact physique étroit (comme des relations sexuelles orales ou anales) avec une personne infectieuse, bien qu'un contact occasionnel entre les personnes ne propage pas l'hépatite A virus.

Prenez des précautions en matière de sécurité alimentaire et d’eau et lavez-vous souvent les mains.

La rougeole est une maladie virale très contagieuse. Elle peut se propager rapidement d'une personne à l'autre par contact direct et par les gouttelettes dans l'air.

Toute personne qui n'est pas protégée contre la rougeole risque d'en être infectée lorsqu'elle voyage à l'étranger.

Peu importe où vous allez, consultez un professionnel de la santé avant votre départ pour vous assurer d'être entièrement protégé contre la rougeole.

L'hépatite B est un risque dans toutes les destinations. Il s’agit d’une maladie virale du foie qui se transmet facilement d’une personne à une autre par exposition au sang et aux liquides organiques contenant le virus de l’hépatite B. Les voyageurs susceptibles d'être exposés au sang ou à d'autres fluides corporels (par exemple, par contact sexuel, traitement médical, partage d'aiguilles, tatouage, acupuncture ou exposition professionnelle) courent un risque plus élevé de contracter l'hépatite B.

La vaccination contre l'hépatite B est recommandée à tous les voyageurs. Prévenez l’infection par l’hépatite B en pratiquant des relations sexuelles protégées, en utilisant uniquement du matériel médical neuf et stérile et en vous faisant tatouer et percer uniquement dans des environnements qui respectent les réglementations et normes de santé publique.

La   maladie à coronavirus (COVID-19) est une maladie infectieuse virale qui peut se propager d’une personne à l’autre par un contact direct et par des gouttelettes projetées dans l’air.

Il est recommandé que tous les voyageurs admissibles reçoivent la série complète d’un vaccin contre la COVID-19 ainsi que toute dose supplémentaire recommandée au Canada avant de voyager. Les données probantes révèlent que les vaccins sont très efficaces pour prévenir les formes graves de la COVID-19, les hospitalisations et la mort. Bien que la vaccination offre une meilleure protection contre les maladies graves, vous pouvez toujours être exposé au risque d'infection par le virus responsable de la COVID-19. Quiconque n’étant pas entièrement vacciné court un risque accru de contracter le virus qui cause la COVID-19, ainsi qu'un risque accru d'être gravement malade lors d’un voyage à l’étranger.

 Avant de voyager, vérifiez les exigences d'entrée/sortie de votre destination en matière de vaccination contre la COVID-19.Peu importe votre destination, discutez avec un professionnel de la santé avant de voyager afin de vous assurer d’être bien protégé contre la COVID-19.

La meilleure façon de se protéger contre la grippe saisonnière est de se faire vacciner chaque année. Faites-vous vacciner contre la grippe au moins 2 semaines avant de voyager.

 La grippe est présente dans le monde entier.

  • Dans l'hémisphère Nord, la saison grippale s'étend généralement de novembre à avril.
  • Dans l'hémisphère Sud, la saison grippale s'étend généralement entre avril et octobre.
  • Sous les tropiques, l'activité grippale est présente toute l'année.

Le vaccin contre la grippe disponible dans un hémisphère peut n’offrir qu’une protection partielle contre la grippe dans l’autre hémisphère.

Le virus de la grippe se transmet d'une personne à l'autre lorsqu'elle tousse ou éternue ou en touchant des objets et des surfaces contaminés par le virus. Lavez-vous souvent les mains et portez un masque si vous avez de la fièvre ou des symptômes respiratoires.

Cette destination se trouve dans la ceinture africaine de la méningite , une région qui présente les taux de méningococcie les plus élevés au monde. La méningococcie est une infection grave et parfois mortelle.

Les voyageurs présentant un risque plus élevé devraient discuter de la vaccination avec un prestataire de soins de santé. Les voyageurs à haut risque comprennent ceux qui vivent ou travaillent avec la population locale (par exemple, les agents de santé) ou ceux qui voyagent dans des zones surpeuplées ou participent à de grands rassemblements.

Le paludisme est une maladie grave et parfois mortelle causée par des parasites transmis par les piqûres de moustiques.

Il existe un risque de paludisme dans certaines zones et/ou à une certaine période de l'année dans cette destination.

Des médicaments antipaludéens peuvent être recommandés en fonction de votre itinéraire et de la période de l'année à laquelle vous voyagez. Consultez un professionnel de la santé ou visitez une clinique de santé-voyage avant de voyager pour discuter de vos options. Il est recommandé de le faire 6 semaines avant le voyage, cependant, c'est toujours une bonne idée à tout moment avant de partir.

Protégez-vous des piqûres de moustiques en tout temps :

  • Couvrez votre peau et utilisez un insectifuge approuvé sur la peau découverte.
  • Excluez les moustiques de votre espace de vie avec des moustiquaires et/ou des portes et fenêtres fermées et bien scellées.
  • Utilisez des moustiquaires imprégnées d'insecticide si les moustiques ne peuvent pas être exclus de votre espace de vie.
  • Portez des vêtements traités à la perméthrine.

Si vous développez des symptômes similaires au paludisme lorsque vous voyagez ou jusqu'à un an après votre retour à la maison, consultez immédiatement un professionnel de la santé. Dites-leur où vous avez voyagé ou habité.

La rage est généralement transmise par les chiens et certains animaux sauvages, notamment les chauves-souris, dans cette destination. La rage est une maladie mortelle qui se transmet aux humains principalement par les morsures ou les griffures d'un animal infecté. Pendant le voyage, prenez des précautions , notamment en vous tenant à distance des animaux (y compris les chiens en liberté) et en surveillant de près les enfants.

Si vous êtes mordu ou égratigné par un animal lors d'un voyage, lavez immédiatement la plaie avec de l'eau propre et du savon, et consultez un professionnel de la santé. Le traitement contre la rage dans cette destination peut être limité ou ne pas être disponible, et il se peut donc que vous deviez retourner au Canada pour vous faire soigner.

Avant de voyager, consultez un professionnel de la santé au sujet de la vaccination contre la rage. Elle peut être recommandée pour les voyageurs qui présentent un risque élevé d'exposition (par exemple, les vétérinaires et les travailleurs de la faune, les enfants, les voyageurs d'aventure et les spéléologues, ainsi que les personnes en contact étroit avec des animaux).

La polio (poliomyélite) est une maladie infectieuse qui peut être prévenue par la vaccination. Elle est causée par le poliovirus de type 1, 2 ou 3. Le poliovirus circulant dérivé d'une souche vaccinale 2 (cVDPV2) est présent dans ce pays.    La polio se transmet d'une personne à l'autre et par l'intermédiaire d'aliments et d'eau contaminés. L'infection par le poliovirus peut provoquer la paralysie et la mort chez les personnes de tout âge qui ne sont pas immunisées.    Recommandations :  

  • Assurez-vous que vos vaccinations contre la polio sont à jour avant de voyager. La polio fait partie du calendrier de vaccination systématique des enfants au Canada.
  • Une dose de rappel du vaccin contre la polio est recommandée à l'âge adulte . 

Précautions pour la nourriture et l'eau

De nombreuses maladies peuvent être causées par la consommation d'aliments ou de boissons contaminées par des bactéries, des parasites, des toxines ou des virus, ou par la baignade dans une eau contaminée.

  • Pour en savoir plus sur les précautions à prendre en matière de nourriture et d'eau pour éviter de tomber malade, consultez notre page mangez et buvez en toute sécurité à l'étranger .  Rappelez-vous : N'ingérez rien qui n'ait été bouilli, cuit ou pelé!
  • Évitez de vous mettre de l'eau dans les yeux, la bouche ou le nez lorsque vous vous baignez ou participez à des activités en eau douce (ruisseaux, canaux, lacs), particulièrement après une inondation ou de fortes pluies. L'eau peut sembler propre, mais elle peut quand même être polluée ou contaminée.
  • Évitez d'inhaler ou d'avaler de l'eau lorsque vous vous baignez, prenez une douche ou nagez dans des piscines ou des spas.

Le choléra est un risque dans certaines régions du pays. Le risque est faible pour la plupart des voyageurs.

Pour se protéger contre le choléra, tous les voyageurs devraient prendre des précautions pour s'assurer de la salubrité des aliments et de l'eau.

Les voyageurs les plus à risque d'attraper le choléra font partie de ceux qui vont :

  • visiter, travailler ou vivre dans des zones où l'accès à une nourriture saine, à l'eau et à des installations sanitaires adéquates est limité
  • visiter les zones où il y a des éclosions de choléra

La vaccination peut être recommandée pour les voyageurs à risque élevé et devrait être discutée avec un professionnel de la santé.

La diarrhée du voyageur est la maladie qui touche le plus fréquemment les voyageurs. Elle se transmet par la consommation d'eau ou d'aliments contaminés.

Le risque de contracter la diarrhée du voyageur est accru dans les régions où les conditions de salubrité et d'hygiène sont déficientes. Faites attention à ce que vous mangez et buvez.

Le traitement le plus important contre la diarrhée du voyageur est la réhydratation (buvez beaucoup de liquides). Apportez des sels pour réhydratation orale lors de votre voyage.

La   fièvre typhoïde   est une infection bactérienne transmise par l’eau ou d’aliments contaminés. Le risque est plus élevé pour les enfants, les voyageurs allant vers les zones rurales, visiter des amis et parent ou pendeant une longue période de temps. 

Les voyageurs visitant des régions à risque de fièvre typhoïde, surtout ceux exposés à des endroits avec mauvaises conditions d’hygiène devraient parler à un professionnel de la santé de vaccination.

Il existe un risque de schistosomiase dans cette destination. La schistosomiase est une maladie parasitaire causée par de minuscules vers (douves sanguines) que l'on trouve dans les eaux douces (lacs, rivières, étangs et zones humides). Les vers peuvent briser la peau et leurs œufs peuvent provoquer des douleurs à l'estomac, de la diarrhée, des symptômes pseudo-grippaux ou des problèmes urinaires. La schistosomiase touche principalement les communautés sous-développées et rurales, en particulier les communautés agricoles et de pêche.

La plupart des voyageurs courent un faible risque. Les voyageurs doivent éviter tout contact avec de l'eau douce non traitée comme les lacs, les rivières et les étangs (par exemple, nager, se baigner, patauger, ingérer). Il n’existe aucun vaccin ni médicament disponible pour prévenir l’infection.

Préventions des piqûres d'insectes

De nombreuses maladies sont transmises par les piqûres d'insectes infectés tels que les moustiques, les tiques, les puces ou les mouches. Lorsque vous voyagez dans des zones où des insectes infectés peuvent être présents :

  • Utilisez un insectifuge (insecticide) sur la peau exposée
  • Couvrez-vous avec des vêtements amples, de couleur claire, faits de matériaux à tissage serré telle que le nylon ou le polyester
  • Réduisez au minimum l'exposition aux insectes
  • Utilisez une moustiquaire lorsque vous dormez à l'extérieur ou dans des bâtiments qui ne sont pas entièrement clos

Pour en savoir plus sur la manière dont vous pouvez réduire votre risque d'infection et de maladie causée par les piqûres, tant au pays qu'à l'étranger, consultez notre page sur la prévention des piqûres d’insectes .

Découvrez quels types d'insectes sont présents là où vous voyagez, quand ils sont les plus actifs et les symptômes des maladies qu'ils propagent.

Il y a un risque de chikungunya dans ce pays. Le niveau de risque peut varier par :

  • année
  • région
  • élévation

Le virus qui cause le chikungunya est transmis par la piqûre d'un moustique infecté. Il peut provoquer habituellement de la fièvre et des douleurs articulaires de type arthritique. Dans certains cas, la douleur articulaire peut être sévère et durer des mois ou des années.

Protégez-vous contre les piqûres de moustiques en tout temps. 

Pour en savoir plus :

Prévention des piqûres d’insectes et des parasites Chikungunya

La  fièvre de la vallée du Rift est une maladie virale qui peut causer des symptômes graves d'allure grippale. Dans certains cas, elle peut entraîner la mort. Elle se transmet aux humains par le contact avec le sang ou les tissus d'un animal infecté, par la piqûre d'un moustique infecté, ou par la consommation de lait ou de produits laitiers non pasteurisés. Le risque est généralement faible pour la plupart des voyageurs. Protégez-vous contre les piqûres de moustiques et évitez le contact avec des animaux, particulièrement le bétail, ainsi que la consommation de lait ou de produits laitiers non pasteurisés. Il n'existe aucun vaccin contre la fièvre de la vallée du Rift.

La  leishmaniose   viscérale (ou kala­azar) touche principalement la moelle osseuse et les organes internes. La leishmaniose est causée par un parasite transmis par la piqûre d'un phlébotome (moucheron de sable) femelle infecté. Cette forme de la maladie peut également être transmise par une transfusion de sang contaminé ou par le partage de seringues contaminées. En l'absence de traitement, la maladie peut entraîner la mort. Le risque est généralement faible pour la plupart des voyageurs. Protégez-vous contre les piqûres de phlébotomes, qui se nourrissent habituellement après le coucher du soleil dans les régions rurales et boisées ainsi que dans certains centres urbains. Il n'existe ni vaccin ni médicament qui protègent contre la leishmaniose.

  • Dans ce pays, la   dengue   constitue un risque pour les voyageurs. C’est une maladie virale transmise aux humains par les piqûres de moustiques.
  • La dengue peut causer des symptômes grippaux. Dans certains cas, elle peut entraîner une dengue sévère, qui peut être mortelle.
  • Le niveau de risque de contracter la dengue change selon les saisons et varie d’une année à l’autre. Le niveau de risque varie également entre les régions d’un même pays et peut dépendre des élévations de ces régions.
  • Les moustiques porteurs de la dengue piquent habituellement pendant le jour, particulièrement autour du lever et du coucher du soleil.
  • Protégez-vous contre les piqûres de moustiques . Aucun vaccin ou médicament ne protège contre la dengue.

Le virus Zika est un risque dans ce pays.

Le virus Zika se transmet principalement par la piqûre d’un moustique infecté. Il peut aussi être transmis sexuellement. Le virus Zika peut causer de graves anomalies congénitales.

Pendant votre voyage :

  • Prévenir les piqûres de moustiques en tout temps.
  • Utilisez correctement les préservatifs ou évitez tout contact sexuel, surtout si vous êtes enceinte.

Si vous êtes enceinte ou planifiez une grossesse, vous devriez discuter des risques potentiels liés à un voyage vers cette destination avec votre fournisseur de soins de santé. Vous pouvez choisir d’éviter ou de reporter votre voyage.

Pour plus d’informations, consultez Virus Zika : Si vous êtes enceintes ou envisagez de la devenir.

Précautions pour les animaux

Certaines infections, telles que la rage et la grippe, peuvent être partagées entre les humains et les animaux. Certains types d'activités peuvent augmenter vos chances de contact avec des animaux, comme les voyages dans des zones rurales ou forestières, le camping, la randonnée et la visite de marchés humides (lieux où les animaux vivants sont abattus et vendus) ou de grottes.

Les voyageurs sont priés d'éviter tout contact avec les animaux, y compris les chiens, le bétail (porcs, vaches), les singes, les serpents, les rongeurs, les oiseaux et les chauves-souris, et d'éviter de manger du gibier sauvage insuffisamment cuit.

Surveillez étroitement les enfants, car ils sont plus susceptibles d'entrer en contact avec des animaux.

La maladie du charbon est une maladie infectieuse grave causée par une bactérie. Les gens peuvent contracter la maladie du charbon s’ils entrent en contact avec des animaux infectés ou des produits d’origine animale contaminés. La maladie du charbon peut provoquer une maladie grave chez les humains et les animaux. Les voyageurs se rendant dans des régions où la maladie du charbon est commune ou dans lesquelles on observe une éclosion chez les animaux peuvent contracter la maladie si :

  • ils sont en contact avec des carcasses d'animaux infectés ou mangent de la viande provenant d'animaux malades au moment de l'abattage
  • ils manipulent des parties d'animaux, comme des peaux, de la laine ou des poils, ou des produits fabriqués à partir de ces parties d'animaux, comme des tambours en peau d'animaux.

Si vous vous rendez dans ces régions, ne mangez pas de viande crue ou insuffisamment cuite et évitez tout contact avec le bétail, la faune, les produits d'origine animale et les carcasses d'animaux.

Infections de personne à personne

Restez à la maison si vous êtes malade et respectez les règles de l'étiquette en matière de toux et d'éternuement , notamment en toussant ou en éternuant dans un mouchoir ou dans le pli de votre bras, pas dans votre main. Réduisez votre risque de rhume, de grippe et d'autres maladies en :

  • vous lavant souvent les mains
  • évitant ou en limitant le temps passé dans des espaces fermés, des endroits bondés ou lors d'événements à grande échelle (les concerts, les événements sportifs, les rassemblements)
  • évitant les contacts physiques étroits avec des personnes qui pourraient présenter des symptômes de maladie

Les infections sexuellement transmissibles (IST) , VIH , et la mpox se transmettent par le sang et les fluides corporels ; utilisez des préservatifs, pratiquez des rapports sexuels protégés et limitez le nombre de vos partenaires sexuels. Vérifiez auprès de votre autorité de santé publique locale avant le voyage pour déterminer votre admissibilité au vaccin mpox.

La tuberculose est une infection causée par une bactérie qui touche habituellement les poumons.

Pour la plupart des voyageurs, le risque de contracter la tuberculose est faible.

Les voyageurs qui pourraient courir un plus grand risque de contracter la tuberculose et qui doivent se rendre dans une région où il existe un risque de tuberculose devraient consulter un professionnel de la santé afin de déterminer quelles sont les mesures à prendre avant et après leur voyage.

Les personnes qui pourraient courir un plus grand risque sont celles qui se rendent ou qui travaillent dans une prison, un camp de réfugiés, un refuge pour sans-abris ou un hôpital, ou les voyageurs qui rendent visite à des amis ou à des membres de leur famille.

Le   VIH (virus de l'immunodéficience humaine)   s'attaque au système immunitaire de l'organisme et l'affaiblit, et donne lieu à une maladie chronique progressive appelée le SIDA (syndrome d'immunodéficience acquise).

Parmi les activités à risque élevé, on compte toutes celles où vous êtes en contact avec du sang ou des liquides organiques, c'est-à-dire des rapports sexuels non protégés, l'exposition à des seringues non stérilisées pour la prise de médicaments ou d'autres substances (par exemple, stéroïdes ou drogues) ou l'exposition à des aiguilles non stérilisées pour le tatouage, le perçage corporel ou l'acupuncture.

Services et établissements médicaux

On trouve de bons établissements médicaux à Nairobi, mais la qualité des soins de santé ailleurs au pays peut varier et l’accès peut être très limité. Les établissements médicaux peuvent exiger une preuve d’assurance ou vous demander de payer le traitement à l’avance.

Souscrivez une assurance voyage qui couvre les frais d'hospitalisation à l'étranger et l'évacuation médicale.

Santé et sécurité à l'étranger

À retenir...

La décision de voyager appartient entièrement au voyageur. Le voyageur est également responsable de sa propre sécurité.

Soyez bien préparé(e). Ne vous attendez pas à ce que les services médicaux soient les mêmes que ceux offerts au Canada. Apportez dans vos bagages une   trousse de produits de santé   pour le voyage, en particulier si vous vous rendez dans des zones éloignées des grands centres urbains.

Vous devez vous conformer aux lois locales.

Renseignez-vous sur ce que vous devez faire et sur l’aide que nous pouvons vous apporter en cas d’arrestation ou de détention à l’étranger .

Contrôles d’identité

Vous devez toujours avoir sur vous des pièces d’identité avec photo ou une photocopie du passeport. Les agents de police et les agents d’immigration ont le droit d’exiger une preuve d’identité, de résidence ou un visa valide. Vous devriez coopérer avec les représentants des autorités s’ils vous demandent vos papiers d’identité. Sur demande des autorités, vous devez fournir une preuve de résidence ou un visa valide sans quoi vous pourriez vous faire arrêter ou avoir à payer une amende. Conservez une photocopie de votre passeport en lieu sûr au cas où vous le perdriez ou qu’il vous soit confisqué.

Bénévolat

Il est illégal d’occuper un emploi ou de faire du bénévolat au Kenya sans permis de travail valide Les autorités kényanes appliquent cette loi avec rigueur. Les personnes reconnues coupables de ce délit sont passibles de lourdes amendes, des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à cinq ans et la déportation.

La possession, l’usage et le trafic de stupéfiants sont sévèrement punis. Les personnes reconnues coupables de ces délits sont passibles de peines allant jusqu’à 10 ans d’emprisonnement ou de lourdes amendes. Vous vous exposez également à des amendes et à une peine d’emprisonnement si l’on vous reconnaît coupable de vous être trouvé dans un endroit où il y avait des stupéfiants, même s’ils ne vous appartenaient pas.

La vente d’alcool et la consommation de boissons alcoolisées dans les lieux publics font l’objet de restrictions sévères.

Drogues, alcool et voyages

Consommation de tabac

Il est interdit de fumer dans tous les lieux publics. Les personnes reconnues coupables de cette infraction peuvent se voir imposer d’importantes amendes ou une peine d’emprisonnement.

Faune et flore

Il est formellement interdit d’avoir en sa possession de l’ivoire ou d’autres objets dérivés de la faune ou de la flore, même s’ils ont été achetés en dehors du Kenya. La mise à mort, l’achat, la vente ou l’échange de tout animal sauvage protégé ou de l’une de ses parties sont interdits par la loi. Les contrevenants peuvent être arrêtés et se voir infliger de longues peines d’emprisonnement et de lourdes amendes.

Photographie

Il est interdit de photographier des édifices gouvernementaux, des ambassades et des missions étrangères (y compris le haut-commissariat du Canada), des aéroports, des installations militaires ou d’autres lieux critiques, sous peine d’arrestation ou de détention.

Articles illégaux ou réglementés

Sacs de plastique.

Il est interdit d’utiliser, de produire et d’importer des sacs de plastique, y compris les sacs à ordures et les sacs de magasinage. Les contrevenants, y compris les touristes, s’exposent à de très lourdes amendes (jusqu’à 40 000 USD), à des peines d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 2 ans, ou les deux.

Interdiction d’utiliser des sacs de plastique

Le vol récréatif et commercial des drones est strictement réglementé.

Vous devez demander l'autorisation de l'Autorité de l'aviation civile du Kenya avant votre arrivée.  Si vous ne vous n’obtenez pas l’autorisation requise, vous risquez une amende et votre drone peut être confisqué.

Systèmes aériens sans pilote (drones) – Autorité de l’aviation civile du Kenya (en anglais)  

Armes à feu

Pour porter des armes à feu, il faut obtenir un permis des autorités locales avant d’entrer dans le pays. Les armes à feu sont strictement interdites dans les réserves fauniques et les parcs nationaux.

Matériel pornographique

La possession de matériel pornographique est interdite.

Personnes 2ELGBTQI+

La loi du Kenya interdit les actes sexuels entre personnes de même sexe. Les contrevenants s’exposent à de longues peines d’emprisonnement.

Bien que les condamnations de ce genre soient plutôt rares, les membres de la communauté 2ELGBTQI+ sont régulièrement harcelés par la police, et la discrimination sociale fondée sur l’orientation sexuelle est un phénomène répandu.

Les personnes 2ELGBTQI+ doivent peser soigneusement les risques que comporte un voyage au Kenya.

Les voyages et votre orientation sexuelle, votre identité de genre, votre expression de genre et vos caractéristiques sexuelles

Double citoyenneté

La double citoyenneté est légalement reconnue au Kenya.

Si vous avez à la fois la citoyenneté canadienne et celle Kenyan, nous pourrions être limités dans notre capacité à vous offrir des services consulaires pendant que vous y êtes. Les exigences d’entrée et de sortie peuvent aussi être différentes dans votre cas.

Citoyen ou citoyenne à double citoyenneté

Enlèvement international d'enfants

La Convention de La Haye sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants est un traité international. Elle peut aider les parents à obtenir le retour de leurs enfants lorsque ceux-ci ont été déplacés ou retenus dans certains pays en violation d'un droit de garde. Elle ne s'applique pas entre le Canada et le Kenya.

Si votre enfant a été déplacé ou est retenu illicitement au Kenya par un parent ravisseur :

  • agissez le plus vite possible;
  • consultez un avocat au Canada et au Kenya afin d'envisager toutes les options juridiques possibles pour le retour de votre enfant;
  • informez le bureau du gouvernement du Canada à l'étranger le plus proche ou l'Unité consulaire pour les enfants vulnérables d'Affaires mondiales Canada en communiquant avec le Centre de surveillance et d'intervention d'urgence.

Si votre enfant a été déplacé depuis un pays autre que le Canada, consultez un avocat pour déterminer si la Convention de La Haye s'applique.

Prenez note que les agents consulaires canadiens ne peuvent pas intervenir dans vos affaires juridiques privées ou dans le processus judiciaire de l'autre pays.

  • L'enlèvement international d'enfants : Un guide à l'intention des parents concernés
  • Enfants et voyage
  • Ambassades et consulats du Canada par destination
  • Demander de l'aide d'urgence

Conduite automobile

Les véhicules roulent à gauche.

Lorsque vous conduisez, vous devez toujours avoir avec vous :

  • votre permis de conduire valide;
  • les documents d’immatriculation du véhicule;
  • une preuve d’assurance valide;
  • un certificat d’inspection valide.

Vous devez présenter ces documents sur demande à l’agent de police.

Il faut avoir au moins 18 ans pour conduire un véhicule automobile privé au Kenya.

Vous pouvez vous servir de votre permis de conduire canadien pendant une période maximale de 90 jours à partir de la date de votre arrivée au Kenya.

Un permis de conduire international est accepté à condition qu’il soit accompagné de l’original de votre permis canadien.

Si vous êtes résident du Kenya, vous pouvez demander un permis de conduire kényan en présentant la preuve que vous détenez un permis de conduire canadien valide.

Pour que votre permis canadien soit accepté, il doit être libellé en anglais ou accompagné d’une traduction certifiée que vous présenterez sur demande.

Tout véhicule automobile privé doit avoir à son bord deux triangles de signalisation d’urgence.

Si un policier vous arrête pour une infraction au Code de la route, il peut vous demander de payer l’amende sur-le-champ. Toutefois, il n’est pas autorisé à accepter de l’argent comptant sans vous remettre un reçu officiel. Si vous n’êtes pas d’accord avec la contravention, vous pouvez vous prévaloir de vos droits. L’agent devrait vous indiquer à quel moment et à quel endroit vous devez vous présenter pour clarifier les choses et régler votre situation. Vous pouvez donc suivre cette procédure.

Permis de conduire international

Faites preuve de bon sens et de discrétion dans votre tenue vestimentaire et votre comportement, en particulier dans la région côtière, où la majorité de la population est musulmane.

Pour ne pas froisser les habitants :

  • habillez-vous sobrement;
  • comportez-vous de façon discrète;
  • respectez les traditions sociales et religieuses.

En 2025, le mois lunaire du ramadan devrait commencer autour du 28 février.

En public, entre le lever et le coucher du soleil, soyez discret au moment de :

La devise est le shilling du Kenya (KES).

Les guichets automatiques bancaires sont nombreux.

Les cartes de crédit sont acceptées dans les principaux hôtels, mais pas toujours dans les régions reculées.

Bon nombre de banques et d’hôtels changent les devises étrangères. Il est également possible de reconvertir vos shillings du Kenya en devises étrangères à l’aéroport, au moment de votre départ.

M-PESA est une méthode courante de transfert électronique de fonds acceptée dans l’ensemble du Kenya, y compris dans les parcs nationaux. Ces derniers refusent tout paiement en espèces et acceptent habituellement les paiements par carte de crédit. Toutefois, il arrive qu’en raison de problèmes techniques, seuls les paiements effectués au moyen du système M‑PESA sont acceptés.

Les voyageurs qui apportent au Kenya une somme équivalant à 5 000 $ US ou plus doivent fournir des documents indiquant la source de ces fonds et ce à quoi ils sont destinés.

Saisons des pluies et sécheresses

Le danger naturel le plus répandu au Kenya est la sécheresse, qui touche principalement les régions de l’est et du nord-est du pays, la région côtière et certaines parties de la vallée du Rift.

Le Kenya connaît généralement deux saisons des pluies : l’une s’étend d’octobre à novembre, et l’autre, de la fin mars à la mi-juin. Les inondations saisonnières et les coulées de boue peuvent nuire aux déplacements par voie terrestre et à la prestation des services essentiels. Les routes peuvent devenir impraticables et les ponts, subir des dommages.

Si vous vivez ou voyagez dans les zones touchées :

  • faites preuve de prudence;
  • surveillez les médias locaux et les bulletins météorologiques;
  • suivez les directives des autorités locales.

Volcans et tremblements de terre

L’activité volcanique et sismique dans la région peut entraîner des catastrophes naturelles. Bien qu’aucun incident n’ait été signalé récemment, prêtez attention à tous les avertissements.

Services locaux

Il n’existe pas de numéro centralisé fiable pour accéder aux services d’urgence. Faites les recherches nécessaires et ayez sur vous les coordonnées de la police et des établissements médicaux locaux.

Aide consulaire

Pour obtenir de l'aide consulaire d'urgence, communiquez avec le  Centre de surveillance et d'intervention d’urgence  à Ottawa.

Burundi, Ouganda, Rwanda, Somalie, Soudan du Sud

Pour obtenir de l'aide consulaire d'urgence, téléphonez au haut-commissariat du Canada au Kenya, à Nairobi et suivez les instructions qui vous seront données. À tout moment, vous pouvez aussi communiquer avec le Centre de surveillance et d'intervention d’urgence à Ottawa.

Avertissement

La décision de voyager est un choix qui vous appartient, et vous avez la responsabilité de veiller à votre sécurité personnelle à l’étranger. Nous prenons très au sérieux la sécurité des Canadiens à l’étranger et nous diffusons des renseignements fiables et à jour dans nos Conseils aux voyageurs, afin que vous puissiez prendre des décisions éclairées au sujet de vos voyages à l’étranger.

Le contenu de cette page est fourni à titre d’information seulement. Nous faisons tout en notre pouvoir pour vous donner de l’information exacte, mais celle-ci est fournie « telle quelle », sans garantie d’aucune sorte, ni explicite ni implicite. Le gouvernement du Canada n’assume aucune responsabilité et ne pourra être tenu responsable d’aucun préjudice découlant de cette information.

Si vous avez besoin d’aide consulaire à l’étranger, nous ferons de notre mieux pour vous aider. Cependant, certaines contraintes peuvent restreindre la capacité du gouvernement du Canada de fournir ses services.

Renseignez-vous davantage sur les services consulaires canadiens .

Niveaux de risque

  prenez des mesures de sécurité normales.

Prenez les mêmes précautions que celles que vous prendriez au Canada.

  Faites preuve d'une grande prudence

Il y a certaines préoccupations en matière de sécurité et la situation pourrait changer rapidement. Soyez très prudent en tout temps, renseignez-vous dans les médias locaux et suivez les instructions des autorités locales.

IMPORTANT: Les deux niveaux suivants constituent un avertissement officiel du gouvernement du Canada. Ils sont publiés lorsque la sécurité des Canadiennes et des Canadiens voyageant dans une région ou un pays donné ou y habitant peut être compromise.

  Évitez tout voyage non essentiel

Votre sécurité pourrait être compromise. Vous devriez vous demander s’il est nécessaire de vous rendre dans ce pays, ce territoire ou cette région en fonction de vos besoins familiaux ou professionnels, de vos connaissances du pays ou de la région ainsi que d’autres facteurs. Si vous êtes déjà sur place, demandez-vous si vous devez vraiment y être. Dans la négative, vous devriez songer à partir.

  Évitez tout voyage

Vous ne devriez pas vous rendre dans ce pays, ce territoire ou cette région. Votre sécurité personnelle est fortement compromise. Si vous êtes déjà sur place, vous devriez envisager de partir si vous pouvez le faire sans danger.

ETA Kenya: présentation du nouveau système d’autorisation de voyage électronique

Rédigé le 22 décembre 2023

par VisasNews

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Dès le 1er janvier 2024, les visiteurs du monde entier pourront entrer au Kenya sans visa mais devront demander une autorisation de voyage électronique (ETA). VisasNews vous présente en exclusivité cette nouvelle formalité.

Article actualisé le 22/12/2023 à 22h01

Le 12 décembre dernier, le Président William Ruto, a fait une annonce qui a fait grand bruit : le Kenya deviendra un pays sans visa dès janvier 2024 .

Le Kenya ouvrira donc très prochainement ses portes aux voyageurs du monde entier sans exigences de visa électronique (e-Visa) , mais pas sans formalité avant le départ.

En effet, à l’instar des États-Unis avec l’ESTA , du Canada avec l’AVE ou encore de la Corée du Sud avec la K-ETA , le Kenya introduira une autorisation de voyage électronique (ETA) dans les prochains jours . Cette démarche en ligne sera a réaliser avant le départ pour le Kenya par tous les voyageurs.

Ce 22 décembre, le gouvernement kényan a mis en ligne un nouveau portail qui permet de visualiser cette prochaine formalité qui entrera en vigueur le 1er janvier 2024 .

Sur leur portail ETA , les autorités kényanes préviennent que « les demandes d’ETA débuteront le 27 décembre 2023 » et que les voyageurs sont invités à revenir à partir de cette date « pour faire leur demande pour des dates de voyage après le 1er janvier 2024 » .

Pour ceux qui détiendraient un visa électronique Kenya déjà approuvé, le gouvernement précise que « les e-Visas délivrés au plus tard le 31 décembre 2023 seront valables en 2024 » .

VisaNews vous dévoile ici cette nouvelle formalité. Suivez le guide !

Tout savoir sur l’autorisation de voyage électronique (ETA) pour le Kenya

Qu’est-ce que l’autorisation de voyage électronique au kenya (eta) , qui doit obtenir une eta pour le kenya , quand entre en vigueur l’eta kenya , comment demander l’autorisation de voyage électronique au kenya (eta) , la demande d’eta pour le kenya étape par étape, quels documents sont requis pour demander une eta , quel est le prix de l’eta kenya , quel est le délai d’approbation / délivrance de l’eta kenya , quelle est la durée de validité de l’eta kenya , les enfants ont-ils également besoin d’une eta , peut-on demander une eta avant de réserver un voyage , que doit-on faire en cas de refus de l’eta , les avantages du système eta au kenya.

Capture d'écran du portail ETA Kenya

L’ETA Kenya est un système semi-automatisé qui détermine l’éligibilité des visiteurs à voyager au Kenya . L’autorisation obtenue via le portail ne détermine pas si un voyageur est autorisé à entrer au Kenya. Les agents d’immigration détermineront l’admissibilité des voyageurs à l’arrivée dans le pays. Les demandes d’ETA Kenya peuvent être soumises à tout moment avant le voyage, bien qu’il soit recommandé aux voyageurs de postuler dès qu’ils ont réservé leur hébergement et leurs titres de transport (billet d’avion, croisière,…) .

L’ETA est obligatoire pour tous les visiteurs étrangers , à l’exception des citoyens des pays membres de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), à savoir: le Burundi, l’Ouganda, la République Démocratique du Congo, le Rwanda, la Somalie, le Soudan du Sud et la Tanzanie.

Le Département d’État pour l’Immigration annonce que l’autorisation de voyage électronique au Kenya entre en vigueur le 1er janvier 2024 . Les demandes d’ETA peuvent être soumises en ligne à compter du 27 décembre 2023.

La demande d’ETA pour le Kenya peut être soumise depuis le portail gouvernemental: www.etakenya.go.ke .

Dans les prochaines semaines, le gouvernement kényan lancera une application mobile ETA nommée « Kenya Travel Authorisation » .

Si vous envisagez de voyager plusieurs fois au Kenya au cours des prochaines années, les autorités kényanes vous encouragent vivement à télécharger cette future application mobile, celle-ci vous permettra de stocker sur votre téléphone vos données pour les réutiliser lors de futurs déplacements au Kenya.

  • Rendez-vous sur le site www.etakenya.go.ke ou sur l’application mobile « Kenya Travel Authorisation » ;
  • Sélectionnez votre citoyenneté;
  • Insérez une copie numérisée de votre passeport;
  • Téléchargez une copie numérisée de votre photo d’identité ou faites un autoportrait (selfie);
  • Remplissez le formulaire ETA (coordonnées personnelles, profession, but et date du séjour, informations vol et hôtel, déclaration de douane et de santé);
  • Insérez une copie de votre justificatif d’hébergement;
  • Téléchargez votre justificatif de transport
  • Choisissez le délai de traitement souhaité: Standard de 72 heures (31 US$) ou Premium (51 US$)
  • Soumettez votre candidature;
  • Un email accusant réception de votre candidature vous sera envoyé;
  • Un email confirmant la réception du paiement vous sera envoyé;
  • Sur décision de l’agent d’immigration, un e-mail confirmant l’approbation/refus vous sera envoyé;
  • Si votre demande a été approuvée, veuillez imprimer le document PDF qui a été joint à l’e-mail, ou télécharger le document sur votre appareil mobile ou l’enregistrer dans l’application mobile « Kenya Travel Authorisation ». Il s’agit de votre autorisation de voyage qui doit être présentée aux points de départ et d’arrivée;
  • Si votre demande a été refusée, vous ne pourrez pas voyager au Kenya pour le moment. Veuillez contacter [email protected] pour signaler votre situation et obtenir plus de détails;
  • Vous pouvez vérifier l’état de votre candidature à tout moment sur le portail gouvernemental.

Vous n’êtes autorisé à voyager au Kenya qu’après que votre demande d’ETA a été approuvée par le gouvernement.

  • Un passeport valide;
  • Une photo d’identité ou un autoportrait de type « selfie »;
  • Un justificatif d’hébergement (réservation d’hôtel, par exemple);
  • Un justificatif de transport (billet d’avion, par exemple).

En fonction de votre pays de résidence, nationalité et de vos antécédents de voyage, les éléments suivants peuvent également être requis:

  • Actifs financiers/lettre(s) bancaire(s);
  • Certificat de vaccination contre la fièvre jaune;
  • Autres certificats de vaccination ou de résultats de tests.

En fonction du but de votre visite, les éléments suivants peuvent également être requis:

  • Lettre d’invitation de l’entreprise;
  • Copie de l’immatriculation de la société;
  • Lettre d’invitation de la famille/hôte;
  • Carte d’identité / Passeport / Carte d’étranger / Permis d’entrée du membre de la famille / hôte;
  • Contrat de travail;
  • Une lettre officielle du pays d’origine/de l’organisation/des affaires étrangères.

Le prix de l’ETA Kenya dépend du délai de traitement et des avantages souhaités:

  • Votre demande sera traitée en 72 heures, ou moins, sauf si vous êtes citoyen des pays suivants: Afghanistan, Arménie, Corée du Nord, Irak, Liban, Libye, Palestine, Somalie, Syrie, Tadjikistan et Yémen (le délai de traitement est alors de 10 jours ouvrables);
  • Assistance de base;
  • Si votre demande est incomplète, elle sera refusée.
  • Votre demande sera placée en haut de la file d’attente et sera traitée dès que possible;
  • Un agent vous sera dédié pour les requêtes et le support;
  • Une assistance premium, comprenant e-mail, WhatsApp et chat en direct;
  • Flexibilité pour modifier vos dates de voyage si vos projets changent;
  • Si votre demande est incomplète, vous pourrez la compléter.

Le délai de traitement de l’autorisation de voyage électronique au Kenya varie en fonction du type d’ETA et de votre pays de citoyenneté:

  • Le délai de traitement standard est de 3 jours ouvrables ;
  • Le délai de traitement pour les pays suivants est de 10 jours ouvrables: Afghanistan, Arménie, Corée du Nord, Irak, Liban, Libye, Palestine, Somalie, Syrie, Tadjikistan et Yémen.

Les visiteurs souhaitant un traitement plus rapide ou les visiteurs ayant besoin de l’aide des agents doivent demander un service premium.

L’ETA est valable pour un seul voyage au Kenya (entrée unique) et doit être refaite pour chaque trajet supplémentaire. L’autorisation de voyage électronique expire une fois que vous quittez le pays.

Oui , tous les visiteurs étrangers, quel que soit leur âge, doivent demander une autorisation de voyage électronique ETA. Les autorités kényanes recommandent fortement aux familles de postuler en groupe.

Non , les informations de voyage sont une section obligatoire du processus de candidature. Il n’est donc possible de demander l’ETA qu’après avoir réservé votre transport et votre hébergement.

Si votre demande d’ETA est rejetée, vous ne serez pas autorisé à voyager au Kenya pour le moment. Écrivez un message au [email protected] pour signaler votre situation et obtenir plus de détails.

  • L’ETA Kenya permet aux voyageurs de soumettre toutes les informations et documents pertinents dans le confort de leur foyer avant de commencer leur voyage. Les voyageurs peuvent avoir l’esprit tranquille en sachant qu’ils remplissent les conditions requises pour voyager au Kenya.
  • Les voyageurs n’ont plus besoin de remplir de formulaires dans l’avion ou à l’arrivée.
  • L’ETA Kenya profite également aux compagnies aériennes en simplifiant le processus d’enregistrement. Les transporteurs peuvent facilement vérifier que les voyageurs ont été autorisés à voyager par le gouvernement de la République du Kenya et qu’ils sont en possession d’une ETA approuvée.
  • L’ETA Kenya améliore les processus d’arrivée dans le pays en réduisant les files d’attente à l’arrivée pour les inspections sanitaires, douanières et d’immigration.
  • L’ETA Kenya soutient les efforts de la République du Kenya pour numériser ses processus gouvernementaux.

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