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Top 10 des meilleurs films de Tom Cruise et sa filmographie complète

Le 03/02/2024 à 17:30 par Corentin Marouby

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Tom Cruise s'est imposé comme une figure incontournable du cinéma hollywoodien contemporain à travers des films phares comme Top Gun et surtout la saga Mission Impossible . C'est pourquoi Télé-Loisirs vous propose un classement totalement subjectif de ses meilleurs films.

Les 10 meilleurs films de Tom Cruise

Avec Brad Pitt et Leonardo DiCaprio (dont vous pouvez découvrir ici le top 10 de ses meilleurs films et sa filmographie complète) , Tom Cruise est certainement l'une des dernières grandes vedettes du cinéma hollywoodien contemporain. Un visage connu de tous et difficilement oubliable tant il a marqué le grand écran par ses prestations charismatiques, et surtout ses nombreuses cascades dans la saga Mission Impossible , mais aussi dans Top Gun (dont le personnage de Maverick est inspiré d'un vrai pilote). Néanmoins, la star de 61 ans n'excelle pas uniquement dans ses capacités à sauver le monde, capitalisant également de nombreux rôles dans des registres plus dramatiques comme Né un 4 juillet , Rain Man … pour ne citer qu'eux ! Télé-Loisirs vous propose donc un top 10 pas très objectif de ses meilleurs films.

N°1 - Minority Report, de Steven Spielberg (2002)

145 minutes - science-fiction

Washington, 2054. Hanté par la disparition de sa femme et de leur fils, John Anderton dirige depuis six ans l’unité Précrime, un programme de police expérimental destiné à prévoir et empêcher les crimes susceptibles d’être commis grâce aux prophéties de trois mutants, les Précogs. Alors qu’un référendum va être organisé pour déployer le programme dans tout le pays, ces derniers désignent John Anderton lui-même comme le futur assassin d’un certain Leo Crow, qu’il ne connaît pas, dans moins de 36 heures. Son arrestation étant inévitable, il prend la fuite. En adaptant une nouvelle de Philip K. Dick, Steven Spielberg signe probablement l'un de ses tout meilleurs films, porté par un Tom Cruise envoûtant et au meilleur de sa forme. La star hollywoodienne livre sans doute la prestation la plus mémorable de sa carrière.

N°2 - Rain Man , de Barry Levinson (1988)

133 minutes - comédie dramatique

À la mort de son père, Charlie Babbitt, jeune revendeur de voitures de Los Angeles, se voit déposséder de son héritage. Le défunt père a légué presque toute sa fortune son frère aîné Raymond, dont il ignorait l'existence. Celui-ci est autiste et vit dans un hôpital psychiatrique de Cincinnati. Si l'on garde en tête l'incroyable performance de Dustin Hoffman qui lui a valu l'Oscar du meilleur acteur en 1989, Tom Cruise n'est pas en reste dans le rôle du frère ambitieux mais qui s'humanise progressivement. Ensemble, ils vont nouer une relation fraternelle des plus touchantes. Résultat ? Un très grand film !

N°3 - Mission Impossible , de Brian de Palma (1996)

110 minutes - Action/Espionnage

Jim Phelps, chef d'une équipe commando de la CIA, réunit ses meilleurs éléments, dont sa femme Claire ( Emmanuelle Béart ) et Ethan Hunt, un as du déguisement, pour une mission délicate. Il s'agit, lors d'une réception à l'ambassade des Etats-Unis à Prague, d'arrêter l'espion Golitsyn, venu dérober une disquette contenant les noms de plusieurs agents officiant en Europe centrale. Mais l'opération tourne mal... Comment évoquer la carrière de Tom Cruise en dix films sans mentionner Mission Impossible , premier volet de la saga qui fera de lui une méga star internationale. Le comédien nous démontre toutes ses qualités de cascadeurs hors pair à travers une scène emblématique, celle où il est suspendu à un câble pour pénétrer dans un endroit hypersécurisé. Inoubliable !

N°4 - Collatéral , de Michael Mann (2004)

120 minutes - Action/thriller

Max ( Jamie Foxx ) est chauffeur de taxi à Los Angeles. Une nuit, il prend en charge Annie, procureur stressée, et entame avec elle une conversation au terme de laquelle elle lui remet sa carte personnelle. Puis il conduit Vincent (Tom Cruise), un homme d'affaires qui lui propose d'être son chauffeur jusqu'au matin. Max accepte mais comprend vite que Vincent est un tueur à gages. Il veut alors renoncer à la course. Mais Vincent le contraint à reprendre le volant. Michael Mann, célèbre réalisateur de Heat , livre un thriller percutant et une démonstration de mise en scène, emmenée par un Tom Cruise glacial et qui ne fait pas dans la dentelle. Du grand art !

N°5 - Né un 4 juillet , d'Oliver Stone (1989)

145 minutes - drame

Élevé dans des valeurs patriotiques, Ron Kovic s'engage dans les marines pour partir au Vietnam. Là-bas, il déchante vite devant les atrocités commises. Après avoir tué accidentellement un soldat de son escouade, il est grièvement blessé lors d'une opération. Paralysé des deux jambes, il est rapatrié et découvre que les mouvements pacifistes gagnent le pays. Désespéré, il ne sait comment se ressaisir. Second volet d'une trilogie d'Oliver Stone centrée autour la guerre du Vietnam, il est précédé par Platoon (qui fait partie de notre top sur les meilleurs films de guerre de l'histoire du cinéma) et suivi par Entre ciel et terre. Une œuvre coup de poing, résolument pacifiste et antimilitariste. L'interprétation de Tom Cruise est grandiose en infirme brisé par la guerre et lui a valu une nomination à l'Oscar du meilleur acteur.

N°6 - Mission Impossible : Protocole fantôme , de Brad Bird (2011)

132 minutes - Action/espionnage

À Budapest, l'agent Hanaway est abattu par la tueuse Sabine Moreau. Dans une prison moscovite, des agents libèrent Ethan Hunt, qui avait volontairement disparu. Il lui est expliqué qu'Hanaway a été tué alors qu'il cherchait à récupérer les codes de lancement d'une ogive nucléaire. C'est un terroriste surnommé Cobalt qui les aurait achetés. Pour tenter de découvrir qui il est, Ethan Hunt et son équipe décident d'infiltrer les archives du Kremlin pour récupérer son dossier. Mais alors qu'ils sortent du bâtiment, une bombe détruit la partie nord du Kremlin. Cinq ans après le dernier volet en date, Brad Bird relance la saga de la plus belle des manières à travers un quatrième film musclé, émaillée de séquences marquantes comme l'extraordinaire ascension de la Burj Khalifa de Dubaï, effectuée par Tom Cruise .

N°7 - Top Gun, de Tony Scott (1986)

110 minutes - action

Le lieutenant Pete Mitchell, dit Maverick, est un pilote de chasse hors pair et une vraie tête brûlée. Il apprend qu'il a été choisi pour suivre une formation dans une célèbre école aéronavale de Californie. Maverick s'y distingue par son esprit d'indépendance au grand dam de son instructeur, le commandant Mike Metcalf, qui a bien connu son père. Derrière ce divertissement simple mais spectaculaire, rythmé par une bande originale so eighties , la carrière de Tom Cruise décolle et l'élève au rang de star internationale.

N°8 - Le dernier samouraï , de Edward Zwick (2003)

154 minutes/drame historique

En 1876, le capitaine américain Nathan Algren, qui a servi sous le commandement du général Custer, est envoyé au Japon comme conseiller militaire de l'empereur Meiji. Ce dernier veut moderniser son armée au détriment de la caste des samouraïs. Lors d'un affrontement avec l'armée impériale, inexpérimentée, les samouraïs capturent Algren. Riche en séquences spectaculaires, cette fresque guerrière séduit par le charisme d'un Tom Cruise qui en impose.

N°9 - Eyes Wide Shut , de Stanley Kubrick (1999)

159 minutes - thriller érotique/drame

William Harford, médecin new-yorkais comblé, et sa femme Alice se rendent à une soirée chez leur ami Victor Ziegler. Là, Alice danse avec Sandor Szavost, un séducteur hongrois. Par la suite, elle avoue à son mari qu'elle a été tentée de le tromper. Commence alors pour lui une errance nocturne avec le sexe pour préoccupation essentielle. Oscillant entre rêve et réalité, ce film testament de Kubrick se révèle superbement baroque, mystérieux et magnétique. Au casting ? Tom Cruise et Nicole Kidman , en couple à la ville à cette époque, y sont envoûtants.

N°10 - Entretien avec un vampire , de Neil Jordan (1994)

123 minutes - fantastique

À San Francisco, dans les années 1990, Daniel Malloy, un jeune journaliste, réalise l'interview de Louis, un vampire vieux de deux siècles. Malloy écoute avec attention Louis raconter sa vie. En 1791, à La Nouvelle-Orléans, alors qu'il songe au suicide, il rencontre Lestat, un vampire qui le transforme en créature de la nuit. Un film sensuel, envoûtant et somptueusement désenchanté. Dans cette adaptation du roman éponyme d'Anne Rice, Tom Cruise y livre une performance ahurissante d'intensité et donne magnifiquement la réplique à Brad Pitt, s'il vous plaît !

Filmographie de Tom Cruise

  • Un amour infini (1981) de Franco Zeffirelli : Billy
  • Taps (1981) de Harold Becker : David Shawn
  • Outsiders (1983) de Francis Ford Coppola : Steve Randle
  • American Teenagers (1983) de Curtis Hanson : Woody
  • L'Esprit d'équipe (1983) de Michael Chapman : Stefen « Stef » Djordjevic
  • Risky Business (1983) de Paul Brickman : Joel Goodson
  • Legend (1985) de Ridley Scott : Jack
  • Top Gun (1986) de Tony Scott : Pete « Maverick » Mitchell
  • La Couleur de l'argent (1986) de Martin Scorsese : Vincent Lauria
  • Cocktail (1988) de Roger Donaldson : Brian Flanagan
  • Young Guns (1988) de Christopher Cain : (caméo)
  • Rain Man (1988) de Barry Levinson : Charlie Babbitt
  • Né un 4 juillet (1989) d'Oliver Stone : Ron Kovic
  • Jours de tonnerre (1990) de Tony Scott : Cole Trickle
  • Horizons lointains (1992) de Ron Howard : Joseph Donnelly
  • Des hommes d'honneur (1992) de Rob Reiner : le lieutenant Daniel Kaffee
  • La Firme (1993) de Sydney Pollack : Mitch McDeere
  • Entretien avec un vampire (1994) de Neil Jordan : Lestat de Lioncourt
  • Mission impossible (1996) de Brian De Palma : Ethan Hunt
  • Jerry Maguire (1996) de Cameron Crowe : Jerry Maguire
  • Eyes Wide Shut (1999) de Stanley Kubrick : Bill Harford
  • Magnolia (1999) de Paul Thomas Anderson : Frank T. J. Mackey
  • Mission impossible 2 (2000) de John Woo : Ethan Hunt
  • Stanley Kubrick : Une vie en image (2001, documentaire) de Jan Harlan : le narrateur
  • Vanilla Sky de Cameron Crowe (2001) : David Aames
  • Station spatiale (2002) de Toni Myers : le narrateur
  • Minority Report de Steven Spielberg (2002) : John Anderton
  • Austin Powers dans Goldmember (2002) de Jay Roach : lui-même, en Austin Powers
  • Le Dernier Samouraï d'Edward Zwick (2003) : le capitaine Nathan Algren
  • Collatéral (2004) de Michael Mann : Vincent
  • La Guerre des mondes (2005) de Steven Spielberg : Ray Ferrier
  • Mission impossible 3 (2006) de J. J. Abrams : Ethan Hunt
  • Lions et Agneaux (2007) de Robert Redford : le sénateur Jasper Irving
  • Walkyrie (2008) de Bryan Singer : le colonel Claus von Stauffenberg
  • Tonnerre sous les tropiques (2008) de Ben Stiller : Les Grossman
  • Night and Day (2010) de James Mangold : Roy Miller
  • Mission impossible : Protocole Fantôme (2011) de Brad Bird : Ethan Hunt
  • Rock Forever (2012) d'Adam Shankman : Stacee Jaxx
  • Jack Reacher (2012) de Christopher McQuarrie : Jack Reacher
  • Oblivion (2013) de Joseph Kosinski : Jack Harper
  • Edge of Tomorrow (2014) de Doug Liman : le major Bill Cage
  • Mission impossible : Rogue Nation (2015) de Christopher McQuarrie : Ethan Hunt
  • Jack Reacher : Never Go Back (2016) d'Edward Zwick : Jack Reacher
  • La Momie (2017) d'Alex Kurtzman : Nick Morton
  • Barry Seal : American Traffic (2017) de Doug Liman : Barry Seal
  • Mission impossible : Fallout (2018) de Christopher McQuarrie : Ethan Hunt
  • Top Gun : Maverick (2022) de Joseph Kosinski : Pete « Maverick » Mitchell
  • Mission impossible : Dead Reckoning, partie 1 (2023) de Christopher McQuarrie : Ethan Hunt
  • Mission impossible (1996) de Brian De Palma
  • Without Limits (1998) de Robert Towne
  • Mission impossible 2 (2000) de John Woo
  • Les Autres (producteur exécutif, 2001) d'Alejandro Amenábar
  • Vanilla Sky (2001) de Cameron Crowe
  • Minority Report (2002) de Steven Spielberg
  • Narc (producteur exécutif, 2002) de Joe Carnahan
  • Le Dernier Samouraï (2003) d'Edward Zwick
  • Le Mystificateur (producteur exécutif, 2003) de Billy Ray
  • Suspect Zero (2005) d'E. Elias Merhige
  • Rencontres à Elizabethtown (2005) de Cameron Crowe
  • Mission impossible 3 (2006) de J. J. Abrams
  • Demande à la poussière (2006) de Robert Towne
  • Lions et Agneaux (producteur exécutif, 2007) de Robert Redford
  • Course à la mort (2008) de Paul W. S. Anderson
  • Walkyrie (2008) de Bryan Singer
  • Mission impossible : Protocole Fantôme (2011) de Brad Bird
  • Jack Reacher (2012) de Christopher McQuarrie
  • Oblivion (2013) de Joseph Kosinski
  • Mission impossible : Rogue Nation (2015) de Christopher McQuarrie
  • Jack Reacher: Never Go Back (2016) d'Edward Zwick
  • Mission impossible : Fallout ( 2018) de Christopher McQuarrie
  • Top Gun : Maverick (2022) de Joseph Kosinski
  • Mission impossible : Dead Reckoning, partie 1 (2023) de Christopher McQuarrie

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Top 20 des films de Tom Cruise, de Top Gun à Mission Impossible, et où les regarder

tom cruise film de guerre

Aurélien Bouron

Journaliste chez JustWatch

Tom Cruise est sans conteste l’une des plus grandes stars de Hollywood. L’acteur emblématique a désormais une carrière qui s’étend sur plusieurs décennies. Il est né en 1962 et a fait face à une caméra pour la première fois au début des années 1980. Il s’est rapidement imposé comme l’un des acteurs les plus bankables et les plus talentueux de sa génération. Il multiplie les performances dans des films à très haute intensité, et a la réputation d’avoir un engagement total pour chaque rôle qu’il incarne. Passionné de cascade, il n’hésite pas à prendre de très grands risques pour qu’une scène soit le plus réaliste possible. Cette dévotion lui a valu le respect de ses pairs et des spectateurs. 

L’acteur a marqué l’histoire du cinéma avec des rôles emblématiques comme Maverick, dans “ Top Gun ”, Ethan Hunt dans “ Mission : Impossible ” ou encore Jerry Maguire dans le film éponyme. On a aussi adoré le voir dans “ Le Dernier Samouraï ”, ou “ Edge of Tomorrow ”. 

La liste des films de Tom Cruise est une véritable rétrospective de sa carrière exceptionnelle. Chaque film de ce top 20 met en évidence sa polyvalence en tant qu’acteur et son talent pour donner vie à des personnages mémorables.

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Mission : Impossible - Fallout

IMDB

Les meilleures intentions finissent souvent par se retourner contre vous… Dans MISSION : IMPOSSIBLE – FALLOUT, Ethan Hunt accompagné de son équipe de l’IMF – Impossible Mission Force et de quelques fidèles alliées sont lancés dans une course contre la montre, suite au terrible échec d’une mission.

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Mission : Impossible - Dead Reckoning Partie 1

Ethan Hunt et son équipe de l’IMF se lancent dans leur mission la plus périlleuse à ce jour : traquer une effroyable nouvelle arme avant que celle-ci ne tombe entre de mauvaises mains et menace l’humanité entière. Le contrôle du futur et le destin du monde sont en jeu. Alors que les forces obscures de son passé ressurgissent, Ethan s’engage dans une course mortelle autour du globe. Confronté à un puissant et énigmatique ennemi, Ethan réalise que rien ne peut se placer au-dessus de sa mission - pas même la vie de ceux qu’il aime.

Top Gun : Maverick

Top Gun : Maverick

Après avoir été l’un des meilleurs pilotes de chasse de l'Aéronavale américaine pendant plus de trente ans, Pete “Maverick" Mitchell continue à repousser ses limites en tant que pilote d'essai. Il refuse de monter en grade, car cela l’obligerait à renoncer à voler. Il est chargé de former un détachement de jeunes diplômés de l’école Top Gun pour une mission spéciale qu’aucun pilote n'aurait jamais imaginée. Lors de cette mission, Maverick rencontre le lieutenant Bradley “Rooster” Bradshaw, le fils de son défunt ami, le navigateur Nick “Goose” Bradshaw. Face à un avenir incertain, hanté par ses fantômes, Maverick va devoir affronter ses pires cauchemars au cours d’une mission qui exigera les plus grands sacrifices.

Mission : Impossible - Rogue Nation

Mission : Impossible - Rogue Nation

Ethan Hunt et son équipe s’attaquent désormais à la plus impossible des missions : éliminer le Syndicat, une organisation internationale secrète et sans scrupules. Cette dernière va se révéler aussi puissante que résolue à détruire l’IMF (Impossible Mission Force).

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Après avoir été impliquée dans un complot terroriste mondial, l’agence Mission Impossible est contrainte de cesser ses activités. Le Protocole Fantôme est mis en place : Ethan Hunt et sa nouvelle équipe doivent opérer dans le secret pour blanchir le nom de leur organisation. Aucune aide, aucun contact, isolation totale. Cette mission va s'avérer être la plus dangereuse et la plus intense qu'ils aient eu à remplir.

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Earl Partridge, âgé et malade, va bientôt mourir. Il demande à son fidèle infirmier de retrouver le fils qu'il a jadis abandonné. Sa jeune épouse, qui convoitait sa fortune, devrait se réjouir mais n'y parvient pas. Frank Mackey, jeune gourou cathodique de la séduction masculine, s'est construit un passé et une vie. Mais combien de temps le masque peut-il résister ? Toutes ces vies s'entrecroisent le temps d'une journée comme les autres sous le soleil de la Californie.

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Conviés à une soirée donnée par leur ami Victor Ziegler, le docteur William « Bill » Harford et son épouse Alice font, chacun de son côté, l'objet de tentatives de séduction plutôt osées. L'un et l'autre résistent à la tentation. Cependant, le lendemain, Alice avoue à son mari qu'elle a naguère songé à le tromper et regrette aujourd'hui de ne pas être passée à l'acte. Très ébranlé par cette révélation, William se rend chez une patiente, une jeune femme vulnérable qui vient de perdre son père. Celle-ci, contre toute attente, lui déclare sa flamme. De plus en plus perturbé, il choisit de s'enfuir. Dans la rue, il se fait accoster par une jeune prostituée, Domino, qui l'entraîne chez elle…

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Les 10 meilleurs films de Tom Cruise

tom cruise film de guerre

Par Adam Sanchez

Les 10 meilleurs rôles de Tom Cruise

Iconique, irrésistible, insatiable ou controversé : les adjectifs ne manquent pas pour qualifier Tom Cruise . L’acteur américain est l’une des grandes stars hollywoodiennes qui foulera le tapis rouge du 75 ème Festival de Cannes . Le 18 mai, l’interprète de Pete Mitchell, alias le capitaine Maverick, vient présenter à la Croisette dans Top Gun : Maverick , la suite tant attendue du film culte sorti dans les années 80. Un événement pour les fans mais aussi pour le monde du cinéma qui a longtemps patienté, pandémie oblige, avant d’accéder à un tel spectacle dans les salles obscures.

Pour le public, il faudra encore attendre jusqu’au 25 mai pour découvrir le blockbuster sur les écrans mais cette sortie événement nous a donnés envie chez GQ de faire la liste des 10 performances les plus marquantes de Tom Cruise au cinéma. D’Ethan Hunt dans la franchise Mission: Impossible à l’inquiétant Vincent dans Collatéral , les grands rôles ne manquent pas pour résumer la carrière impressionnante de celui qui fêtera son 60 è anniversaire en juillet prochain.

Pete Mitchell dans Top Gun (1986)

Après des rôles remarqués chez Francis Ford Coppola ( Outsiders ) ou dans Risky Business , Tom Cruise devient officiellement une star hollywoodienne en 1986 avec Top Gun de Tony Scott. Dans ce film d'action, il incarne Pete Mitchell, alias “Maverick”, un pilote d'avion impétueux qui travaille à devenir un chevalier de renom. Carton absolu au moment de sa sortie (357 millions de dollars de recettes dans le monde pour un budget de 15 millions), Top Gun inscrit Tom Cruise comme le futur grand héros du cinéma d'action américain en même temps qu'un sex-symbol. Ce n'est assurément pas le meilleur film de sa longue filmographie mais cela reste un jalon important de sa carrière.

Ron Kovic dans Né un 4 juillet (1989)

En 1990, Tom Cruise reçoit sa première nomination à l'Oscar du meilleur acteur pour sa prestation remarquable dans Né un 4 juillet . Quelques mois auparavant, la sortie du film avait fait sensation aux États-Unis. Pamphlet contre la Guerre du Vietnam et charge lourde à destination de l'impérialisme états-unien, le long-métrage signé Oliver Stone raconte l'histoire vraie de Ron Kovic, un soldat devenu paraplégique pendant le conflit et qui décide de remettre en cause ses valeurs patriotiques. D'autres acteurs comme Sean Penn ou Nicolas Cage étaient pressentis pour le rôle mais le réalisateur a expliqué avoir choisi Tom Cruise pour casser avec l'image de “golden boy” qu'il s'était construite grâce à Top Gun . “J'ai vu ce gamin qui a tout. Et je me suis demandé ce qui se passerait si une tragédie survenait, si la fortune se refusait à lui. J'ai pensé que c'était une proposition intéressante : qu'arriverait-il à Tom Cruise si quelque chose tournait mal ?”, relata-t-il dans les colonnes du Los Angeles Times . Mission accomplie : la performance de l'acteur dans Né un 4 juillet dévoile une facette plus vulnérable du comédien, qui devient le héros d'une Amérique fragilisée et désespérément en quête d'unité.

Ethan Hunt dans Mission Impossible (1996 à aujourd'hui)

Ce n'est pas une exagération que de dire que Tom Cruise a consacré une grande partie de sa carrière à la franchise Mission: Impossible . Producteur omnipotent et acteur à tout-faire (jusqu'aux cascades les plus dangereuses), l'Américain a transformé Ethan Hunt en personnage quasi-mythologique. Il a fait tourner quelques-uns des réalisateurs les plus inventifs du cinéma d'action : Brian de Palma, John Woo, J.J Abrams, Brad Bird ou encore Christopher McQuarrie. À la fois machine à cash inépuisable et gigantesque bac à sable pour toutes les folies de Tom Cruise, Mission: Impossible reste l'œuvre qu'on cite en première lorsqu'on parle de l'acteur. Et jusqu'à aujourd'hui, alors qu'on attend avec impatience la sortie du septième volet en juillet 2023, on ne s'en lasse toujours pas.

Jerry Maguire dans Jerry Maguire (1996)

On le sait, dans les films, Tom Cruise aime beaucoup se battre, courir dès qu'il le peut et crier aussi fort qu'il le peut. Jerry Maguire remplit ce dernier critère avec un Tom Cruise plus survolté que jamais. L'acteur incarne un agent de sportifs américains qui voit sa vie basculer le jour où il décide de questionner son succès. Licencié de l'entreprise dans laquelle il travaille, il reprend tout à zéro avec la volonté de remettre l'humain au centre du jeu. Entouré par deux acteurs remarquables (Cuba Gooding Jr. et Renée Zellweger), la performance de Tom Cruise a fait date, notamment pour quelques répliques cultes, comme son mythique “Show Me The Money !”. On connaissait le Tom Cruise star du cinéma d'action, grand acteur dramatique, on le découvre ici en acteur comique hors pair.

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Bill Harford dans Eyes Wide Shut (1999)

Francis Ford Coppola, Martin Scorsese , Ridley Scott, Brian de Palma ou Paul Thomas Anderson : Tom Cruise a collaboré avec quelques-uns des plus grands cinéastes américains. En 1999, le comédien passe un cap et tourne aux côtés de Stanley Kubrick pour son ultime film, Eyes Wide Shut . Un tournage marathon dans lequel son épouse de l'époque Nicole Kidman embarque aussi : quinze mois de tournage en terres londoniennes pour satisfaire les désirs très exigeants du réalisateur de Shining . Dans ce film à la frontière du drame conjugal et de l'expérience érotique, Tom Cruise campe un médecin au bord de la folie lorsqu'il apprend que sa femme a eu envie de le tromper quelques mois auparavant. Eyes Wide Shut est aux antipodes du reste de l'œuvre de Stanley Kubrick, d'une extrême mélancolie et plus humain qu'à l'accoutumée. Poussé dans ses retranchements, Tom Cruise offre l'une de ses performances les plus nuancées et fascinantes.

Frank T.J. Mackey dans Magnolia (1999)

Avant de devenir le roi incontesté du blockbuster américain, Tom Cruise s'était offert une performance d'exception dans le Magnolia de Paul Thomas Anderson. Nouveau grand écart dans la carrière de l'acteur qui interprète ici Frank T.J. Mackey, un coach en séduction machiste et grossier qui traine derrière lui de vieux traumatismes d'enfance dont il ne s'est jamais remis. Prestation hautement cathartique pour Tom Cruise, quasi auto-biographique. Au détour d'une scène restée dans les annales, le comédien improvise un long monologue terrassant aux côtés du regretté Jason Robards, qui incarne son père mourant. Une manière pour Tom Cruise d'exorciser un passé douloureux, marqué par une présence paternelle violente.

Nathan Algren dans Le Dernier Samouraï (2003)

En 2003, Tom Cruise enchaîne les succès commerciaux et devient la tête d'affiche d'une grosse production à 140 millions de dollars intitulée Le Dernier Samouraï . En 1876, le capitaine Nathan Algren est recruté en tant que conseiller militaire par l'empire japonais. Sa mission est d'ouvrir le pays au commerce et d'éradiquer la vieille caste de samouraïs. En faisant leur connaissance, l'Américain découvre un autre monde et se retrouve rapidement pris dans un dilemme qui le conduira à remettre son honneur au centre de ses combats. Épique et émouvant, Le Dernier Samouraï a confirmé Tom Cruise dans sa position de superstar de Hollywood. Un film pour lequel l'acteur a pris tous les risques. En plus d'une préparation physique d'un an, à raison de sept heures d'entraînement par jour, l'Américain y réalisait aussi de nombreuses cascades. L'une d'entre elles aurait pu tourner au drame. Installé sur un cheval mécanique, il a failli être décapité lors d'une scène de combat. L'appareil s'est bloqué au moment où Tom Cruise devait basculer en arrière pour éviter un coup d'épée. Le cascadeur japonais Hiroyuki Sanada a réussi à arrêter la lame à seulement quelques centimètres de l'acteur. Plus de peur que de mal.

Vincent dans Collatéral (2004)

Que se passe-t-il quand Tom Cruise, héros ultime du cinéma américain, devient un tueur à gages très méchant pour Michael Mann ? Le résultat s'appelle Collatéral et demeure l'un des films les plus marquants de la carrière de l'acteur. Cheveux grisonnants, costume impeccable, regard imperturbable, l'acteur impressionne dans ce rôle à contre-emploi. Une virée nocturne haletante, avec Jamie Foxx et Jada Pinkett Smith, comme seul le cinéma des années 2000 savait en produire.

Ray Ferrier dans La Guerre des mondes (2005)

En 2005, Tom Cruise est au sommet de sa célébrité. Pour La Guerre des mondes , il devient l'un des acteurs les mieux payés de l'histoire de Hollywood avec un très joli chèque de 100 millions de dollars. Si on se souvient de la sortie du film de Steven Spielberg pour l'improbable interview de la star chez Oprah Winfrey (pendant laquelle il saute partout en hurlant son amour pour sa nouvelle compagne, Katie Holmes), La Guerre des mondes montre surtout un personnage qu'on a rarement vu dans la carrière de Tom Cruise : celui du père de famille lâche, incapable de communiquer avec ses enfants. Terrifiant, le film est sûrement l'un des plus réussis et passionnants de Steven Spielberg (un film catastrophe sur fond d'angoisse post-11 septembre) et la performance de Tom Cruise mérite largement le coup d'œil.

Les Grossman dans Tonnerre sous les tropiques (2008)

On ne pouvait pas finir cette liste sans évoquer sur quelques lignes la performance absolument délirante de Tom Cruise dans Tonnerre sous les tropiques . Dans cette satire mordante de Hollywood signée Ben Stiller, il incarne l'odieux producteur Les Grossman. Métamorphosé avec sa calvitie et ses lunettes, l'acteur est méconnaissable dans un registre grossier et criard. S'il fallait un seul argument pour prouver que Tom Cruise est un grand acteur, on citerait forcément Tonnerre sous les tropiques .

Alors qu’il vient tout juste de fêter son 61 ème anniversaire, Tom Cruise continue de courir sans s'essouffler dans Mission : Impossible - Dead Reckoning, Partie 1 . Pour combien de temps encore ?

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À l'occasion de la sortie de Mission Impossible - Dead Reckoning Partie 1 , GQ a classé les sept films de la franchise portée par l'inépuisable Tom Cruise.

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Tom Cruise adore ces lunettes, un point c'est tout.

Par Zak Maoui

Tom Cruise

tom cruise film de guerre

  • Actualité Films

La Guerre des mondes, ou le grand film d'horreur moderne de Steven Spielberg

  • Science-fiction
  • Catastrophe

Photo Tom Cruise

La Guerre des mondes avec Tom Cruise , Justin Chatwin, Tim Robbins et une jeune Dakota Fanning : pourquoi c'est le film d'horreur ultime du nouveau millénaire, en plus d'être un classique instantané de la SF.

Bien loin des fables E.T. l'extra-terrestre et Rencontres du troisième type , La Guerre des mondes version  Steven Spielberg est un classique de la science-fiction, mais pas que. Parce qu'il se déroule dans une Amérique post-11 septembre où la menace vient de l'intérieur, et sort brutalement du sol pour réduire en poussière la population, le blockbuster avec Tom Cruise se transforme en film d'horreur moderne , avec une poignée de scènes terrifiantes et surtout des images et symboliques puissantes.

Explications pour encore plus apprécier ce chef-d'œuvre.

LA GUERRE DES MONSTRES

À l'origine, il y a Les Guerres des mondes , un livre de H.G. Wells publié en 1897, qui raconte l'arrivée terrifiante d'aliens sur Terre, en suivant le cauchemar d'un narrateur qui vit en Angleterre. Une histoire qui a bouleversé l'imaginaire du public vis-à-vis de la science-fiction , et a donné lieu à de nombreuses adaptations. L'une des plus connues est celle d'Orson Welles qui, en 1938, raconta l'histoire à la radio. Peu importe si le mythe d'auditeurs totalement convaincus par le récit au point d'engendrer une panique générale a été largement exagéré, notamment par une presse écrite alors menacée par la moderne radio : cet épisode a ancré La Guerre des mondes comme un pilier du genre.

Des décennies plus tard, ce seront deux demi-dieux hollywoodiens qui s'empareront des mots de Wells : Steven Spielberg et Tom Cruise. Ravis de leur première collaboration sur  Minority Report  en 2002, adaptation d'un roman de Philip K. Dick, le duo cherche une raison de se retrouver . L'acteur arrive avec trois projets en main alors que le cinéaste tourne  Arrête-moi si tu peux . L'un d'eux est une adaptation de La Guerre des mondes , et les deux hommes se décident en un instant.

Pour le réalisateur, c'est une évidence : il avait acheté lors d'une vente aux enchères une copie de l'adaptation radiophonique d'Orson Welles et avait songé à en faire un film, avant de mettre l'idée de côté face à la sortie d' Independence Day  de Roland Emmerich.

Photo Tom Cruise, Steven Spielberg

RENCONTRES DU DERNIER TYPE

Pour celui qui a réalisé  Rencontres du troisième type  et  E.T. L'Extra-Terrestre ,  La Guerre des mondes  est une manière de se réinventer dans le genre. Adieux les aliens pacifiques et lumineux : place aux extraterrestres belliqueux, venus sur Terre sans aucune raison que détruire l'humanité. Kathleen Kennedy, collaboratrice fidèle du cinéaste, rappellera en promo qu' E.T. était dans un premier temps un film plus sombre, qui a peu à peu mué en cette fable douce. La Guerre des mondes devient alors un rendez-vous depuis longtemps repoussé pour Spielberg, qui décrira la superproduction comme son premier " film d'aliens où il n'y a ni amour ni tentative de communication ".

L'action du roman est naturellement déplacée aux Etats-Unis dans un contexte moderne, à la fois pour d'évidents impératifs de blockbuster hollywoodien, mais également pour illustrer au mieux le climat de l'Amérique d'alors. "Nous vivons sous un voile de peur sous lequel nous n'étions pas avant le 11 septembre. Il y a eu un changement émotionnel dans les consciences du pays ", dira le cinéaste à USAToday à la sortie du film, sur lequel plane le spectre d'une catastrophe urbaine qui recouvre les peaux d'une poussière mortifère. Ce n'est pas anodin si les enfants du héros demandent dès le début de l'horreur s'il s'agit de terroristes, qu'un avion se crashe plus tard sur le décor, et que l'armée est si omniprésente.

Photo Tom Cruise

Parmi les autres changements par rapport à H.G. Wells, il y a la disparition de vaisseaux surgis de l'espace (d'immenses objets cylindriques), remplacés ici par une menace enfouie dans le sol, sous le goudron des villes. Une manière pour Spielberg de sortir des chemins trop balisés du genre , mais également d'insister sur la nature trop familière du danger, qui ne vient non plus d'ailleurs (de Mars dans le livre), mais qui ressort sous les pieds de la civilisation, cachée sous un bitume et prête à surgir au beau milieu de la population. Un choix qui soulève également de fascinantes et terrifiantes questions sur ces aliens, venus sur Terre par le passé pour s'y cacher, en attendant le moment opportun pour se réveiller.

C'est Josh Friedman qui écrira le scénario, lequel sera repris par le célèbre David Koepp, scénariste notamment de  Jurassic Park  et sa suite Le Monde perdu  de Steven Spielberg et  Mission : Impossible  avec Tom Cruise.

Photo Tom Cruise

IL FAUT SAUVER LA FAMILLE FERRIER

Le vélo d'Elliott devant la lune dans E.T. L'Extra-Terrestre , François Truffaut et les notes de musique du vaisseau alien de Rencontres du troisième type , la première vision majestueuse des dinosaures dans Jurassic Park , l'imaginaire qui remplit les assiettes dans  Hook  : Steven Spielberg a offert de nombreuses images sensationnelles du côté du merveilleux. Il a aussi marqué l'inconscient collectif avec  Les Dents de la mer , ou dans une moindre mesure quelques scènes choc comme la mort terrible de Donovan dans  Indiana Jones et la dernière croisade .

Avec  La Guerre des mondes , il franchit un cap dans le domaine de l'horreur absolue. Dès lors que l'attaque est lancée, le film se transforme en odyssée cauchemardesque inouïe, d'une violence extrême, où le héros n'a d'autre option que celle de fuir, sans réfléchir avec autre chose que le plus simple instinct. Réduit au statut de petite créature qui ne peut que se cacher en attendant que la plus grosse bête ne le retrouve, il incarne une certaine idée du anti-héros hollywoodien, grand môme qui s'amuse du danger sous les yeux terrifiés de sa fille, avant de se cacher sous une table avec elle.

Bien sûr, la trajectoire sera classique, le cauchemar lui permettant de regagner un peu d'humanité et de maturité, mais Spielberg lui refusera le vrai happy end final, le laissant dans la rue face à l'image parfaite de la famille qu'il a perdue, avec l'illusion d'un réconfort presque absurde lorsqu'il retrouve son fils. Que la superstar Tom Cruise incarne cet homme lessivé, dépassé par ses responsabilités de père et les événements apocalyptiques, enfonce le clou. 

Photo Tom Cruise, Tim Robbins, Dakota Fanning

Dans ce décor d'apocalypse d'une pureté tétanisante, Steven Spielberg  déploie une mise en scène fantastique . La première attaque du tripod qui vaporise les habitants paniqués et souffle les maisons, la fuite dans la voiture en plan-séquence étourdissant, la découverte de la zone du crash de l'avion : le cinéaste aligne les morceaux d'anthologie, aidés par ses fidèles collaborateurs Janusz Kaminski à la photo, Michael Kahn au montage et John Williams à la musique.

Qu'un train sorti des enfers file à travers la nuit, qu'une vague de cadavres apparaisse sous les yeux de Rachel, qu'une horde de gens paniqués s'attaque à la voiture des héros (dont un homme qui déchire le pare-brise mains nues et ensanglantées), que des vêtements tombent du ciel sur un paysage désolé ou que Ray découvre au sommet d'une butte un territoire ravagé et rouge, et  La Guerre des mondes  offre une certaine idée de l'horreur pure, celle-là même qu'on peut reconnecter à la réalité de notre histoire collective - de la Shoah au 11 septembre.

Quand on se souvient que H.G. Wells établissait explicitement un parallèle entre l'invasion des Martiens et le colonialisme britannique dans son histoire, le miroir moderne construit par Spielberg est plus que logique.

Photo Tom Cruise

Et si le film souffre de quelques fausses notes (la partie avec Tim Robbins qui abîme le rythme et pousse un peu loin la suspension d'incrédulité quant à l'intelligence des aliens, la fin assez proche du roman qui dénote après la violence du récit ou encore quelques effets qui manquent de finesse avec le regard d'aujourd'hui), il conserve une puissance folle, des années après. Une puissance qui va bien au-delà des mots et du genre du film catastrophe et d'invasion alien , pour s'ancrer profondément dans l'imaginaire primitif du spectateur du XXIème siècle.

La Guerre des mondes  demeure ainsi l'un des films les plus percutants de Steven Spielberg, et un sommet en terme de spectacle hollywoodien et de réflexion sur son époque. 

Tout savoir sur La guerre des mondes

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P.-S. : En parlant de fin, on peut même considérer qu'Independance Day avait pompé la sienne sur celle de La Guerre des Mondes d'ailleurs ! Implanter un "virus" informatique dans le vaisseau mère, y'aurait comme du cousinage, non ? :)

tom cruise film de guerre

@Fox Excellente analyse:)

@cmtdp Rappeler Asimov et Clarke est toujours de bon goût ! Disons que j'essayais d'apporter une nuance mais je comprends votre propos sur le côté "daté" (du livre encore une fois). A la sortie du film, la fin a donné lieu à un dialogue de sourds, entre les pros et les antis : "Elle est pourrie cette fin. Alors comme ça, les extra-terrestres meurent d'un coup, tout seuls comme des c*** ? Sans guerre ni rien ?! - Oui, c'est le propos. L'humain n'y pouvait rien et c'est la nature qui a été "cruelle". - Mais c'est complètement tiré par les cheveux ! - En même temps, la fin du bouquin est identique... - Et bah elle est nulle quand même !!!" En fait, il y a plusieurs reproches à travers ça. - Le côté "anti-spectaculaire" de la défaite : ils meurent malades, sans explosion, rien. - Le côté "soudain" : ça tombe d'un coup, presque comme une facilité d'écriture. - Le côté "les humains ont gagné, mais sans rien faire" : nous sommes tellement abreuvés d'histoires où la victoire se fait les armes à la main que, culturellement, voir des humains fuir (voire s'entretuer !) pour survivre (car le combat est perdu d'avance) et finir par gagner "par hasard" rend cette fin amère. Reprendre un texte pacifiste, un siècle plus tard, en en conservant sa substance SF pour continuer à faire passer son message à un pays/empire effrontément guerrier (en écho à un évènement dramatique vécu sur son sol), c'est quand même un sacré cri d'alarme et une grosse piqûre de rappel. Pas sûr toutefois que le message soit bien passé ceci dit...

@fox pas mal de choses juste dans vos propos, en effet je compare des auteurs d'époques très différentes, Clark a écrit jusqu'au mitan des années 2000 il me semble, C'était plus un conseil de lecture disons! Après quand je dit mal vieilli, c'est plus un constat qu'une critique, le talent de visionnaire de Wells est là, mais de nos jours en tant que lecteur ou spectateur, il peut être dur d'envisager une telle fin (une civilisation pluri millénaire capable de voyager dans l'espace mais dont le projet d'invasion est entièrement décimé par une bactérie), mais comme vous le dites, au regard des 2 dernières années, pourquoi pas après tout ^^

tom cruise film de guerre

Perso je ne trouve pas du tout que le film ait vieillit. Et j'ai toujours apprécié cette fin même si je peux comprendre qu'elle puisse frustrer. Pourquoi ? Parce que ce n'est pas l'Histoire de la guerre du monde, mais l'histoire d'un père de famille qui essaye de sauver ses enfants dans ce contexte de massacre horrible de la part d'E.T envahisseur. On suit Cruise du début à la fin, c'est son point de vue, son histoire, le film n'allait pas devenir une ode à l'armée US pour faire plaisir aux spectateurs. La fin est logique et cette histoire de virus/bactérie est géniale. Aucune incohérence d'ailleurs. Oui les E.T ont analysé la planète il y a des millénaires en prévision de la transformer bien plus tard. Celle-ci était bien différente de celle qu'ils ont retrouvé au moment ou ils envoient leur pilotes, pas les mêmes habitant, les mêmes proportions d'éléments ni de bacteres/virus. De plus en biologie on ne peut jamais connaitre à l'avance ce qu'un environnement étranger peut avoir comme conséquence sur un organisme vivant. Il suffit d'un rien pour tout détraquer. Et une atmosphère compatible n'est qu'un des premiers élément nécessaire. Et d'ailleurs à ce propos, le monologue de fin démontre que la conquête des étoiles, c'est à dire la colonisation de planètes habitables pour l'homme, en plus d'être un horizon inatteignables avec nos technos actuelles (tant qu'on ne sait pas aller aller à la vitesse lumière et/ou hiberner) réservera si elle a lieu sans doute les même mauvaises surprises mortelles que rencontrent ces E.T qui se croyaient très malins. La terre est notre mère à tous, nous y vivions en symbiose jusqu'il y a peu, nous y sommes surement lié à la vie à la mort. On se rend compte maintenant assez tardivement qu'il faut en prendre le plus grand soin, en espérant qu'il n'est pas déjà trop tard ... pour nous. Pour ce qui est de la photo, même si effectivement je l'a trouvais très bruité à l'époque comme pour Minority, je trouve que ça donne un cachet au film.

@cmtdp "Beaucoup de classiques de la SF souffrent d'avoir un peu mal vieilli, logique dans notre société hyper connectée et ou la technologie est partout." C'est un argument qu'on voit assez souvent, je trouve, pour critiquer des œuvres (littéraires, cinématographiques...) et qui ne me convient (convainc ?) qu'à moitié. Dire qu'une œuvre a vieilli, cela peut concerner le fond ou la forme (ou les deux). Ici, j'ai le sentiment que cette critique s'adresse au fond (en gros, un twist "trop gros pour être plausible" et très soudain, à savoir des envahisseurs surpuissants qui se font décimer par... des bactéries terriennes). Quel est le contexte historique à l'époque de l'écriture du roman (toute fin du XIXe) ? Un empire britannique qui, comme beaucoup d'autres pays d'ailleurs, cherche une course effrénée à l'armement pour pouvoir asseoir dans le temps sa domination européenne (voire mondiale). Il y a aussi, dans un autre registre, toutes les découvertes liées aux maladies (les vaccins, l'immunité...). Wells - en bon observateur de son temps et pacifiste qu'il est - nous dit donc une première chose : vous pouvez vous armer autant que vous voulez, il y a fort à parier que vous tomberez sur plus fort que vous dans un avenir proche. La deuxième chose qu'il nous dit - et c'est l'objet du twist final - c'est que même la plus grosse puissance des deux (les Martiens) peut être terrassée par autre chose : l'infiniment petit. Les virus, les bactéries, un environnement inconnu et soudain auquel la constitution physiologique même n'est pas préparée. Pour ces deux raisons, je ne vois finalement pas en quoi le propos de Wells a fondamentalement vieilli. Que ce soit au sujet de l'illusion autour des rapports de forces armées entre belligérants (les deux Guerres Mondiales, entre autres) ou bien sur notre incapacité à prévoir et à maîtriser notre environnement, pourtant familier (au hasard, la panique générale qu'a occasionné le Covid), je trouve sa vision plus juste encore maintenant. "Asimov, dans une moindre mesure C. Clark, s'en sortent mieux de ce point de vue je trouve." J'ajouterai tout de même que Wells publie La Guerre des Mondes en 1898, soit près de 60 ans avant Asimov et Clarke ! Il est presque normal que ces deux auteurs nous paraissent un peu plus proches de nous puisque, de fait, ils le sont en termes de temporalité. Tout - ou presque - était à inventer en cette fin de XIXe siècle ! Dans les années 1950-60, on en était déjà avec l'automatisation des certaines tâches, la bombe atomique et la conquête spatiale. Sans nier leur talent, ils avaient un peu plus de matière pour pouvoir écrire. En réalité, là où je veux bien vous reconnaitre "l'âge" qui se fait sentir, ça serait tout simplement sur le contexte qui est au cœur de La Guerre des Mondes (la technologie de l'époque...). Mais à mon sens, on est presque plus sur la forme au final (et plus vraiment sur le fond).

j'etais alle le voir au cinoche en son temps, puis plus tard je l'ai revu en bluray , hier j'ai remate 20 minutes en zappant, dites donc, hier apres l'intro du film où des intelligences extremement avancés convoitent la Terre depuis le debut et attendent la bonne heure, donc il ya une sequence où Tom est avec ses enfants, il ya les News sur leur Tv, çà dure 20 ou 30 secondes, on y parle d'Ukraine, de collapse des infrastructures, d'EMP etcc, des trucs graves puis on enchaine sur des regions aus USA où les Aliens commencent a fairedu Vilains eheh bon, il ya des trucs en Ukraine actuellment qui se passent, le film est sorti en 2005 pas lol, j'espere que c'est une coincidence purment fortuite, faudrait pas qu'il y ait des Aliens en Ukraine en 2022 eheh, qui a noté cette sequence,? c'est pas etrange? l'autre remarque est technique, ce film là et Minority Report sont penibles a voir car Spielberg et Kaminsky don directeur photo depuis Schindler ont eu l'idee de tripoter mechamment leur film au developement de leur 35 mm de type ""Bleach by pass" avec cette image tres bruitée, c'est presque un carnage sur une ecran 4k avec une diffusion1080P, au cinema le rendu est bon avec ces hautes lumieres vapoteuses contrastee et desaurees mais en numerique cela ne passe pas, presque un carnage;;;

@jamescr J'avoue la fin, si elle faisait sûrement son effet jusqu'à il y qlq décennies, reste un peu comme une déception et ce même à la lecture du livre. Beaucoup de classiques de la SF souffrent d'avoir un peu mal vieilli, logique dans notre société hyper connectée et ou la technologie est partout. Cela faisant que le regard du public change énormément du fait de l'évolution des connaissances. Asimov, dans une moindre mesure C. Clark, s'en sortent mieux de ce point de vue je trouve. Le premier par la maestria avec laquelle il s'empare des thèmes qui l'intéressent, le second car sa hard SF est souvent à l'épreuve du temps en tout cas jusqu'à maintenant ^^.

A tous ceux qui critiquent ce film, retourner voir Independance day, c'est plus dans vos cordes.

Un des rares films où je me suis senti arnaqué à la fin. Déjà, le fils m'a gonflé tout le long. Ensuite, voir la race humaine sur le point de perdre, j'étais content, car trop rare. Ça se termine toujours bien d'habitude. Et là ! LÀ ?! Les aliens meurent presque tous seuls car les maladies du sang ?! Pardon ?! Ils sont là depuis des lustres, nous ont analysés et n'ont pas vu ça ?! Pardon ?! Alors oui c'est la même fin que le livre paraît-il, je me serais senti arnaqué de la même façon.

Couverture Le Point N°2697 - Jeudi 11 avril 2024

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On en a pourtant vu, au cinéma , des lieux emblématiques des États-Unis détruits ou malmenés lors de séquences hallucinatoires – King Kong en haut de l'Empire State Building, une soucoupe volante se posant sur la Maison-Blanche, le Golden Gate Bridge pulvérisé par Godzilla… D'où vient alors que Civil War nous coupe le souffle comme jamais ? Ces chars d'assaut sur la 5 e  Avenue, ce drapeau américain à deux étoiles (les deux États du Texas et de la Californie, qui ont fait sécession), cette Maison-Blanche assiégée par des forces rebelles, ce charnier à ciel ouvert dans un coin paisible de Pennsylvanie… Pourquoi nous atteignent-ils avec tant de force ?

Émeutiers armés

La réponse tient d'abord à l'intuition fondatrice d'Alex Garland. En 2018, hanté par la radicalisation des discours politiques de tous bords, la difficulté à trouver un terrain de discussion commun, aussi bien aux États-Unis où il a tourné ses films ( Ex Machina , Men ) qu'au Royaume-Uni, où il vit toujours, le romancier devenu scénariste ( 28 Days Later et ses mémorables zombies) entame – bien avant, donc, l'insurrection du 6 janvier 2021 au Capitole – l'écriture d'un film autour d'une nouvelle guerre civile américaine .

tom cruise film de guerre

Parce qu'il s'adresse à nous, un public qui a vu deux avions percuter volontairement les tours jumelles du World Trade Center, une star de la téléréalité être élue président des États-Unis et des émeutiers armés prendre d'assaut l'un des symboles jusque-là sacré de la démocratie américaine, point besoin de la fameuse « suspension consentie de l'incrédulité », ce concept de Coleridge qui définit la démarche préalable à toute entrée dans la fiction. La suspension de l'incrédulité, désormais, on vit avec tous les jours. Alors on se laisse convaincre par ces scènes à la fois familières – celles de l'horreur de la guerre – et pourtant inimaginables en principe, quand on les transpose dans le contexte de la plus grande démocratie du monde.

Une station-service gardée par des hommes armés jusqu'aux dents qui ont transformé le garage attenant en chambre de torture. Un parc d'attractions sur le thème de Noël devenu le terrain de jeu d'un sniper. Et puis, dans la séquence la plus impressionnante du film, un soldat qui veut savoir à « quel genre d'Américain » il a affaire avant de décider s'il va ou non lui laisser la vie sauve…

tom cruise film de guerre

Polarisation

Alex Garland, fils de dessinateur de presse, centre son histoire sur une bande de journalistes roulant après le scoop : Joel (Wagner Moura, vu dans la série Narcos ) et la photoreportrice Lee (Kirsten Dunst), deux vieux routiers des zones de conflit ; Sammy (Stephen McKinley Henderson), un ponte du journalisme politique qui travaille pour « ce qui reste du New York Times  » (autant dire pas grand-chose) et enfin Jessie (Cailee Spaeny, la « Priscilla » de Sofia Coppola), une très jeune photographe qui admire Lee et espère en faire son mentor. Le dispositif permet de donner au film la forme et l'allure efficace d'un road-movie, mais il n'est pas seulement formel : « Je voulais absolument montrer des journalistes parce qu'ils sont très attaqués, aussi bien dans leur intégrité physique que dans leur raison d'être , nous explique Alex Garland. C'est d'ailleurs le fait qu'on remette en question la nécessité de leur travail qui mène aux attaques physiques qu'ils subissent. Pourtant, pour avoir un pays libre, il faut une presse libre, c'est une règle absolue. » Les héros du film travaillent à l'ancienne, sans Internet (le réseau est quasi détruit), et sont toujours en mouvement puisqu'ils cherchent à gagner Washington DC, où ils veulent interviewer le président des États-Unis (cerné par les factions rebelles, il se terre dans sa résidence comme dans un bunker).

Ils permettent aussi et surtout d'avoir pour protagonistes des observateurs neutres, une nécessité pour Alex Garland qui refuse de qualifier les forces en présence : « J'avais un récit en tête pour expliquer les événements du film mais je l'ai délibérément laissé de côté. Ce film parle de la polarisation, du fait qu'on impose ses opinions avec un niveau de colère ou de certitude qui ferme complètement la conversation. J'ai donc enlevé tout ce qui pourrait empêcher les gens de prêter attention à ce thème. Soit parce qu'ils se diraient : oui, c'est bon, je comprends, ce film est de mon côté, ça me rassure ; ou bien l'inverse, je déteste ça, je suis contre. Aucune des deux postures ne me convient. »

« Civil War »

L'histoire, celle d'exactions innommables qui se commettent au nom de grands idéaux ou de haines fratricides, serait banale si elle n'avait pour cadre l'Amérique, symbole de la liberté et « de la justice pour tous ». Dans la nouvelle guerre de Sécession imaginée par Alex Garland, deux blocs se font face – des forces fidèles au président, et des États qui ont fait sécession. Pour quelle raison ? Alex Garland brouille les cartes, et tant mieux. Joel (Wagner Moura) et Lee (Kirsten Dunst), deux reporters de guerre mais couvrant le premier conflit qui a lieu dans leur pays, tentent de rejoindre Washington pour interviewer le président, qui multiplie les messages de résistance contre les séparatistes. En chemin, ils enregistrent la déliquescence d'un pays. C'est osé, haletant, puissant. Un film politique qui est aussi un cri d'alerte. Le grand film qu'on attendait sur l'Amérique et ses démons. 

« Civil War », d'Alex Garland. Avec Kirsten Dunst, Cailee Spaeny, Wagner Moura, Nick Offerman… En salle le 17 avril.

Restent cependant quelques indices. On comprend, au détour d'un dialogue, que le président (Nick Offerman) en est à son troisième mandat consécutif (là où la Constitution américaine en autorise deux) et a fait bombarder des civils américains. À ce moment-là, décode Alex Garland, « si vous vous demandiez : est-il de droite ou de gauche ?, vous comprenez que ce n'est pas la question. Ce président est un fasciste, c'est tout » . Ce qui ne signifie pas que les rebelles soient de gentils partisans de la démocratie : tous se rendent coupables de crimes de guerre. Sous nos yeux.

« Je ne me suis pas inspiré d'autres films de guerre , souligne Alex Garland, mais uniquement d'actualités télévisées. La grammaire visuelle du film, et le comportement des gens à l'écran, tout est inspiré d'images réelles, car partout dans le monde il arrive que des États soient déconstruits par la guerre. Ça n'arrive pas qu'à des gens différents. Ça n'a rien d'exceptionnel. Tout le monde risque d'en arriver là. » Et d'ajouter qu'il aurait pu, « avec des changements extrêmement minimes » de scénario, situer son histoire au Royaume-Uni, « un pays épouvantablement polarisé et divisé. Où est-ce que ça nous amène ? Je ne sais pas. Mais on est déjà très avancés dans un certain processus » .

Avec son budget colossal – 50 millions de dollars – et l'ambition de son producteur indépendant A24, Civil War a les atours d'un blockbuster, mais au fond c'est le brûlot d'un homme engagé qui espère encore arrêter l'engrenage fatal. « La fiction dystopique n'empêche jamais rien d'advenir , assure Alex Garland. C'est sans doute un exercice vain. Et en même temps… peut-être pas… Voilà pourquoi je le fais quand même. » Après Civil War , Alex Garland a décidé de ne plus tourner de film. Il compte revenir à la littérature. Sous les obus, la plage ? 

Un écho à l’Amérique d’aujourd’hui

tom cruise film de guerre

E n France, on dit « la guerre de Sécession ». Pour les Américains, c'est «  the Civil War » . Une dénomination qui rend mieux compte de l'abomination qu'a été ce conflit fratricide qui a duré de 1861 à 1865 : environ 750 000 morts, plus que toutes les autres guerres de l'Amérique réunies. Les noms de ses principales batailles sont restés célèbres : Bull Run, la campagne d'Atlanta, Gettysburg… Chaque année, des Américains en costume rejouent ces jours sanglants qu'on pensait appartenir au passé.

Mais voilà que le pays se divise à nouveau : trumpistes contre élites, partisans de l'immigration contre miliciens patrouillant aux frontières, militants pro-IVG contre chrétiens évangélistes… Les extrémistes de tous bords rêvent d'un nouveau Gettysburg. En 2016, c'est dans cette petite ville de Pennsylvanie que Trump livra l'un de ses derniers discours de campagne avant sa victoire surprise contre Hillary Clinton. Quatre ans plus tard, c'est à nouveau sur le champ de bataille le plus célèbre du territoire américain que Biden convoqua « l'âme de la nation » , promettant de mettre à bas « les forces des ténèbres, les forces de la division ».

Or, en 2024, celles-ci paraissent plus vivaces que jamais. Au Texas, certains rêvent de « Texit » (la sortie du Texas de l'Union) ; d'autres, sur la côte Ouest, adhèrent au mouvement « Yes California », qui prône l'indépendance de l'État le plus peuplé et le plus riche de l'Union. Plus inquiétant encore, près d'un Américain sur quatre estime qu'il est de son devoir de « patriote » de recourir à la violence pour « sauver son pays ». Quand on sait qu'aux États-Unis il y a plus d'armes en circulation que d'habitants, la perspective d'une élection présidentielle serrée et d'un résultat contesté fait craindre le pire.

Impossible de ne pas penser au 6 janvier 2021 et à la prise du Capitole en voyant Alex Garland transformer à nouveau les principaux monuments de Washington en théâtres d'affrontements. Le réalisateur britannique se garde bien d'identifier clairement les deux camps qui s'affrontent sur les marches du Lincoln Memorial et jusque dans les appartements privés du président à la Maison-Blanche, même si l'on aperçoit furtivement une carte sur laquelle on devine que la Californie et le Texas se sont coalisés contre les « États loyalistes » et qu'une « alliance floridienne » a fait sécession dans le Sud. Évidemment absurde quand on connaît un peu la politique américaine : les républicains du Texas ont peu de chances de s'allier aux Californiens, l'une des populations les plus démocrates du pays. Mais c'est ce flou sur l'identité et les motivations des insurgés qui, paradoxalement, rend le film plus fort à quelques mois d'une présidentielle sous haute tension. Comme si la géographie ne comptait finalement plus tant que ça dans les divisions de l'Amérique, formulées par ce mercenaire qui met en joue des journalistes lui répétant qu'il doit y avoir erreur, car « nous sommes tous américains » . « Oui , répond le gars surarmé, mais quel genre d'Américains ?  »  JULIEN PEYRON

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Commentaires (10)

Rafan : si il echoue, c’est prison. Problème réglé.

Mbo8131 10-04-2024 • 21h36 Là bas, la police tire dans le tas, pas ici !

@freedom En France, on a eu les "gilets jaunes "... Avec peu de moyens, on a vu les dégâts. Chez l'oncle Sam, une crise de "yellow jackets" équivalente, avec des protagonistes armés jusqu'aux dents ceux-là, ce ne sera pas la même histoire...

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Parfois, il faut refuser des opportunités pour le bien de sa carrière, mais il arrive que ces décisions reviennent nous hanter par la suite. C'est le cas d'un pilote de course très connu, qui a dû décliner une offre de Tom Cruise pour jouer dans "Top Gun : Maverick" et qui regrette amèrement ce choix !

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Le phénomène Top Gun

Cet athlète star regrette d'avoir refusé ce rôle : il aurait pu jouer aux côtés de Tom Cruise au cinéma

Rares sont les personnes qui n'ont jamais entendu parler de Top Gun , le long-métrage qui a propulsé la carrière de Tom Cruise en 1986. Aujourd'hui considéré comme un film culte, Top Gun tire son nom de l'école de combat aérien de la marine américaine où une partie de l'action prend place, et retrace les dernières années de la guerre froide depuis le point de vue de pilotes américains, et tout particulièrement Pete "Maverick" Mitchell à qui Tom Cruise prête ses traits. Maverick doit son nom à son comportement parfois inconscient, comme lorsqu'il décide de venir en aide à Bill "Cougar" Cortell contre les ordres de la hiérarchie.

Même s'il est très doué en tant que pilote, l'attitude de Maverick ne plait pas à tout le monde, et surtout pas aux autres élèves de l'école d'aviation Top Gun . Mais c'est cette conduite qui a su séduire les fans de Tom Cruise , et qui a permis à une suite d'être réalisée il y a quelques années. Malgré les obstacles liés à la pandémie qui ont forcé les producteurs à repousser le film à plusieurs reprises, Top Gun : Maverick a fini par sortir en salles en mai 2022, et Tom Cruise a pu se glisser à nouveau dans la peau d'un Maverick certes un peu plus vieux mais toujours aussi téméraire.

Le rôle d'une (autre) vie

Cet athlète star regrette d'avoir refusé ce rôle : il aurait pu jouer aux côtés de Tom Cruise au cinéma

Dans Top Gun : Maverick , le personnage interprété par Tom Cruise doit former un groupe de jeunes diplômés de l'école d'aviation Top Gun dans le cadre d'une mission spéciale. Parmi les élèves, on retrouve Bradley "Rooster" Bradshaw , le fils de l'ancien navigateur de Maverick joué par Miles Teller ( Divergente , Les Quatre Fantastiques ), mais aussi des personnages comme Jake "Hangman" Seresin (Glen Powell), Natasha "Phoenix" Trace (Monica Barbaro), et Reuben "Payback" Fitch (Jay Ellis), qui devront remplir un objectif à haut risque au terme de leur formation. Mais même si les acteurs choisis ont fait un travail exemplaire, il est difficile de ne pas se demander ce qui aurait pu se passer si Lewis Hamilton avait accepté le rôle proposé par Tom Cruise ...

En effet, il existe un monde où le pilote de F1 britannique aurait pu incarner l'un des jeunes pilotes de l'école Top Gun , mais il ne s'agit malheureusement pas du nôtre. Hamilton s'est lié d'amitié avec Tom Cruise en 2014, quand l'acteur a invité le pilote sur les lieux du tournage de Edge of Tomorrow (un geste tout à fait normal quand on s'appelle Tom Cruise), et les deux hommes ont l'air de plutôt bien s'entendre puisque Cruise a lui-même mis Lewis Hamilton en contact avec Joseph Kosinski , le réalisateur de Top Gun : Maverick , qui a offert un rôle au jeune pilote. Cependant, Hamilton a été contraint de refuser à cause de sa participation au Championnat du monde de Formule 1 en 2018 :

Déjà, je n'avais jamais joué la comédie de ma vie. Et je ne voulais pas être la raison pour laquelle la qualité du film allait baisser. Ensuite, je n'avais vraiment pas le temps à investir. Je me rappelle quand j'ai dû l'annoncer à Joe et Tom – ça m'a brisé le cœur. Et je l'ai regretté, quand ils m'ont montré le film et que je me suis dit : "ça aurait pu être moi" !

Même si Hamilton a fini champion, il garde tout de même un peu d'amertume lorsqu'il pense à ce qui aurait pu se passer s'il avait choisi de jouer aux côtés de Tom Cruise , et ça se comprend. Top Gun : Maverick a tout de même totalisé près de 1,5 milliards au box office mondial, un chiffre astronomique après la pandémie. D'ailleurs, si vous voulez voir (ou revoir) Top Gun : Maverick , sachez qu'il est disponible pour les abonnés Canal+ , mais peut aussi être loué sur Prime Video !

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Civil War : un film de guerre authentique sans sensationnalisme de la violence

・ Civil War explore les conséquences d’une seconde Guerre Civile américaine.

・Le réalisateur Alex Garland s’est inspiré de documentaires et images d’actualité pour le film.

・Garland a travaillé avec des vétérans pour rendre les scènes de combat authentiques.

・Le film évite de romantiser la guerre, préférant montrer sa réalité brutale.

Une seconde Guerre Civile américaine

Le cinéaste Alex Garland nous plonge dans un futur proche avec son film Civil War . Après une seconde Guerre Civile, les États-Unis sont déchirés par de multiples factions. De l’Alliance de la Floride à l’Armée du Nouveau Peuple, en passant par les Forces de l’Ouest, le gouvernement américain se bat sur tous les fronts. Le film suit un groupe de journalistes embarqués au cœur de la guerre, cherchant à rencontrer les leaders de ces factions pour découvrir la vérité.

Le regard d’Alex Garland sur la guerre

Malgré le contexte de guerre omniprésent, Alex Garland ne se concentre pas sur les causes du conflit. Il préfère mettre en avant l’impact de la guerre sur ceux qui la couvrent, ceux qui la font, et sur l’ensemble du pays. Civil War est un avertissement effrayant de ce qui pourrait arriver si les divisions extrêmes aux États-Unis venaient à dégénérer en conflit violent. Les personnages, désabusés, témoignent de la manière dont l’ignorance de cet avertissement peut bouleverser de nombreuses vies.

Une approche réaliste de la guerre

Dans une interview accordée à Screen Rant , Alex Garland a expliqué comment il a abordé les scènes d’action dans Civil War . Il a travaillé avec des vétérans pour rendre le film honnête et authentique. L’objectif était de montrer la réalité de la guerre, sans la glorifier. Les scènes de combat sont inspirées non pas de films de guerre célèbres, mais de documentaires et de reportages d’actualité.

Le réalisateur a collaboré avec l’ancien Navy SEAL Raymond Dose pour rendre les scènes de combat authentiques. Il a laissé à Dose et à d’autres vétérans la liberté de mener l’action comme ils le feraient dans une véritable situation de combat. Cette approche a permis à Garland d’éviter de tomber dans le piège de la romantisation de la guerre, courant dans de nombreux films du genre.

On en pense quoi ?

Le film Civil War d’Alex Garland est une œuvre audacieuse et percutante. Il nous offre une vision réaliste et brutale de la guerre, loin des clichés hollywoodiens. En mettant l’accent sur les conséquences humaines et sociales du conflit, il nous invite à réfléchir aux dangers des divisions extrêmes. Un film à voir absolument pour son approche novatrice et son message fort.

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On a classé les meilleurs rôles de Colin Farrell

par Olivier Joyard

Publié le 11 avril 2024 à 16h28 Mis à jour le 11 avril 2024 à 17h21

tom cruise film de guerre

Colin Farrell dans “Le Nouveau monde” de Terrence Malick (Copyright Metropolitan FilmExport)

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Alors que sa nouvelle série, “Sugar”, est disponible sur Apple TV Plus, retour sur la carrière de l’acteur irlandais, de “Minority Report” à “The Lobster” en passant par “Le Nouveau monde”.

Dans Sugar , sa nouvelle série à voir sur Apple TV Plus, Colin Farrell incarne un détective privé cinéphile qui se réfère constamment aux grands acteurs classiques. Un homme-cinéma, en somme. De quoi nous donner envie de revenir sur une carrière débutée dans les années 2000, durant laquelle l’Irlandais a enchainé blockbusters, tentatives indés et métamorphoses diverses, avec l’assurance d’un acteur majeur. Voyage dans ses neuf meilleurs rôles à nos yeux.

9. Alexandre (2004), d’Oliver Stone

Vingt ans après sa sortie, Alexandre d’Oliver Stone n’est toujours pas un bon film, mais une curiosité post-peplum où Colin Farrell (alors jeune acteur révélé par Joel Schumacher avec Tigerland et Phone Game ) s’affiche blond platine et en jupette. Est-il pour autant queer dans cette épopée qui le voit flirter avec Héphaestion – joué par Jared Leto, tout une époque – et conquérir le monde avec cruauté ? Pas vraiment, malheureusement, sa seule scène de sexe se jouant en mode hétéro. Mais Farrell a le mérite de poser ici le dilemme qui fait de lui un acteur intéressant : une forme de distance entre le trop plein de testostérone et un regard, des attitudes qui laissent penser qu’il ne demande qu’à y échapper.

8. The Lobster (2015), de Yorgos Lanthimos

Débraillé, décoiffé, moustachu, timide : Colin Farrell s’amuse cette fois-ci avec la masculinité contemporaine pour Yorgos Lanthimos, dans ce film-fable qui imagine un monde où des célibataires finissent transformés en animaux s’ils ne trouvent pas l’âme sœur. À l’aise avec le malaise dès la scène d’ouverture de The Lobster , où il répond aux questions intrusives d’une femme sur ses préférences intimes, Farrell trouve ici l’un de ses rôles les plus féroces, tentant d’apporter une épaisseur humaine au regard parfois presque misanthrope du cinéaste. Ils se retrouveront en 2017 avec La Mise à mort du cerf sacré .

7. The Batman (2022), de Matt Reeves

Il aurait pu, à un moment, prétendre incarner Batman. Mais dans sa génération, Christian Bale et Ben Affleck ont décroché le pompon. Colin Farrell a du attendre 2022 et The Batman de Matt Reeves, pour entrer dans la peau… du Pingouin. Tout le contraire d’un beau gosse. Dans cette fresque mélancolique sur nos temps plombés, l’acteur apparait bouffi, enlaidi par des prothèses, seul personnage au grotesque assumé. Son sens du pathétique joue à plein. Sa performance a tapé dans l’œil de HBO, qui lui a offert une série sur la chaîne Max. The Penguin arrive cet automne.

6. Les Proies (2017), de Sofia Coppola

Rarement filmé par des réalisatrices, Colin Farrell interprète pour Sofia Coppola un soldat de la guerre de Sécession accueilli dans une maison bourgeoise paumée dans la campagne, peuplée uniquement de femmes menées par Nicole Kidman. Les longues séances de soin sur le corps amoché mais puissant de Farrell font le sel de ce film par ailleurs un peu trop théorique sur le désir féminin. Scruté de près et souvent maltraité, provoquant le trouble, le comédien y donne de sa personne avec un plaisir évident.

5. True Detective saison 2 (2015), de Nic Pizzolatto

La saison mythique de la série créée par Nic Pizzolatto est plutôt la première , où s’ébrouent Matthew McConaughey et Woody Harrelson en flics hantés et poisseux. Mais on oublie souvent que Colin Farrell a repris le flambeau avec Rachel McAdams et Taylor Kitsch, alors que la série se déplaçait en Californie. En dix épisodes, l’acteur échappe à plusieurs situations dramatiques et traîne un spleen féroce. Son personnage est un ancien addict en proie à une violence fondamentale. Colin Farrell lui-même a effectué plusieurs séjours en “rehab” et dit s’être inspiré de son passé pour le rôle de Ray Velcoro.

4. After Yang (2021), de Kogonada

Dans la veine indé qui lui a valu une certaine reconnaissance (chez Woody Allen avec Le Rêve de Cassandre ou dans Bons Baisers de Bruges de Martin McDonagh), ce film de Kogonada est sans doute le plus émouvant. Colin Farrell joue un père de famille qui adopte un robot avec sa femme, pour que leur première fille adoptive se connecte à ses racines asiatiques. Mais Yang tombe en panne et Jake (Farrell) retrouve le fil des vies antérieures de ce robot trop humain. Un mélo familial qui révèle un aspect peu exploré de son talent.

3. Minority Report (2002), de Steven Spielberg

Si Tom Cruise tient le haut du pavé dans le chef-d’œuvre de Spielberg adapté de Philip K. Dick , Farrell incarne un agent du Département de la Justice réalisant un audit sur le système “precrime”, destiné à arrêter des personnes avant qu’elles ne commettent un crime. L’acteur y est parfait, d’abord d’une arrogance tétanisante, jusqu’à lentement découvrir la vérité sur les failles de la surveillance à tout prix. Un beau personnage moral, à l’élégance hollywoodienne intemporelle.

2. Le Nouveau Monde (2005), de Terrence Malick

“Tel un Dieu, il m’apparaît.” Pocahontas parle ainsi de John Smith, l’homme dont elle est tombée amoureuse, au risque de renier son peuple. Et John Smith, c’est Colin Farrell , d’une fragilité bouleversante, tout entier voué à son personnage (un colon anglais débarqué en Amérique) qui pourrait être conquérant mais se révèle toujours vaincu. Dans la cosmogonie du grand Terrence Malick, il est une pierre, un torrent, un arbre comme les autres, fondu dans le paysage et l’élan romanesque du film avec intensité.

1. Miami Vice (2006), de Michael Mann

Le plus beau film avec Colin Farrell est une odyssée mélancolique à Miami pleine de costards trop larges et de coiffures improbables. Remake au cinéma de la série eighties de Michael Mann, ce Miami Vice en forme de trip nocturne donne l’occasion à l’acteur de déconstruire méthodiquement la figure du héros viril, parvenue à un stade terminal. Comme une pure image perpétuellement modelable, son Sonny Crockett reste dans les mémoires par quelques gestes las, des yeux perdus et un amour tenace du chaos.

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La guerre civile est un puissant film de guerre en réalité alternative qui n’est pas ce qu’il semble

Kirsten dunst et cailee spaeny jouent dans ex machina le dernier-né du réalisateur alex garland..

Kirsten Dunst in Guerre civile.

Les remorques pour Guerre civile , le dernier film d’Alex Garland , donner au public une attente très spécifique de ce qu’ils vont voir. Cela ressemble à un film sur des États-Unis qui sont tellement divisés politiquement, certains États ont fait sécession et le pays est en guerre. Un scénario qui est, clairement, une version cauchemar fictionnalisée de notre présent, où la gauche et la droite américaines se sont tournées vers la violence. Et, d’une certaine manière, Guerre civile c’est ça. Mais ce n’est pas non plus et c’est pourquoi c’est tellement fascinant et spécial.

Écrit et réalisé par Garland (Ex Machina, Annihilation) , Guerre civile il s’agit en effet d’États-Unis qui ne sont plus unis. Des États-Unis en guerre contre eux-mêmes, d’où le titre. Mais un Les principaux combattants de cette guerre sont les forces occidentales. un groupe composé de Californie et du Texas . Maintenant, tout le monde sait que la Californie et le Texas sont peut-être les deux États les plus polaires opposés dans notre climat politique actuel. C’est donc le premier indice Guerre civile Ce n’est pas un conte hollywoodien classique, pro-gauche et anti-droite. Il a un agenda, bien sûr, et cet agenda est certainement plus inclusif qu’autrement, mais Garland indique très spécifiquement que son Amérique n’est pas notre Amérique. Ainsi, peu importe qui est En regardant le film ou ce qu’ils croient, ils peuvent très facilement profiter de l’histoire sans parti pris.

En d’autres termes, le film est aussi objectif que possible, ce qui, ce n’est pas un hasard, est aussi l’idéologie principale des personnages principaux du film : un groupe de journalistes. Kirsten Dunst joue Lee, un célèbre photographe de guerre qui parcourt le pays avec un collègue journaliste nommé Joel, joué par Wagner Moura. Après avoir documenté un acte de violence terrifiant, mais bien trop courant à New York, Lee et Joel décident de faire un voyage. à Washington DC pour tenter d’interviewer le président, joué par Nick Offerman. Son collègue Sammy (Stephen McKinley Henderson) pense que c’est une mauvaise idée. , mais il les accompagne quand même, et ils récupèrent également Jessie (Cailee Spaeny), une photographe en herbe qui voit Lee comme un héros et un mentor.

Spaney et Moura.

Et ainsi, les quatre journalistes quittent New York pour Washington, ce qui représente généralement quatre ou cinq heures de route sans incident. Dans ce monde, cependant, avec tout ce qui se passe à travers le pays, cela devient un voyage beaucoup plus long et plus ardu. Certaines routes sont bloquées. D’autres régions ne le sont pas. En sécurité. Et bientôt, le groupe se rend compte que peu importe la direction dans laquelle ils empruntent, il y a du danger et de la terreur à chaque tournant.

Guerre civile est le film le plus mature d’Alex Garland à ce jour. Alors qu’il met en valeur ses personnages lors de ce road trip, vous pouvez presque le sentir ne pas poussant l’agenda dans un sens ou dans l’autre. Une énergie imprègne le film, comme si Garland voulait dire quelque chose mais tremblait et bourdonnant pour le retenir. Tout comme les héros journalistes continuent de prêcher l’objectivité et l’importance de rapporter les faits, peu importe la situation. Dans ces circonstances, Garland déroule également son récit en conséquence. Lee, Joel et l’équipe abordent chaque situation de la même manière : depuis un lieu de soins et gentillesse. Parfois, cela fonctionne, d’autres fois, cela ne fonctionne pas. Souvent, les choses les plus dangereuses que nous voyons ne sont pas au centre. du cadre. Un bâtiment en feu ici. Un tas de corps là-bas. Et tandis que le dégoût de Joel et Lee pour le président code certainement comme étant sympathiques à la FM, le film ne dit jamais vraiment ce que la FM représente. Nous nous demandons si c’est plus Texas ? Ou plus Californie ?

Le fait que le film évite de définir la racine du conflit est l’une des meilleures choses du film. Le pire, c’est que lorsque les personnages font le voyage de New York à DC, les choses peuvent devenir un peu répétitives. Ils conduisent, rencontrent un obstacle, apprendre quelque chose et passer à autre chose. Puis ils conduisent, rencontrent un obstacle, apprennent quelque chose et avancent à nouveau. Le schéma se répète. plusieurs fois et tandis que chacun de ces obstacles se déroule d’une manière différente, généralement surprenante, une partie de l’élan du film vacille après cette structure.

Dunst et Spaeny.

Où Guerre civile ne faiblit pas, il représente l’intensité. Chaque fois que les héros rencontrent l’un de ces obstacles, qu’il s’agisse d’une station-service piégée, d’un tireur d’élite caché, ou un Jesse Plemons aux lunettes de soleil roses, la tension du film se tourne toujours vers 11. Nous sommes rarement sûrs de ce qui va se passer et de qui. va survivre, principalement grâce à cette objectivité. Personne n’est traité comme un héros ou un méchant au début. Cela change scène par scène, bien sûr, mais le film, comme les journalistes, donne à chacun une chance égale, ce qui peut faire peur.

Cela peut également vous amener à vous remettre en question, à vous poser des questions sur vos préjugés et bien plus encore. Guerre civile est un film qui met son public au défi de se mettre à la place non seulement des personnages principaux, mais de tout le monde. En partie parce que tout dans le film semble si plausible que nous nous voyons nous-mêmes, nos amis et nos voisins dedans. Mais c’est aussi parce que le les performances sont si fortes dans tous les domaines qu’il est facile de s’y retrouver.

C’est comme si cela faisait une éternité que nous n’avions pas vu Kirsten Dunst dans un grand rôle voyant et vedette comme celui-ci et que nous regardions Guerre civile , vous n’avez aucune idée pourquoi. Dunst donne une performance nuancée et puissante dans le rôle de Lee, une vétéran si sûre d’elle qu’elle est presque insouciante . C’est-à-dire jusqu’à ce qu’elle rencontre Jessie. Dans Jessie, Lee voit une version plus jeune d’elle-même et cela la terrifie. Lee connaît Jessie, représentée avec beaucoup d’émotions brutes par Spaeny, se voue elle-même au danger. Choisir cette vie est probablement la mauvaise chose pour elle. Et donc ce qui devrait être une simple relation mentor-mentoré est toujours tendu. Lee se voit trop d’elle-même en Jessie, et Jessie le fait. je m’en fous.

Juste un autre jour.

Leur relation complexe, ainsi que la gravité fournie par Joel de Moura et Sammy de McKinley Henderson, atteignent leur paroxysme dans la finale du film. acte, qui voit l’équipe se rendre enfin à Washington. Garland déclenche alors une guerre gutturale et choquante au niveau du sol au cœur de la capitale nationale, avec des vues sur les monuments nationaux et d’autres qui ressemblent à ceux de 1996 Jour de l’Indépendance . Je ne vais pas spoiler ce qui se passe dans ces scènes, mais tout cela se résume à quelques dernières minutes destinées à être discutées et citées. aussi longtemps que les films existent. C’est aussi fantastique.

En fin de compte, Guerre civile est un test de Rorschach conçu pour un impact maximal sur les idéologies politiques. Vous pouvez le regarder et le visionner comme vous le souhaitez. prendre un parti d’une dérobade ? Devrait-il y avoir un peu plus de l’histoire qui penche à gauche ou à droite ? Je je discuterais du fait qu’il n’y a pas ça est la paternité. Garland n’est pas nécessairement intéressé à faire changer d’avis qui que ce soit à propos de quoi que ce soit. des différences pourraient finir par se produire. Et si le minimiser au milieu aide plus de gens à le voir, ce n’est qu’un bonus.

Guerre civile est en salles vendredi.

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Une immense figure du cinéma hollywoodien recevra une Palme d'or d'honneur à Cannes 2024

Brigitte Baronnet

Après Tom Cruise, Michael Douglas, Harrison Ford ou encore Jodie Foster, c'est le réalisateur et producteur George Lucas qui recevra une Palme d'or d'honneur au Festival de Cannes 2024.

A l'approche de l'annonce de la Sélection officielle ce jeudi 11 avril, le Festival de Cannes dévoile quelques temps forts de son édition 2024. Après avoir annoncé la présentation d'un film de Kevin Costner hors compétition ou encore le film d'ouverture, on apprend ce soir le nom de la personnalité qui recevra la Palme d'or d'honneur 2024. Il s'agit de George Lucas .

" Immense figure du cinéma hollywoodien, le réalisateur, scénariste et producteur George Lucas recevra la Palme d'or d'honneur le samedi 25 mai prochain lors de la cérémonie de Clôture du 77e Festival de Cannes, retransmise en direct sur France 2 ", annonce le Festival dans un communiqué.

A Cannes en 2005 avec Star Wars La Revanche des Sith

Le Festival le présente comme étant "indissociable des sagas Star Wars et Indiana Jones". George Lucas avait d'ailleurs foulé les marches, notamment en 2005 pour Star Wars, et en 2008 pour Indiana Jones 4.

tom cruise film de guerre

Dans ce communiqué, le Festival partage la réaction du cinéaste, qui se remémore sa première fois au Festival : " Le Festival de Cannes a toujours occupé une place spéciale dans mon cœur. J'ai été surpris et ravi lorsque mon premier film, THX-1138, a été sélectionné pour être projeté sur la Croisette en 1971. Depuis, je suis revenu au Festival à de nombreuses reprises en tant que scénariste, réalisateur et producteur. Je suis vraiment honoré par cette reconnaissance spéciale qui signifie beaucoup pour moi. "

Une projection pour les 25 ans de La Menace Fantôme ?

La Palme d’or d’honneur lui sera remise sur la scène du Grand Théâtre Lumière lors de la cérémonie de Clôture le samedi 25 mai 2024. Pourrait-on imaginer, en bonus, une séance spéciale de Star Wars La Menace Fantôme afin de célébrer les 25 ans de la sortie du film ? Le scénario n'est pas impossible, et pourrait ravir les fans !

" Le Festival de Cannes est heureux de saluer l’une des plus grandes personnalités du cinéma contemporain, un homme au parcours hors norme qui fait rimer grand spectacle avec innovation, mythologie avec modernité et cinéphilie avec technologie ", souligne le Festival dans son communiqué.

Un roman graphique pour plonger dans les coulisses de l'œuvre de George Lucas

Si vous aimez le cinéma de George Lucas, précisons que le cinéaste a récemment eu les honneurs d'un roman graphique, intitulé Les guerres de Lucas, revenant sur la folle aventure de la création de Star Wars, ses débuts de réalisateur et toutes les épreuves qu'il a dû surmonter pour mettre sur pied l'une des plus grandes sagas de science-fiction de tous les temps. Très documentée et ludique à la fois, cette BD richement illustrée propose une plongée dans la carrière du cinéaste. Elle est cosignée par Renaud Roche et Laurent Hopman, aux Editions Deman.

Bande dessinée : "Les Guerres de Lucas", 30e prix franceinfo de la bande dessinée d'actualité et de reportage https://t.co/oRDRbuzvzm via @franceinfo — Editions Deman (@Editionsdeman) January 10, 2024

La cérémonie de Clôture du 77e Festival de Cannes sera retransmise le samedi 25 mai en direct sur France Télévisions et Brut. Camille Cottin en sera la maîtresse de cérémonie.

  • Festival de Cannes 2024 : films pressentis en Compétition, stars attendues, annonces officielles... Tout ce que l'on sait de la 77e édition !
  • Cannes 2024 : 20 ans après, Kevin Costner revient avec un western dans la lignée de Yellowstone

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COMMENTS

  1. Filmographie de TOM CRUISE

    Annotation : C'est Tom Cruise qui se trouve directement lié à la naissance de Minority Report. Durant le tourange de Eyes wide shut, le comédien tomba sur la nouvelle de l'auteur Philip K. Dick et, après lecture, décida immédiatement d'en faire part à Steven Spielberg en vue d'une adaptation cinématographique.

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    La Guerre des mondes ( War of the Worlds) est un film américain réalisé par Steven Spielberg, sorti en 2005. Écrit par Josh Friedman et David Koepp, il s'agit de la deuxième adaptation cinématographique du roman de H.G. Wells publié en 1898.

  8. Walkyrie (film)

    Walkyrie ( Valkyrie) est un film américano - allemand réalisé par Bryan Singer et sorti en 2008. Il retrace l'organisation et la tentative d'assassinat du 20 juillet 1944 contre Adolf Hitler et se focalise sur Claus von Stauffenberg, incarné par Tom Cruise . Synopsis.

  9. La guerre des mondes

    La guerre des mondes - Apple TV (FR) Disponible sur iTunes. Aventure apocalyptique qui étonne et captive à la fois, La Guerre des Mondes réunit la superstar Tom Cruise et l'immense Steven Spielberg, déjà deux fois récompensé par l'Oscar® du Meilleur Réalisateur, pour l'un des films les plus impressionnants de tous les temps !

  10. Le top 20 des films de Tom Cruise et où les regarder

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    Guerre civile est le film le plus mature d'Alex Garland à ce jour. Alors qu'il met en valeur ses personnages lors de ce road trip, vous pouvez presque le sentir ne pas poussant l'agenda dans un sens ou dans l'autre. Une énergie imprègne le film, comme si Garland voulait dire quelque chose mais tremblait et bourdonnant pour le retenir.

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    15 octobre 2008 en salle | 1h 48min | Action , Comédie , Guerre. De Ben Stiller. |. Par Ben Stiller , Etan Cohen. Avec Ben Stiller , Jack Black , Robert Downey Jr. Titre original Tropic...

  30. Une immense figure du cinéma hollywoodien recevra une ...

    Après Tom Cruise, Michael Douglas, Harrison Ford ou encore Jodie Foster, c'est le réalisateur et producteur George Lucas qui recevra une Palme d'or d'honneur au Festival de Cannes 2024.