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The Twilight Zone Tower of Terror
Parc walt disney studios.
Production Courtyard
Jeunes adolescents, Adolescents, Adultes
Accessibilité et Informations complémentaires
Accessibilité.
- Transfert de votre fauteuil roulant indispensable
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Grands frissons, À ne pas rater, Disney PhotoPass™, Disney Premier Access , Disney Premier Access One, Disney Premier Access Ultimate
Consignes de Sécurité
- ATTENTION! Pour votre sécurité vous devez être en bonne santé et ne pas souffrir d’hypertension, de problèmes cardiaques, dorsaux ou cervicaux, de mal des transports ni autres problèmes de santé susceptibles d’être aggravés.
- Les futures mamans ne doivent pas prendre part à cette aventure.
L’association alsacienne pour réaliser vos animations et vos événements
Un saut dans la Quatrième Dimension
Vous ouvrez cet article avec la clé de l’imagination. Au-delà, c’est une autre dimension… Une dimension sonore. Une dimension visuelle. Une dimension de l’esprit. Vous pénétrez dans le domaine de l’ombre et la matière, des objets et des idées. Vous venez d’entrer dans… La Quatrième Dimension !
The Twilight Zone Tower of Terror, attraction iconique du parc Walt Disney Studios, est présente dans plusieurs resorts Disney à travers le monde. Ce parcours scénique emblématique, initialement basé sur une série télévisée du début des années soixante, est rapidement devenu incontournable pour tout visiteur avide de sensations et d’univers immersif.
Mais comment explique-t-on la forte popularité de cette attraction auprès du public ? Pourquoi, et comment Disney a-t-il réadapté son concept dans plusieurs de ses parcs ? Découvrons ensemble les particularités des différentes versions de l’attraction, et pourquoi son avenir à Paris est aujourd’hui incertain dans sa forme actuelle.
Walt Disney World : Une chute de 13 étages plus rapide que la gravité
C’est le 22 juillet 1994 qu’ouvrit la première attraction de type « Tower of Terror » dans le parc Disney-MGM Studios (aujourd’hui Disney’s Hollywood Studios) d’Orlando en Floride. The Twilight Zone Tower of Terror, inspirée de la série télévisée The Twilight Zone (« La Quatrième Dimension » en France) est une attraction novatrice. Il ne s’agit pas d’une simple tour de chute, mais d’une attraction combinant un parcours scénique avec une séquence de chutes verticales dont l’accélération est supérieure à celle de la pesanteur terrestre.
Un bâtiment imposant
Située à l’extrémité du Sunset Boulevard, la tour appelle le visiteur à venir lui rendre visite de très loin. Haute de 66,3 m, soit 199 pieds, sa taille n’est pas due au hasard. Afin de ne pas être contraint par une réglementation aérienne, la tour ne devait pas atteindre les 200 pieds, faute de quoi une lumière rouge clignotante aurait dû figurer à son sommet. Les exigences de qualité de thématisation des attractions Disney n’auraient pas permis cette excentricité.
Un système révolutionnaire
Pour développer son attraction, Disney a fait appel au leader mondial de l’ascenseur : le fabricant Otis. Une technologie unique a spécialement été conçue pour l’occasion. En effet, le système mis en place permet à la cabine de se déplacer, non seulement à la verticale comme tout ascenseur classique, mais également à l’horizontale, la cabine sortant de sa cage d’ascenseur.
Ainsi, une scène représentant le passage dans la Quatrième Dimension a été créée par les Imaginieurs Disney pour matérialiser et donner un cachet particulier à cet effet. Ce système unique encore aujourd’hui qualifie la tour de Floride comme la plus aboutie. De plus, les séquences de chutes opérées dans l’attraction procurent aux visiteurs une sensation d’apesanteur. Ici, les passagers ne sont pas simplement lâchés comme dans n’importe quelle tour de chute libre, mais ils descendent de manière accélérée par rapport à la force de la gravité. La chute vécue est alors de 13,6 m/s (la gravité est établie à 9,81 m/s). La vitesse maximale en phase ascendante s’établie à 17,43 m/s.
Un scénario bien ficelé
L’histoire de l’attraction The Twilight Zone Tower of Terror est originale et unique. Bien qu’inspirée de la série télévisée The Twilight Zone, le scénario de la Tour a spécifiquement été créé pour l’attraction. Si l’hôtel paraît abandonné et le temps s’être arrêté, lors du parcours effectué par les visiteurs de nos jours, l’histoire nous indique que l’hôtel était une star à part entière dans les années 1930. Situé dans le quartier sombre d’Hollywood, c’est le soir du 31 octobre 1939, lors d’une fête donnée au dernier étage de l’hôtel, au sein du Tip Top Club, que tout bascula. C’est pour rejoindre cette fête que 5 passagers empruntèrent un des ascenseurs de l’hôtel. Mais alors qu’un éclair foudroya le bâtiment, ces derniers ont été expédiés dans la Quatrième Dimension. Cette histoire introductive à l’expérience des visiteurs de l’attraction est racontée dans la bibliothèque de l’hôtel, faisant office de pré-show. Les ascenseurs de l’époque n’étant plus en état de fonctionner, les futurs passagers sont invités à rejoindre un ascenseur de service pour vivre leur propre expérience dans la Quatrième Dimension.
Une fois embarqué dans la cage d’ascenseur, la narration reprend et le tour commence par un arrêt devant un premier étage. Lorsque les portes s’entrouvrent, les fantômes des cinq personnes disparues en 1939 apparaissent dans un couloir de l’hôtel, faisant signe aux passagers de les rejoindre, avant de disparaître. La scène se transforme en ciel de nuit étoilée puis une fenêtre se brise, rappelant une scène introductive de la série télévisée. Les portes de l’ascenseur se referment ensuite, et les passagers continuent leur ascension à travers les étages de l’hôtel.
Lors de la scène suivante, les portes s’ouvrent et la cabine commence à se déplacer en dehors de sa cage. Ce passage, simulant la Quatrième Dimension, est unique à la version originale de Floride de l’attraction. La cabine avance dans cet univers étrange, où une collection surréaliste d’objets et de signes apparaissent de part et d’autre du parcours, dans le style de la séquence d’ouverture de la série.
La cabine s’arrête ensuite dans le noir complet, avant que ne démarre la séquence de chutes. Lors de celle-ci, les portes de l’ascenseur s’ouvrent à plusieurs reprises à une hauteur d’une dizaine d’étages pour révéler une fabuleuse vue sur le parc. Après une série de montées et descentes quelque peu remuante, l’ascenseur s’arrête en bas de la cage, se déplace latéralement vers l’arrière avant d’effectuer un quart de tour pour rejoindre la zone de débarquement.
Le souci du détail
Le décor et les éléments figurant le long de la file d’attente de l’attraction accentuent et permettent de crédibiliser l’histoire racontée. On note ainsi que toutes les horloges rencontrées sur le parcours des visiteurs sont arrêtées à 20h05, heure à laquelle l’orage foudroya la tour le soir du 31 octobre 1939. Un journal abandonné sur un des canapés du hall de l’hôtel présente l’actualité du jour où le drame se déroula. L’état délabré général, le décor poussiéreux et les affaires des clients de l’époque visibles dans le lobby de l’hôtel, laissent sous-entendre que le temps s’est arrêté le soir du drame, et que tout a été laissé en état depuis.
De nombreuses références à la série « The Twilight Zone » peuvent également être aperçues lors de la visite de l’hôtel. On trouve notamment divers objets faisant écho à certains épisodes de la série, tels qu’une paire de lunettes, des enveloppes étiquetées « Victoria West » et « Rod Serling », une machine à sous, ou encore plusieurs livres présents sur les étagères de la bibliothèque reprenant les titres des différents épisodes de la série. Chaque bibliothèque contient son propre ensemble unique de livres.
Des Cast Members acteurs
Ce qui rend unique l’expérience des visiteurs, et ce dès l’entrée dans la file d’attente de l’attraction, c’est le rôle occupé par les Cast Members. Comme dans toute attraction Disney, les employés sont costumés pour parfaire le thème. Ici, ils arborent un personnage de groom. Mais ce qui fait la différence avec les autres aventures proposées dans les parcs, c’est que ces employés-ci jouent également un rôle auprès des visiteurs. Les grooms de l’hôtel sont des personnages étranges et facétieux. Parfois drôle, tantôt plus narquois, les grooms prennent une place toute aussi importante dans l’expérience vécue par les visiteurs que le parcours de l’attraction lui-même. Dès l’accueil à l’entrée de la tour et jusqu’à l’énonciation des consignes de sécurité dans la cage d’ascenseur, en passant par de probables interventions surprises lors du pré-show de l’attraction, les grooms contribuent activement au succès de l’expérience.
Des séquences de chutes régulièrement renouvelées
Afin de renouveler l’expérience des visiteurs au fil du temps, et de relancer l’attrait pour l’attraction, plusieurs versions ont déjà été proposées à Walt Disney World. Les améliorations apportées ont principalement concerné la séquence de chutes vécue dans la tour. A l’origine cette séquence était toujours la même. Ainsi, c’est au mois de mai 1996 que le premier renouvellement eut lieu, avec « Tower of Terror 2 : Twice the Fright ». Puis c’est en mars 1999 qu’une troisième version fit son apparition : « Tower of Terror 3 : Fear Every Drop ». Enfin, la dernière amélioration a été apportée le 31 décembre 2002 avec « Tower of Terror 4 : Never the Same Fear Twice ». Cette dernière version, toujours en place aujourd’hui, a la particularité de proposer plusieurs séquences de chutes différentes, vécues aléatoirement par les passagers de l’ascenseur. Ce sont trois nouvelles séquences qui ont été créées et ajoutées à la troisième version de l’attraction proposée en 1999, permettant de renouveler l’expérience des visiteurs.
Une deuxième version moins ambitieuse
Lorsqu’un parc Disney sur le thème du cinéma fut annoncé pour ouvrir en Europe, il se devait de se doter d’un e-ticket digne de ce nom : La Tour de la Terreur fut idéale pour remplir cette fonction. Déjà prévue dans les plans dès l’ouverture du parc Walt Disney Studios à Paris, comme en témoignait la présence des fondations et du logo HTH de l’hôtel au sein du parc dès 2002, l’attraction n’ouvrit pourtant qu’en décembre 2007, soit trois ans et demi après sa version jumelle de Californie. La tour californienne, visuellement très proche de la tour parisienne, a d’ailleurs été construite selon les plans élaborés pour l’hôtel français.
Le style et l’intégration de la tour
L’aspect extérieur de cette nouvelle mouture de la Tour de la Terreur diffère radicalement avec la première version de l’attraction. Les murs revêtent une couleur jaune sable, ce qui rend la tour beaucoup plus claire que celle de Floride. Le décor de la tour et la présence des portes d’ascenseurs s’ouvrant sur l’extérieur, laissent présager la disparition d’une partie de l’hôtel suite aux événements survenus le 31 octobre 1939. La tour présente trois cages d’ascenseurs, dont deux regroupées sur la partie gauche, la troisième cage sur la droite est surplombée d’un dôme hémisphérique.
Bien qu’arborant un style architectural identique, « Pueblo Art Deco », les tours de Paris et d’Anaheim présentent des différences dans leur structure, ainsi que dans leur intégration dans leur parc respectif. La tour de Paris est construite en béton, contrairement à ses homologues américaines (et japonaise) faites en structure métallique.
Au niveau de leurs situations, un choix totalement différent a été opéré par les Imaginieurs. Pas de grand boulevard comme c’est le cas pour la tour de Floride. La tour de Californie se situe au fond du land « Hollywood Pictures Backlot », décalée par rapport à la rue de façon à ce que sa façade soit visible depuis l’entrée du parc. La tour de Paris quant à elle occupe une position centrale au sein du parc Walt Disney Studios (à « Production Courtyard »), faisant office de véritable icône pour le parc. Sa visibilité depuis l’extérieur de celui-ci fait même passer le château d’ « eaureille », l’emblème historique arborant le logo du parc, pour un symbole de seconde zone.
Afin que la hauteur de la tour ne s’impose pas de trop sur le parc, des façades hollywoodiennes ont été construites à l’avant de la tour parisienne, rendant la zone plus agréable, et permettant à l’attraction d’apparaître en léger retrait et intégré dans un mini-quartier.
Plus en détail, on notera que la tour de Paris comporte des briques rouges au niveau de la partie de l’hôtel disparue dans la Quatrième Dimension (les briques sont jaunes en Californie), que des fissures apparaissent plus marquées sur la tour parisienne, que des quarts de disques ornent les poutres de soutien sur les côtés du bâtiment, ou encore que la partie arrière de la tour est thématisée en raison de sa situation centrale au sein du parc parisien.
Sans doute pour des raisons climatiques, les jardins de la tour de Paris ne comportent pas de palmiers. Cependant un effort de thématisation supplémentaire a été fait sur les couloirs de sortie de l’attraction par rapport à la tour de Californie.
Un parcours en ascenseur réarrangé
Hormis l’aspect extérieur de la tour, le principal changement de l’attraction par rapport à sa version originale réside dans le parcours effectué en ascenseur. En effet, pour des raisons budgétaires, le parcours est plus court, et se retrouve amputé de la scène simulant le passage dans la Quatrième Dimension présent en Floride où les ascenseurs se déplacent latéralement. Les ascenseurs se déplacent pourtant aussi à l’horizontal dans cette nouvelle version, mais uniquement sur quelques mètres au démarrage (en marche arrière) et à l’arrivée (en marche avant), pour permettre la circulation de deux cages d’ascenseurs dans chacun des trois élévateurs. Ainsi, lorsqu’un ascenseur est en mouvement dans le parcours de l’attraction, un second est à l’arrêt pour l’embarquement et le débarquement des passagers, et l’annonce des consignes de sécurité par un groom de l’hôtel. La zone d’embarquement dans les ascenseurs, prenant place dans la chaufferie de l’hôtel, est donc répartie sur deux étages afin de proposer un débit correct à l’attraction.
Une fois le parcours en ascenseur commencé, la première scène vécue par les passagers, inédite par rapport à la version floridienne de l’attraction, et censée remplacer le passage dans la Quatrième Dimension, est la scène du miroir. Ici un large miroir fait face aux passagers qui peuvent apercevoir leur reflet dans celui-ci, jusqu’à ce qu’ils voient ce dernier se transformer en fantôme, avant de disparaître entièrement, la cage d’ascenseur vide faisant alors face à eux.
La deuxième scène est quelque peu similaire à la première de la version de Floride. Le couloir de l’hôtel présente les cinq occupants sous forme fantomatique qui prennent place dans l’ascenseur de 1939, qui se met à tomber dans la Quatrième Dimension, alors que le couloir de l’hôtel s’est dissipé dans un ciel noir étoilé. Mais ici, pas de fenêtre qui se brise, quelques fractions de secondes après avoir vu les passagers de 1939 chuter, c’est la séquence de chutes pour les vrais passagers qui débute.
Les différences scénaristiques
Les tours de la terreur de Californie et de Marne-La-Vallée étant basées sur un thème identique à la version originale d’Orlando, on note quelques différences qui restent minimes dans le déroulé de l’histoire de l’attraction. Ainsi, l’hôtel a ouvert ses portes plus tard en Californie et en Europe : il date de 1929, contre 1917 en Floride. Le déroulement des scènes jusqu’à l’embarquement dans les ascenseurs est similaire entre chacune de ces versions : les visiteurs pénètrent dans le lobby de l’hôtel, avant de passer par la bibliothèque et de patienter dans la chaufferie de l’hôtel. Le film du pré-show de l’attraction reprend toutefois le bâtiment de l’hôtel tel qu’il est présent réellement dans les parcs de Paris et de Californie, étant donné qu’il est différent de la version originale.
On notera que les accessoires et références liés à la série « The Twilight Zone » sont plus nombreux dans les tours de Californie et de Paris, par rapport à la tour originale de Floride. On trouve, parmi d’autres éléments, dans cette nouvelle version de l’attraction, un chronomètre cassé, un dé à coudre en or, une machine à écrire, un étui à appareil photo, un rasoir électrique, ou encore des marques à la craie sur les murs de la chaufferie faisant référence à un épisode de la saison 3 dans lequel une famille tente de retrouver leur fille qui a mystérieusement disparu de sa chambre.
La Tour de la Terreur : un écran pour spectacles nocturnes
Depuis le lancement de la Saison de la Force à Disneyland Paris en hiver 2017, la tour de Paris fait désormais office de support pour des spectacles sons et lumières nocturnes. Cette utilisation inédite de la façade de la tour, dont un premier essai avait déjà été effectué lors de son inauguration, transforme son aspect lors du déroulement des shows. L’utilisation des techniques de mapping alliée à un spectacle pyrotechnique n’est pas sans rappeler la tendance actuelle de ce type de show, déjà présent depuis 2012 à Disneyland Paris, sur le château de la Belle aux bois dormant, avec le spectacle Disney Dreams (remplacé depuis les festivités du 25ème anniversaire par Disney Illuminations). On notera que pour des raisons évidentes de sécurité, l’attraction est fermée au public lors des représentations.
Mr Hightower III à Tokyo DisneySea
Avant l’ouverture de la version parisienne de la Tour de la Terreur, le deuxième parc de Tokyo a eu droit à sa propre version exclusive de l’attraction. C’est le 4 septembre 2006 qu’ouvre « Tower of Terror » au sein du land American Waterfront.
Il s’agit de la première version de l’attraction qui n’est pas basée sur le thème de La Quatrième Dimension, afin d’adapter le concept au port d’American Waterfront. Le bâtiment abritant l’attraction reflète la même forme que celui de Paris et de Californie. Le thème prend toujours place au sein d’un hôtel, mais l’architecture de celui-ci est totalement différente. La tour s’inspire de plusieurs courants artistiques du début du vingtième siècle, principalement de différents styles d’Art Nouveau : espagnol, ou encore néo-gothique américain. L’enseigne « The Hollywood Tower Hotel » est remplacée par un étonnant effet de synchronisation sur la façade extérieure : les ascenseurs semblent frappés par un étrange éclair descendant des appartements de Mr Hightower au moment où ils apparaissent aux yeux des visiteurs se promenant dans le parc.
L’histoire ici est celle d’un explorateur ayant ramené une idole un peu particulière de l’une de ses expéditions. Une malédiction est malencontreusement déclenchée lorsque celui-ci éteint son cigare sur l’idole, alors qu’il rejoignait ses appartements par son ascenseur privé. La malédiction engendra la chute de l’ascenseur et la disparition de l’explorateur, retenu prisonnier dans l’hôtel.
Malgré une séquence de chutes similaire aux versions californienne et parisienne, la tour de Tokyo, plus douce que ses homologues, a été adaptée au public japonais.
Les Cast Members ont un rôle moins effrayant ici, ils sont les employés de Mr Hightower III, riche industriel et propriétaire de la U.S. Steamship Co. Il construisit l’hôtel dans la ville de New York, où il exposa notamment ses différentes découvertes ramenées de ses voyages effectués dans le monde entier.
Le pré-show prend place dans l’ancien bureau de Mr Hightower. Il présente la découverte de l’idole maudite par ce dernier lors de l’une de ses expéditions en Afrique. C’est dans la nuit du 31 décembre 1899 que Mr Hightower disparut, alors qu’il se trouvait dans l’ascenseur le conduisant à ses appartements privés. L’hôtel fut ensuite abandonné avant de rouvrir par la New York City Preservation Society, qui propose désormais aux visiteurs de parcourir l’hôtel.
La visite de l’hôtel se passe aujourd’hui en 1912, correspondant à l’époque du land American Waterfront. On retrouve dans cette version la scène du miroir, présente dans les versions parisienne et californienne de l’attraction. La scène du couloir est différente, liée à la thématique tokyoïte de l’hôtel, Mr Hightower apparaît sous une forme fantomatique dans ses appartements privés. On l’aperçoit tenter de se saisir de l’idole maudite alors que celle-ci le renvoie voler puis tomber dans une cage d’ascenseur.
Les super-héros Marvel en force
La transformation de la tour californienne.
La présence de la Tour de la Terreur dans plusieurs parcs Disney à travers le monde, et son succès rencontré, en fait aujourd’hui un classique. Pourtant l’attraction californienne a radicalement été transformée début 2017, l’affluence de l’attraction n’étant plus à la hauteur de ses homologues, il a été décidé de la rebooster, en incorporant une licence phare récemment acquise par Disney suite à l’achat du catalogue Marvel : Les Gardiens de la Galaxie.
L’annonce de la modification de l’attraction a rendu les fans dubitatifs, et des pétitions contre la transformation de la Tour ont même fait leurs apparitions. L’attraction a pourtant bien fermé le 3 janvier 2017 pour rouvrir le 27 mai de la même année transformée. Désormais, l’hôtel hollywoodien à l’aspect délabré des années 1930 laisse la place à la forteresse du Collectionneur issue des Gardiens de la Galaxie.
Guardians of the Galaxy – Mission: Breakout! renouvelle la Tour de la Terreur et donne un souffle nouveau à une attraction en perte de popularité.
C’est un réel tour de force réalisé par les Imaginieurs qui ont réussi à redynamiser une attraction, en modifiant à la fois son aspect intérieur et extérieur, son histoire, mais aussi son parcours vécu dans les cages d’ascenseurs. L’attente affichée à l’entrée de l’attraction depuis sa réouverture n’en dément pas : c’est un must du parc Disney California Adventure.
Le hall du Hollywood Tower Hotel a laissé la place au musée du Collectionneur. Divers objets de l’univers des Gardiens de la Galaxie, mais aussi provenant d’autres œuvres Marvel peuvent être observés. Y figurent notamment une sentinelle de l’armée d’Ultron, le chien Cosmo, le Stormbreaker ou encore un uniforme de la Nova Corps.
La bibliothèque de l’hôtel a été remplacée par le bureau du Collectionneur, où un fabuleux audio-animatronic du personnage de Rocket est présent, pour expliquer aux visiteurs son plan de sauvetage des autres Gardiens détenus par le Collectionneur. C’est donc une collaboration qui est proposée aux visiteurs qui prendront place dans l’ascenseur pendant que Rocket fera sauter le générateur permettant la libération des Gardiens.
Six séquences de chutes ont été créées pour cette nouvelle version de l’attraction, chacune étant accompagnée d’un titre différent issu d’une playlist savamment choisie en corrélation avec l’univers des films. On peut donc frissonner sur les airs de I Want You Back des Jackson Five, Give Up The Funk de Parliament, Born to Be Wild’ de Steppenwolf, Burning Love d’Elvis Presley, Hit Me With Your Best Shot de Pat Benatar, ou encore Free Ride de The Edgar Winters Group.
Contrairement aux autres versions de la Tour de la Terreur, les sensations sont ressenties dès le début du ride, dès la fermeture des portes de l’ascenseur. Les scènes du miroir et du couloir de l’hôtel ont laissé la place à des écrans, montrant notamment Peter et Gamora poursuivis par des robots de sentinelle, et Drax sauter sur une Bête de Jotunheim. L’ouverture des portes de l’ascenseur sur le parc a été incluse dans le scénario de l’attraction. Les visiteurs ont toujours la possibilité de voir Disneyland de haut et d’acheter la photo souvenir à la sortie de l’attraction.
Monsters After Dark : une attraction facilement modifiable
La mise en place d’écrans dans les scènes de l’attraction, accompagnant la possibilité de faire voyager les visiteurs dans plusieurs séquences de chutes différentes tout en modifiant la bande son de l’expérience, permet à Disney de proposer aisément des parcours renouvelés. Guardians of the Galaxy – Monsters After Dark mis en place pour la saison d’Halloween 2017 en est le premier exemple.
Pour sa première année d’exploitation, cette variante de l’attraction a été mise en fonctionnement en soirée, permettant aux visiteurs de découvrir la version habituelle en journée.
Les principaux changements apportés par cette version concernent les effets lumineux et sonores de la file d’attente, du pré-show et du ride lui-même. Des bruits d’alarme retentissent à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment, tandis que l’éclairage de la façade de la forteresse du Collectionneur revêt un nouvel habillage lumineux. Une nouvelle bande-son, unique cette fois-ci, a également été mise en place pour le voyage en ascenseur dans cette version.
L’histoire de Monsters After Dark se déroule après celle de Mission: Breakout! Le personnage de Groot a accidentellement été abandonné par les Gardiens lors de leur précédente évasion. Mais lors de cette mission, tous les monstres détenus par le Collectionneur ont également été libérés suite à la destruction par Rocket du générateur qui alimentait les portes des cages des monstres. Le rôle des visiteurs dans cette nouvelle mouture de l’attraction est désormais de distraire les monstres qui se sont échappés pendant que Rocket tente de sauver Groot.
Photos : © Disney et © Fans Disney d’Alsace
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The Twilight Zone Tower of Terror
The Twilight Zone Tower of Terror, ou tout simplement La Tour de la Terreur en français, est l'une des attractions les plus populaires du Walt Disney Studio Paris , le parc de loisirs voisin du célèbre parc Disneyland Paris . Vivez un moment alternant entre frissons et adrénaline en entrant dans un hôtel hanté ou bien des péripéties vous attendent.
Le concept de la Tower of Terror
Comme de nombreuses autres attractions des parcs Disney, la Tour de la Terreur dispose d'un véritable background destiné à favoriser l'immersion des visiteurs.
Vous entrez ici dans un établissement qui a connu ses heures de gloire mais souffre aujourd'hui d'une triste réputation, le Hollywood Tower Hotel. Si la haute société aimait y séjourner ou prendre part à des soirées formidables dans cet hôtel prestigieux de l'Entre-Deux-Guerres, un terrible accident entraîna sa fermeture en 1939.
Aujourd'hui, plusieurs décennies plus tard, vous êtes invité à pénétrer dans ce lieu abandonné. Vous voilà face aux grilles de cette demeure mystérieure et inquiétante, prêt à les franchir. Une fois arrivé dans un hall poussiéreux, qui semble figé dans un temps révolu, aurez-vous le courage de continuer ?
L'attraction possède plusieurs soeurs en Floride, en Californie et au Japon.
La Tour de la Terreur au Walt Disney Studios Paris
Vous débutez l'aventure dans une pièce plongée dans la pénombre, quand soudain un éclair illumine la pièce. Un téléviseur s'allume et Rod Serling, le scénariste de la Quatrième Dimension, vous souhaite la bienvenue.
De là, vous êtes invités à emprunter un passage secret vous menant dans la chaufferie délabré, qui abrite d'imposantes machines ressemblant à des monstres somnolents. L'ascenseur de service vous y attend. Asseyez-vous et attachez-vous. Serrez les dents : les lumières clignotent d'une façon inquiétante.
L'ascenseur de la Twilight Zone Tower of Terror débute son ascension dans le noir. Premier arrêt : les portes s'ouvrent sur un couloir occupé par des spectres rugissants qui vous invitent à les rejoindre.
L'ascension reprend mais est brutalement interrompue. Les portes s'ouvrent en grinçant et vous vous retrouvez face à un miroir où votre reflet est clairement visible... Jusqu'à ce qu'il disparaisse brutalement ! The Tower of Terror vous aurait-elle transporté dans une autre dimension ?
Autres attractions vedettes du Walt Disney Studios :
- Ratatouille : L'Aventure Totalement Toquée de Rémy
- Crush's Coaster
The Twilight Zone Tower of Terror – Attraction Disneyland
Introduction.
The Twilight Zone Tower of Terror, située au Walt Disney Studios Park de Disneyland Paris, est une attraction emblématique qui invite les visiteurs à vivre une expérience surnaturelle dans un hôtel hanté inspiré de la célèbre série télévisée « The Twilight Zone ». Avec ses histoires captivantes et ses chutes libres imprévisibles, elle promet des sensations fortes et une immersion totale dans une ambiance mystérieuse.
Histoire et Contexte
L’attraction plonge les visiteurs dans la légende d’un hôtel de luxe des années 1930, frappé par un éclair mystérieux qui a fait disparaître un ascenseur plein de passagers. Depuis cet incident, l’hôtel est hanté par des phénomènes surnaturels. Les visiteurs sont invités à monter dans l’un des derniers ascenseurs en fonction, pour découvrir les secrets de l’hôtel et vivre la chute de leur vie.
Description de l’Expérience
La visite commence par une immersion dans l’histoire de l’hôtel à travers une série de pièces thématiques, chacune ajoutant à la tension et à l’anticipation. L’ascenseur, qui sert de véhicule pour l’attraction, offre plusieurs séquences de chutes et de montées soudaines, générées aléatoirement pour que chaque expérience soit unique. Des effets spéciaux et des projections contribuent à créer une atmosphère effrayante et captivante.
Conseils et Astuces
- Profitez du Disney Premier Access pour minimiser votre temps d’attente.
- L’attraction peut être intense pour les jeunes enfants ou ceux qui sont sensibles aux chutes libres ; elle est recommandée aux visiteurs recherchant des sensations fortes.
Témoignages et Avis
Les amateurs de sensations fortes et les fans de « The Twilight Zone » adorent The Tower of Terror pour son ambiance unique et ses chutes imprévisibles. « Une des meilleures attractions pour les sensations fortes à Disneyland Paris, » selon un visiteur.
La taille minimum pour The Twilight Zone Tower of Terror est de 1,02 m.
Oui, l’attraction est conçue pour être effrayante, avec une ambiance sombre et des chutes libres soudaines. Elle est recommandée pour ceux qui apprécient les expériences à sensations fortes.
Découvrez plus sur les aventures à sensations fortes à Disneyland Paris et pour planifier votre visite, visitez notre guide complet sur les attractions pour les amateurs de frissons à Disneyland Paris .
- Guide pratique
Tour de la Terreur : un saut dans 3 nouvelles dimensions
Le 28 septembre dernier, Tower of Terror, La Tour de la Terreur, inaugurait sa nouvelle version. L’occasion de découvrir un peu mieux l’attraction…
Depuis le 28 septembre, la saison d’Halloween bat son plein à Disneyland Paris. Mais si le gros de la saison se passe dans le parc principal, il y a un autre endroit où des changements sont à remarquer.
En effet, Tower of Terror, la Tour de la Terreur en français, évolue dans une version plus effrayante encore. Mais que peut-on attendre de cette toute nouvelle mise à jour ?
La (nouvelle) Tour de la Terreur
Mine de rien, la célèbre attraction des Walt Disney Studios atteindra prochainement le stade de l’adolescence. Le 22 décembre prochain, l’inquiétant hôtel fêtera ses 12 ans d’existence.
Pour célébrer ce nouveau cap, de nombreux changements ont été apportés dans l’attraction. Ceux-ci ont d’ailleurs été teasé dans un clip, réalisé pour l’occasion avec une chanson inédite :
Exit l’unique histoire de la foudre s’abattant sur le Hollywood Tower Hotel le 31 octobre 1939, bonjour 3 scénarios inédits :
La Machine Infernale
Restez alerte, car le fantôme de la petite fille qui hante les lieux n’est peut-être pas votre pire cauchemar… La Machine Infernale dans laquelle vous venez de vous installer a une idée bien précise en tête. Elle aspire à vous piéger dans cette prison mécanique, vous secouant dans tous les sens. Accrochez-vous bien, la chute ne prévient pas ! Saurez-vous vous libérer de son emprise ?
Les Créatures en Cage
Un conseil, surtout ne criez pas ! D’inquiétantes créatures rôdent autour de la cage d’ascenseur et n’attendent que la présence d’âmes en détresse à venir terroriser – car plus vos cris sont forts, plus ils deviennent puissants… Saurez-vous rester silencieux pendant vos chutes vertigineuses de 13 étages ?
La Cinquième Dimension
Gare à vous… Ne vous perdez pas dans cette dimension ! Un sinistre spectre Poltergeist a ouvert la Cinquième Dimension avec un objectif : y emporter votre âme. Préparez-vous à perdre tout sens du réel, tandis que vous dégringolez dans un voyage psychédélique entre deux mondes… la petite fille fantôme saura-t-elle vous ramener dans notre dimension ?
Mais la vraie grande nouveauté de la Tour de la Terreur, c’est l’apparition des chutes aléatoires durant l’attraction. Jusqu’ici, celles-ci se déroulaient dans une séquence unique. Aujourd’hui, chaque voyage procurera des sensations différentes. Et c’est lors de l’inauguration que nous avons pu le tester…
La soirée d’inauguration
Ce samedi 28 septembre, après la fermeture du Studio, les InsidEars se donnèrent rendez-vous pour l’inauguration de la nouvelle version de la Tour de la Terreur. L’occasion pour nous de découvrir les nouveaux scénarios, accueillis par Dingo, dans son costume de groom !
Et il faut bien l’avouer, cette nouvelle version renouvèle beaucoup l’attraction. Si, au fil des visites, la première version devenait répétitive, les chutes aléatoires donnent plus de sensations, car on s’y attend beaucoup moins. Le ressenti est d’ailleurs beaucoup plus intense que par le passé, et les 3 scénarios apportent aussi dans la variété, à l’image de Star Tours. Mais une autre visite nous a particulièrement intéressé…
Visite guidée en 1939
Certains invités de la soirée ont pu en effet profiter de la soirée pour faire une visite guidée de l’attraction. Pour information, sachez que cette visite est réservable au City Hall, pour une durée d’une heure. Pour notre part, nous avons eu le droit à une version raccourcie de 30 minutes. Petit twist cependant, cette visite fût présentée par Joanna et Giona, les ambassadeurs de Disneyland Paris.
Cette visite nous permet de découvrir la richesse et le travail de recherche qui a été effectué pour la Tour de la Terreur. Ainsi, le hall d’accueil est inspiré du Millenium Biltmore Hotel, situé à Downtown Los Angeles. Si la plupart des objets sont authentiques à l’époque voulue, seuls les sièges, le tapis et la tapisserie de la cheminée furent expressement réalisés pour l’attraction…
Autre détail à remarquer : toutes les horloges du bâtiments marquent l’heure 20:05 sur leur cadran, heure présumée où la foudre frappa l’hôtel en 1939. Y compris sur les montres…
De nombreux clins d’oeil…
Autres sources d’inspirations : les épisodes de The Twilight Zone (La Quatrième Dimension), où de nombreux clins d’oeil sont présents dans l’hôtel…
Avez-vous déjà remarqué par exemple la porte 22, située dans le fond de l’accueil ? Celle-ci fait référence à l’épisode 53 de la série de CBS, intitulée « Twenty Two » (logique…). L’histoire raconte celle d’une danseuse hospitalisée, et où, dans la chambre 22, se trouve… la morgue.
Par la suite, nous sommes invités à rejoindre la bibliothèque, où se déroule habituellement la cinématique de l’histoire de l’hôtel. Par le passé, les bibliothèques étaient un endroit pour les stars de s’isoler en toute discretion. Malheureusement, s’agissant d’une soirée spéciale, celle-ci a été désactivée. La pièce étant beaucoup trop sombre, impossible alors de pouvoir faire des photos de bonne qualité.
Sachez cependant que de nombreuses références à la série sont également présentes dans la pièce. Ainsi, vous pourrez retouver une paire de lunettes brisées, faisant référence à l’épisode 8 : « Time Enough at Last ». L’histoire raconte celle d’un homme, sévèrement myope mais passionné de lecture. En s’enfermant dans le coffre de la banque où il travaille pour pouvoir lire en paix, celui-ci survit à une attaque nucléaire. Seul survivant, le hasard le portera vers son rêve : une bibliothèque encore intacte ! Mais au moment de prendre le premier livre, ses lunettes tombent et se brisent, le condamnant à la myopie, à tout jamais…
Tout logiquement, nous voici conduits dans la partie Service de l’hôtel. Beaucoup d’éléments nous invitent la vie d’un hôtel abandonné dans les années 30, avec l’histoire des employés, la cage des techniciens, ou ce panneau indiquant le nombre de jours sans accidents, ironiquement stoppé à 13…
Si vous avez déjà visité l’étage dans cette partie, vous avez peut-être remarqué un cercle de craie sur un mur. Celui-ci fait référence à l’épisode 91, « Little Girl Lost ». Une petite fille, Tina, se retrouve coincée dans la Quatrième Dimension, en traversant un portail à travers le mur. Son père, qui entend ses appels à l’aide de l’autre côté du mur, marque ce portail d’un coup de craie. Si vous tendez l’oreille, vous l’entendrez peut-être crier…
En repartant vers la sortie, un clin d’oeil plus personnel nous est alors présenté. En sortant de l’attraction, une photo dans le panneau d’affichange retient notre attention. Cette carte postale, avec le personnel de l’hôtel, évoque en réalité la photo-souvenir des Cast Members présents lors de l’inauguration de la Tour de la Terreur.
Au niveau du stand photo, derrière les grillages, vous pourrez apercevoir un téléphone rouge. Celui-ci fait référence à l’épisode 58 : « Long Distance Call ». Dans cette histoire, une grand-mère offre un téléphone jouet à son petit-fils. Lorsque celle-ci meurt, les parents découvrent que leur enfant continue à lui parler depuis l’au-delà via le téléphone…
Pour terminer, vous remarquerez, dans la boutique, la phrase « Picture if You will ». Celle-ci est attribuée à Rod Serling, le narrateur original de La Quatrième dimension, et pourrait se traduire par « Imaginez si vous (le) voulez… »
Une Terreur de Douceurs
En parallèle à cette soirée, et pour nous remettre de nos émotions dans la Tour de la Terreur, nous avons été inviter au Restaurant des Stars. Une occasion pour nous de découvrir un partie de la gamme des restaurants pour la saison d’Halloween. L’occasion pour nous de donner notre avis sur cette carte inédite…
Tout d’abord, nous avons pu boire les nouveaux cocktails, distribués dans les hôtels de Disneyland Paris : le Green Spider (à gauche), composé entre autres de vodka, curaçao et Maracuja (ou fruit de la passion), et le Witch Blood (à droite), composé entre autres de rhum et de liqueur à la vanille. Si le premier a un goût plutôt exotique, le second fait plutôt penser à du sirop pour la toux…
Côté froid, nous avons pu goûter une salade composée, avec de la betterave, du cantal et du jambon, ainsi que de crevettes avec une sorte de coleslaw. Dans les deux cas, le goût était très bon, et nous avons particulièrement apprécié la fraîcheur de la salade, relevée avec son balsamique…
Côté chaud, les avis sont plus partagés. La grosse déception vient du croque au Leerdamer. Fade, caoutchouteux, à oublier. Concernant les pâtes Halloween, rien de très spécial à dire, si ce n’est leur jolie petite forme de chauve souris. Par contre, petit plaisir pour nous avec l’orge perlé façon risotto à la courge, et le rôti de porcelet aux trompettes et courges.
Côté dessert, on reste sur du basique. Mais du bon basique, il faut l’avouer… D’un côté, les sablés miroir, avec soit un confiture de fraise, ou chocolat/pâte à tartiner. Dans l’esprit des barquettes de Lu, mais bien mieux proposé. Pour les sablés classique, nous avons particulièrement apprécié la forme de ceux-ci en visage de méchants. Le résultat est plutôt réussi. Mention spéciale, pour terminer, sur les cups Halloween. Nous avons apprécié son habillement, et donc très gros coup de coeur !
Fin de soirée pour nous, riche pour nos cinq sens. La Tour de la Terreur laisse partir ses derniers résidents. Mais une réservation reste à notre nom chez eux, à tout jamais…
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The Twilight Zone Tower of Terror – Une nouvelle dimension
C’est une des grandes nouveautés de l’année 2019 à Disneyland Paris. La très populaire Tour de la Terreur dans le parc Walt Disney Studios va évoluer pour accueillir un système de scénarios aléatoires dès le 28 septembre 2019. Une évolution attendue initialement pour la saison Halloween mais qui est vouée à durer dans le temps selon les derniers communiqués de la destination. Découvrez The Twilight Zone Tower of Terror – Une Nouvelle Dimension.
Scénarios des nouveautés de la Tour de la Terreur
L’attraction 2.0 acceuillera donc 3 scénarios inedits. Des histoires très bien réfléchies et tournées qui nous font déjà frissonner.
Malédiction 1 : La Machine Infernale
Restez alerte, car le fantôme de la petite fille qui hante les lieux n’est peut-être pas votre pire cauchemar… La Machine Infernale dans laquelle vous venez de vous installer a une idée bien précise en tête. Elle aspire à vous piéger dans cette prison mécanique, vous secouant dans tous les sens. Accrochez-vous bien, la chute ne prévient pas ! Saurez-vous vous libérer de son emprise ?
Malédiction 2 : Les Créatures en Cage
Un conseil, surtout ne criez pas ! D’inquiétantes créatures rôdent autour de la cage d’ascenseur et n’attendent que la présence d’âmes en détresse à venir terroriser – car plus vos cris sont forts, plus ils deviennent puissants… Saurez-vous rester silencieux pendant vos chutes vertigineuses de 13 étages ?
Malédiction 3 : La Cinquième Dimension
Gare à vous… Ne vous perdez pas dans cette dimension ! Un sinistre spectre Poltergeist a ouvert la Cinquième Dimension avec un objectif : y emporter votre âme. Préparez-vous à perdre tout sens du réel, tandis que vous dégringolez dans un voyage psychédélique entre deux mondes… la petite fille fantôme saura-t-elle vous ramener dans notre dimension ?
Des chutes aléatoire à Hollywood Tower Hotel The Twilight Zone Tower of Terror
La mise en place va donc s’effectuer dès le 28 septembre 2019 dans le parc Walt Disney Studios . Il est d’ailleurs à noter que malgré les aménagements en cours de mise en place, l’attraction reste ouverte tous les jours sans interruption . Les nouveautés de la Tour de la Terreur se remarqueront au niveau des chutes mais aussi dans les effets sonores et visuels .
Pour assurer ces nouvelles chutes dans The Twilight Zone Tower of Terror – Une Nouvelle Dimension, trois scénarios accueilleront donc désormais les visiteurs. Chacun des trois ascenseurs des espaces d’embarquement auront désormais leur propre histoire et des chutes adaptées et différentes selon les péripéties vécues par les passagers. Les visiteurs ressentiront donc des sensations différentes selon la répartition faite par les cast members au cours de l’embarquement. Une excuse parfaite pour les fans qui devront refaire l’attraction à plusieurs reprises (n’oubliez pas les fastpass !).
A ce sujet, Bjorn Heerwagen, directeur Show Design & Production pour Walt Disney Imageeniring déclare : « À Disneyland Paris, nous souhaitons régulièrement réinventer l’expérience des visiteurs pour continuer à les surprendre et leur faire vivre de nouvelles émotions. Nous sommes impatients de dévoiler les nouveaux effets et séquences de chute sur la Tour de la Terreur, qui créeront des souvenirs mémorables et terrifiants pour les visiteurs du Hollywood Tower Hotel «
L’histoire inchangée pour la Tour de la Terreur
Bien qu’un changement de taille soit en passe de s’opérer au sein de l’attraction phare, les visiteurs peuvent se rassurer : l’histoire de l’attraction restera inchangée. En effet, les visiteurs pourront toujours vivre les curieux événements qui se sont produits au cours d’une nuit orageuse le 31 octobre 1939. Le changement de scénario se marquera par la mise en avant d’un personnage différent selon l’ascenseur emprunté. Ledit personnage étant l’un des anciens protagonistes du scénario origina l. De quoi créer un attachement particulier envers ce dernier et en apprendre plus sur lui pour, à terme, pourquoi pas créer toute une histoire comme c’est déjà le cas avec la famille Ravenswood au sein de Phantom Manor .
Disneyland Paris avait d’ailleurs marqué son attachement à l’ histoire du lieu en organisant une soirée anniversaire autour de l’attraction en 2017, la toute première soirée réservée aux Pass Annuels. La destination a d’ailleurs démenti officiellement une quelconque rethématisation de l’aventure aux couleurs des Gardiens de la Galaxie (comme c’est le cas à Disneyland Resort) même avec l’arrivée d’un land Marvel dans quelques temps.
Pour avoir essayer l’une des nouvelles histoires dans la Tour de la Terreur, je peux dire que le changement est vraiment super, j’ai beaucoup aimé et suit pressé d’y retourné au plus vite pour découvrir les deux autres scénarios. Je trouve que le pari est réussi et de plus la bande-annonce sur la musique « Are you brave enough? » est tout bonnement à coupé le souffle et génial, autant visuellement que musicalement parlant.
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La tour infernale.
Réalisateur : John Guillermin. Scénariste : Stirling Silliphant. Producteur : Irwin Allen et Sidney Marshall. Compositeur : John Williams. Société de production : 20th Century Fox, Warner Bros., Irwin Allen Productions et United Films.. Distributeur : 20th Century Fox. Première USA : 10 décembre 1974 (New York). Sortie USA : 20 décembre 1974. Sortie française : 5 mars 1975. Titre original : The Towering Inferno. Durée : 2h45. Budget : 14 millions de dollars. Recette mondiale : Inconnue. Recette USA : 116 millions de dollars. Entrées françaises : 4 466 376 entrées.
Lors de la soirée d’inauguration de son nouveau gratte-ciel, l’architecte Douglas va voir sa création prendre feu, piégeant 300 personnes à l’intérieur.
En 2000, le film connait une autre version française.
Douglas « Doug » Roberts : Paul Newman (VF : Marcel Bozzuffi / Patrick Floersheim). Michael O’Hallorhan : Steve McQueen (VF : Jacques Thébault / Hervé Bellon). Jim Duncan : William Holden (VF : Jean Martinelli / Bernard Woringer). Susan Franklin : Faye Dunaway (VF : Perrette Pradier / Véronique Augereau). Harlee Claiborne : Fred Astaire (VF : Claude Dauphin / Roger Carel). Patty Simmons : Susan Blakely (VF : Béatrice Delfe / Véronique Desmadryl). Roger Simmons : Richard Chamberlain (VF : Dominique Paturel / Thierry Wermuth). Lisolette Mueller : Jennifer Jones (VF : Monique Mélinand / Françoise Pavy). Harry Jernigan : O. J. Simpson (VF : Sady Rebbot / Adrien Antoine). Gary Parker : Robert Vaughn (VF : Roger Rudel / Guy Chapellier). Dan Bigelow : Robert Wagner (VF : Jean-Claude Michel / Jérôme Keen). Lorrie : Susan Flannery (VF : Marion Loran / Emmanuèle Bondeville).
En savoir plus.
La tour infernale est l’adaptation des romans The Tower par Richard Martin Stern (publié en 1973) et The Glass Inferno par Thomas N. Scortia et Frank M. Robinson (publié en 1974). Chaque livre traite d’un gratte-ciel en flammes.
Chose surprenante, deux majors d’Hollywood sont au générique : 20th Century Fox et Warner Bros. Ceci s’explique par l’achat des droits d’adaptation des livres. La Warner a acheté ceux du premier, la Fox ceux du second. Pour éviter une sortie frontale, ils ont fusionné les histoires en un seul, se partageant le budget. En terme de recettes, la Fox se base sur le box-office américain et la Warner le box-office du reste du monde.
À l’origine, Steve McQueen devait jouer l’architecte.
Sean Connery et Charlton Heston ont été envisagés pour le rôle du chef O’Halloran.
Steve McQueen et Paul Newman était les deux grandes célébrités du cinéma de l’époque. De ce fait, chaque acteur devait avoir le même nombre de lignes de dialogues. Concernant l’affiche du film, les noms sont en décalés pour être lisible soit de haut en bas ou bien de gauche à droite, donnant ainsi l’un ou l’autre comme premier de lecture.
Pour les plans d’ensemble, la tour est une maquette. Quant à la salle de réception, elle a coûté 300 000 dollars.
Le tournage s’est déroulé de mai à septembre 1974 en Californie.
Notre critique de La tour infernale .
Les films catastrophes au cinéma, en général ça passe bien même si ça ne reste pas sensationnel. Pourtant ici, il y a de sacrés réunions.
Tout d’abord, la réunion de deux grands studios du cinéma : 20th Century Fox et Warner Bros. On se doute qu’on va avoir droit à un long-métrage qui va avoir une sacré ampleur. Ce qui est le cas dirons-nous. Mais on y reviendra. Commençons tout d’abord par le scénario qui n’est pas extraordinaire. Déjà, il faut compter presque 45 minutes de mise en place des personnages et de l’intrigue avant que ne se déclenche l’incendie. C’est long et limite ennuyeux. En revanche, on soulignera que cela permet de dénoncer les fabrications à bas coûts pour faire des économies au profit de la sécurité.
Une fois l’incendie déclaré, on entre enfin dans le film catastrophe qui va répondre à tous les codes du genre. Actes de bravoures, personnes paniquées, personnes égoïstes, enfants en danger, femmes à sauver… tout y passe. Si on prend du recul, on se rend compte aussi qu’il ne se passe pas grand chose d’époustouflant. On a droit à de l’action, certes, mais il manque quand même quelque chose pour se démarquer vraiment. L’histoire est trop classique avec des éléments prévisibles. Cependant, il faut remarquer que ce n’est pas un film « tout public ». En effet, La tour infernale n’y va pas par quatre chemins et les morts sont bien visibles, que ce soit les brûlés ou les personnes tombant dans le vide. C’est percutant mais ça montre la dangerosité de la situation.
Autre grande réunion : Paul Newman et Steve McQueen. Avec une telle affiche, on sait qu’on joue dans la cour des grands. McQueen est quand même bien plus remarquable et convaincant que Newman qui manque d’expression. Le premier incarne le commandant de pompiers qui va devoir gérer cette crise d’envergure. Il se veut courageux mais ça reste son travail tout en devant assurer la sécurité des gens et de ses équipes. Pourtant, on a l’impression de peu le voir dans le film au contraire du second. Newman interprète l’architecte du bâtiment qui se la joue grand héros à tenter de sauver tout le monde à travers ses actes parfois assez fous. On n’arrive pas à s’attacher à lui.
Du côté des personnages secondaires, il y a aussi de grands noms du cinéma. On retiendra surtout le propriétaire de l’hôtel qui se rend compte de la situation et qui ne tient pas à fuir ses responsabilités, faisant face comme il le devrait. À l’inverse de son gendre qui a cherché à faire des économies et qui se veut comme la personne à détester dans le film. Imbu de lui-même et ne pensant qu’à lui, il incarne bien l’antagoniste. Dommage que les rôles féminins soient si relayés au second plan alors que la fille de Duncan comme l’épouse de Doug avaient du potentiel.
Revenons en à ce qu’on disait au début. Fox et Warner, cela donne un film avec beaucoup de moyens. Déjà par des décors variés et propres, même s’il faut se remettre dans la mode visuelle de l’époque (bonjour les murs oranges). Aussi, par des effets visuels de qualité pour les années 1970. Que ce soit les scènes aériennes que les cages d’ascenseur qui n’en finissent plus, on arrive à être immergé. Ensuite, l’incendie se veut bien dangereux et rappelle sans cesse sa présence. Si on devait mettre un bémol, c’est sur les multiples explosions qui font sauter tout un étage, histoire que visuellement ça en jette. Le pire étant vers le début de l’incendie, quand seule une partie d’un étage est en proie aux flammes et qu’une vue de l’extérieur de l’immeuble montre deux étages ravagés par l’incendie qui en plus sont séparés de plusieurs niveaux sans explication. Concernant la bande originale, John Williams est bien décevant et ne propose rien de particulier. Pour conclure, certaines scènes du film tirent trop en longueur et plus de rythme aurait pu être donné en raccourcissant la durée du long-métrage.
La tour infernale est un bon film catastrophe mais ne parvient pas à proposer quelque chose de grandiose.
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Le cinéma catastrophe sur CinéDweller
Là où La tour infernale dépasse de loin ses concurrents dans un genre avare en réussites, c’est que le scénario se fonde sur un événement qui peut toucher n’importe qui à n’importe quel moment. Certes, l’histoire se déroule dans le plus haut building du monde (inspiré du World Trade Center), mais l’accident qui met feu au bâtiment est totalement crédible, de même que toutes les mésaventures qui touchent les nombreux personnages. L’empathie est donc totale envers des êtres humains que le cinéaste a pris le temps de présenter dans les quarante-cinq premières minutes. Les nombreux enjeux psychologiques ne sont ainsi jamais sacrifiés sur l’autel du spectaculaire, tandis que le script évite les traditionnelles effusions sentimentales propres au genre.
https://youtu.be/xRtWbWmwu2U
Parfois effrayant, toujours captivant malgré une durée excessive, La tour infernale s’impose donc comme une indéniable réussite commerciale. Le casting royal participe bien entendu au plaisir que l’on prend à suivre ces aventures en huis-clos. Si Paul Newman et Steve McQueen imposent une véritable présence physique (ils ont réalisé eux-mêmes la plupart de leurs cascades), on est surtout admiratif du jeu puissant de William Holden et du formidable Fred Astaire qui recevra de nombreux prix d’interprétation pour son rôle dit secondaire.
Les films Warner Columbia sur CinéDweller
Porté par des effets spéciaux qui n’ont pas pris une ride et une musique enthousiasmante de John Williams, La tour infernale est indéniablement un modèle du genre qui a marqué son temps en connaissant un triomphe mérité au box-office international. Avec plus de 116 millions de dollars glanés aux States (pour une mise de départ de 14 millions) et une première place annuelle au box-office français de 1975 (avec 4 466 376 entrées), La tour infernale a confirmé les espoirs placés dans un genre appelé à sombrer rapidement dans les abysses de la médiocrité.
Critique de Virgile Dumez
© MCMLXXIV Twentieth Century Fox Film Corp. & Warner Bros. Inc. Tous droits réservés / All rights reserved
Box-office :
La tour infernale , un blockbuster de 14 millions de dollars, réalisé pour contrer la crise du cinéma et la concurrence de la télévision.
La tour infernale est l’un des triomphes du cinéma, en 1974 aux USA et en 1975 en France. Le film phénomène est coproduit par la Fox et Warner. La 20th Century Fox distribue le blockbuster aux Etats-Unis quand Warner se charge de l’international. Ce blockbuster a pour exigence de contrer la concurrence fratricide de la télévision, avec des images spectaculaires que l’on ne peut apprécier que sur un écran large. Evidemment, les stars au générique sont également appelées à détourner les spectateurs du petit écran.
Aux USA, le film catastrophe produit par Irwin Allen (également co-réalisateur) sort le 16 décembre 1974 afin de profiter des vacances de Noël et lancer le film dans la course aux Oscars. La tour infernale obtiendra pas moins de 8 nominations et décrochera 3 statuettes.
La tour infernale génère localement 22 millions de dollars en trois semaines et demie sur un circuit de 316 écrans. Il finit sa carrière localement à 116M$, l’équivalent de 600 millions de dollars en 2023. C’est un phénomène qui n’appelle pas le producteur à la modestie. Celui-ci ambitionne les plus fortes recettes de l’histoire.
La tour infernale , plus gros carton au box-office français en 1975
Sur notre territoire, le film Warner Columbia trouve sa place en salle le 5 mars, notamment dans 26 cinémas et 15 000 fauteuils à Paris et dans sa périphérie.
En intra-muros, on peut le découvrir par exemple à l’Ermitage, le Publicis Champs Elysées, le Rex, le Paramount Opéra, l’UGC Odéon, l’Arlequin, la Rotonde, le Telstar, le Lux Belleville, le Mistral, le Paramount Montparnasse, le Gaumont Convention, le Passy, le Paramount Maillot et le Moulin Rouge. Avec 18 914 entrées pour son premier jour parisien, The Towering Inferno est un phénomène. 162 494 spectateurs se précipitent pour le voir dans les salles parisiennes pour sa première semaine, dont 25 430 au Paramount Opéra. Il avait fallu 15 jours pour que Tremblement de terre de Mark Robson , avec Charlton Heston et Ava Gardner , puisse réaliser autant d’entrées. Cet Earthquake , distribué par CIC, est un beau succès toutefois avec 2 200 000 Hexagonaux. Il est sorti 3 semaines avant La tour infernale.
Le succès sera conséquent avec plus de 4 466 000 spectateurs, dont un million de Franciliens. Cela permet au film de décrocher une première place annuelle française solide, devant Peur sur la ville ( Belmondo ), On a retrouvé la 7e compagnie ( Lamoureux ), Histoire d’O ( Just Jaeckin ) et Le vieux fusil ( Robert Enrico ).
Après un tel phénomène, place à d’autres cataclysmes pour Irwin Allen
Avec un tel triomphe dans le monde, en particulier au Royaume-Uni où Warner réunira deux fois plus de spectateurs qu’en France, le producteur Irwin Allen décida de multiplier les projets de film catastrophe, persuadé à raison que le filon ne s’épuisera jamais. Il envisage notamment une suite à L’aventure du Poséidon sur les survivants du drame marin, piégé dans les rames d’un train, à la suite d’un éboulement dans un tunnel. Le projet deviendra finalement Le dernier secret du Poséidon , avec Michael Caine , Sally Field et Telly Savalas et s’écrasera au box-office. Irwin Allen réalisera également The Swarm , alias L’inévitable catastrophe , aux allures de téléfilm de luxe, sur une invasion d’abeilles tueuses en provenance d’Afrique, prenant d’assaut les villes américaines. Le film, avec un script de Stirling Silliphant, scénariste de La tour infernale, coûta une fortune, mais ne laissera pas une grande impression. Pis, les critiques seront assassines.
Box office de Frédéric Mignard
Les sorties de la semaine du 5 mars 1975
© Poster design : Diener-Hauser / Illustration : John Berkey. © MCMLXXIV Twentieth Century Fox Film Corp. & Warner Bros. Inc. Tous droits réservés / All rights reserved
Le blu-ray (édition du 9 juin 2010)
Une édition exceptionnelle, mais qui recèle quand même quelques défauts irritants.
Compléments 3.5 / 5
Si l’éditeur Warner Bros n’a pas lésiné sur les bonus, on peut une fois de plus regretter que le commentaire audio d’un historien du cinéma ne soit toujours pas sous-titré, ce qui le réserve aux seuls anglophones. Par ailleurs, on nous propose environ 13 documentaires d’environ huit minutes chacun qui reviennent en détail sur tel ou tel point de la production. Cela donne environ une heure et quarante minutes d’entretiens divers, d’images d’archives et de tournage : une mine d’informations qui vont de l’écriture du scénario au casting en passant par la collaboration entre Guillermin et Allen et la conception des effets spéciaux. Pour les fans et les courageux, on nous propose également plus d’une demi-heure de scènes coupées ou prolongées afin de mieux comprendre l’évolution psychologique de certains personnages coupés au montage. Si l’on ajoute à cela un teaser et une bande-annonce d’époque, on peut être totalement satisfait par cette imposante section bonus.
Image 4.5 / 5
Le blu-ray 2010 de La tour infernale fait une fois de plus honneur au support en proposant une copie immaculée, tout juste dotée d’un léger grain cinéma. La profondeur de champ est exceptionnelle, la précision est telle qu’aucun recoin de la peau des stars n’aura de secret pour vous, tandis que les couleurs sont resplendissantes et les noirs abyssaux.
Il faut tout d’abord prévenir les amateurs de VF : la piste en simple stéréo qui est proposée par l’éditeur n’est pas celle d’origine, mais un nouveau doublage absolument inacceptable. Honteusement mal jouée et mal intégrée à l’univers sonore du film, cette nouvelle piste ressemble à un doublage de soap opera et s’avère donc irregardable. Il faudra donc impérativement visionner la piste en anglais disponible en 5.1 DTS-HD Master Audio. Toutefois, si la musique de John Williams a bien été spatialisée et si les explosions font bien vibrer le caisson de basse, les enceintes arrière sont souvent muettes.
Test blu-ray de Virgile Dumez
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La tour montparnasse infernale.
2001 Directed by Charles Nemes
Eric and Ramzy are working as window washers at the Montparnasse skyscraper in Paris. Thinking that he has a date set up with beautiful executive Marie-Joelle (who in reality hates his guts), Ramzy stays at work late while Eric hangs around with him. As a result, the pair witness a gang of terrorists seize the tower and take its late-night occupants (including Marie- Joelle) hostage. Knowing that only they can save the day, Eric and Ramzy swing into action.
Eric Judor Ramzy Bedia Marina Foïs Serge Riaboukine Michel Puterflam Omar Sy Jean-Claude Dauphin JoeyStarr Fred Testot Pierre-François Martin-Laval Edgar Givry Pierre Semmler Bô Gaultier de Kermoal Georges Trillat Laurence Pollet-Villard
Director Director
Charles Nemes
Producer Producer
Christian Fechner
Writers Writers
Eric Judor Ramzy Bedia Kader Aoun
Editor Editor
Dominique Galliéni
Executive Producer Exec. Producer
Hervé Truffaut
Camera Operator Camera Operator
Étienne Fauduet
Art Direction Art Direction
Dominique André
Stunts Stunts
Vincent Haquin
Composer Composer
Jean-Claude Vannier
Sound Sound
Amaury de Nexon William Flageollet Jean-Louis Richet Arthur Le Roux Denis Jaillet-Marsigny
Costume Design Costume Design
Julie Mauduech
Makeup Makeup
Alexis Kinebanyan Françoise Quilichini Frédéric Lainé
Hairstyling Hairstyling
Manu Malville
4 Mecs en Baskets 4 Mecs à Lunettes Canal+ France 2 Cinéma UGCF
Releases by Date
27 apr 2002, 28 mar 2001, 09 aug 2001, 10 aug 2001, 20 jun 2002, 09 sep 2003, 23 aug 2002, 04 jul 2015, 09 jun 2021, 01 jun 2022, 21 nov 2001, 01 jun 2020, releases by country.
- Theatrical U
- Physical DVD
- Digital VOD
- Physical Blu-Ray
- Digital 12 Netflix
- Premiere French Film Week
Russian Federation
Switzerland.
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Popular reviews
Review by laterrebleue ★★★
Maintenant j’ai les refs.
Review by Pauline ✨
c'est de toute bÔté
Review by Louna ★★★
rigolo et absurde quand on enlève les trucs racistes et homophobes
Review by Tristanosss ★★½ 2
C’est pas une compétition mais moi une fois je me suis couché à 1h15 et j’étais même pas fatigué je jour d’après. Après c’était un vendredi soir donc je me suis réveillé un peu plus tard le jour d’après (vers 10h00) étant donné que c’était un samedi. Finalement j’ai quand même eu mes 8 heures de sommeil, presque 9 donc c’est plutôt normal que je n’était pas fatigué. Une autre fois aussi je me suis couché vers minuit mais cette fois-ci je te raconte pas comment j’étais fatigué, bonjour le décalage horaire.
Review by lameloo ★
Infernale oui
Review by Sib ★★★½
marina foïs veux-tu m'épouser
Review by ★ Mailie ★ ★★½
die hard is nothing compared to this movie
Review by Esteban
Hmm le caca c'est délicieux
Review by gloria <3 ★★★½
gay icon over here 😍🤭
Review by sandro ★★★½ 3
sachez que si un jour je décide de me faire les papiers français c’est uniquement pour pouvoir dire que cette masterclass vient de chez moi
Review by Pooooooool ★★★★★ 1
An amazing, deeply connected to trans-ratial communities. I really liked the part when Eric, one of the main character talk to the asian boy in his language to explain him what's going on, and also to tell him that it's not racist. Trully a beautiful scene. Thank you for this masterpiece, and I hope to see this duo in another serie in a hospital (I'm talking qbout Eric and Ramzi). It would also be nice to see them with Jamel Debouze, a great actor from this period. Again, Thank you.
Review by tizianolp ★★
j'étais foncedé et j'ai même pas ris une seule fois
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